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Emploi : Voici les lacunes des diplômés sénégalais

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Le défaut de compétence des diplômés sénégalais par rapport aux besoins des entreprises est répété à longueur de journée depuis des années. Selon une étude de l’Ansd, faite en 2017, seuls 13% des diplômés occupent des postes qui correspondent à leur qualification, contre 83,9 % pour ceux qui sont sous-qualifiés. Dans une étude réalisée par Dr Ibrahima Bao, coordonnateur de l’Institut de Formation Professionnelle (IFP) de l’UFR Lettres et Sciences Humaines de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, au Sénégal, et Ceemo, les lacunes ont été énumérées. Elles sont surtout relatives aux ‘’compétences comportementales’’.« Les entrepreneurs et recruteurs évoquent généralement trois catégories de valeurs pour être opérationnel et performant en entreprise, qui font défaut aux diplômés : le savoir-être, l’adaptation individuelle à la culture entrepreneuriale, et les valeurs, parfois en porte à faux avec celles traditionnelles. Ainsi l’engagement, la capacité d’écoute, le sérieux, le respect, « savoir se tenir », la ponctualité, la prise d’initiative, sont, entre autres, les lacunes que traînent les demandeurs d’emploi sénégalais », détaille un communiqué de Ceemo. Selon les auteurs de l’étude, les raisons sont avant tout socio-anthropologiques. Autrement dit, certaines valeurs sociales sont souvent en contradiction avec celles de l’entreprise qui demande de l’initiative, et parfois de l’audace. « Les valeurs établies telles que le kersa (la honte), la soutoura (la discrétion), le tëy (la retenue, la patience), le yëm (la retenue, la mesure), le mougn (la patience, l’endurance), le woyof (la simplicité, l’humilité), peuvent être des freins dans le milieu entrepreneurial et doivent être transcendées pour une meilleure performance des diplômés », renchérit la note.Tout ceci fait que les entreprises sénégalais sont obligées de s’investir dans la formation complémentaire, notamment technique et technologique ; ce qui les met un peu à la traine sur la scène internationale.  Pour palier à ce déficit, « Ceemo a mis en place un dispositif de partenariats avec le monde de l’entreprise pour développer des formations complémentaires afin de rendre opérationnelles les personnes en situation de pré-recrutement », indique Philippe Cordier, Président-fondateur de Ceemo SAS ».
Auteur: Mbaye Sadikh
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Comments

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    Le Dogon il y a 3 ans

    Le problème de fond réside sur le fait de vouloir véhiculer un savoir à travers une langue qui nous est étranger. Beaucoup de concept simple devienne difficile voire inaccessible pour certains élèves. C'est cette anomalie qui a fait que plusieurs génies ont été rejetés par le système éducatif Sénégalais.

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    Ahmadou GUEYE il y a 3 ans

    IL faut rehausser le niveau de l'enseignement supérieur au Sénégal... il y a beaucoup a corriger.

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    Damel Fall il y a 3 ans

    Ca c'est tellement vrai.Dans nos tradition on  apprend pas a prendre des decisions et personne n'est responsable de rien....Nous sommes tous des talibes soumis.

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    Africain il y a 3 ans

    C'est triste pour le Sénégal de Macky SALL.  Ce Sénégal que tout le monde rêvait, qui a produit des HOMMES de talents et de valeurs se retrouve et vois ses enfants dans un piteux état. TOUT est faux au Sénégal😭😭👿

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    reply_author il y a 3 ans

    A longueur de journée ?

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    Diakhle il y a 3 ans

    Très bon article. L'auteur de l'étude connaît parfaitement le soucis de nos diplômés locaux. J'ajouterai que le regards attentif est à développer chez nos jeunes. Seug rek ! On dirait que les jeunes sont complexés. Toutefois, je pense que c'est culturel car des congolais, togolais ou autres africains qui étudient au Sénégal avec le même programme ont plus d'aisance quand ils parlent en milieu professionnel.  

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    Diakhle il y a 3 ans

    Très bon article. L'auteur de l'étude connaît parfaitement le soucis de nos diplômés locaux. J'ajouterai que le regards attentif est à développer chez nos jeunes. Seug rek ! On dirait que les jeunes sont complexés. Toutefois, je pense que c'est culturel car des congolais, togolais ou autres africains qui étudient au Sénégal avec le même programme ont plus d'aisance quand ils parlent en milieu professionnel.  

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    Diakhle il y a 3 ans

    Très bon article. L'auteur de l'étude connaît parfaitement le soucis de nos diplômés locaux. J'ajouterai que le regards attentif est à développer chez nos jeunes. Seug rek ! On dirait que les jeunes sont complexés. Toutefois, je pense que c'est culturel car des congolais, togolais ou autres africains qui étudient au Sénégal avec le même programme ont plus d'aisance quand ils parlent en milieu professionnel.  

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    il y a 3 ans

    N'importe quoi ce torchon.

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    il y a 3 ans

    s'il faut se travestir pour un job, allez vous faire voir. n'abandonnons jamais nos valeurs. On nous attaque de plus en plus. couleur detruite, cerveau detruit, et quoi maintenant...  

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    il y a 3 ans

    s'il faut se travestir pour un job, allez vous faire voir. n'abandonnons jamais nos valeurs. On nous attaque de plus en plus. couleur detruite, cerveau detruit, et quoi maintenant...  

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    Wakh Deug il y a 3 ans

    Mais diable!  Pourquoi vouloir imposer cette "conception occidentale" de l'entreprenariat ? Voilà pourquoi, en fin de compte, nous avons des "monstres" à la tête de nombre d'entreprises.

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    il y a 3 ans

    De comment devenir une Machine

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    il y a 3 ans

    Cette approche de l'empoyabilité est très caduque. Au moment où leurs fondamentales tournent autour du concept CRITA, l'on nous parle de mougne, kersa, teey et je ne sais quoi qui renvoient tous à la soumission et la subordination. Nous ne sommes plus à l'époque de l'esclavage ou du servage.  Revoyez votre copie Messieurs les analystes à 2 balles.

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    il y a 3 ans

     Embaucher les militaires 

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    Deug il y a 3 ans

    Merci s'il faut se départir de toutes ses valeurs fondamentales pour être riche à quoi bon avoir des valeurs pour commencer. Bon nombres d'intellectuels ne rendent pas compte que leur vraie religion est le capitalisme prêts à tout troquer pour l'appât du gain. J'ai travaillé dans une boîte anglaise ou tout le monde se tutoie. Lors d'une réunion une très jeune collègue a signalé à un vieux collègue prestataire retraité qui pourrait être son grand-père, qu'il avait pris sa place après qu'elle se soit déplacée un court instant. Et le vieux s'est exécuté sans mot dire. Si c'est cela les valeurs que nous devons nous approprier en tant que jeunes non merci. 

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    Sayfu il y a 3 ans

    Si on avait pris les équivalents français de ces valeurs vous les auriez magnifiés. Comment peut-on considérer l'endurance, la pudibonderie comme des tares? Le seul problème ici c'est les complexés de negres blancs. 

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    il y a 3 ans

    Il faut introduire la langue anglaise des le primaire. Le francais n'est pas une langue de development. 

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    il y a 3 ans

    Il faut diminuer les filières littéraires de 90   % au niveau universitaire.

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    Macki Tampi il y a 3 ans

    OMG tout reviens à blâmer Macki. Même si les gens ne prient pas ou se prostituent. C'est vraiment être d'une bassesse pas possible de blâmer pour tout. 

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    Anonyme il y a 3 ans

    Les études doivent être accompagnées de stage dans les entreprises correspondantes au profil  de formation. Sinon ce sera difficile de s'adapter une diplomé  

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    il y a 3 ans

    La culture c'est ce qui nous reste quand on a tout oublié 

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    reply_author il y a 3 ans

    Tu n'as pas lu l'article, ou alors tu n'as rien compris.

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    reply_author il y a 3 ans

    Le Sénégal tout simplement et pas celui de MACKY.Ses prédécesseurs ont fait pire.Donc cessez de pleurnicher en accusant macky.Maxky n'a rien fait.Le problème est que vous êtes tous indisciplinés.c'est tout.

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    reply_author il y a 3 ans

    Comment tutoie-t-on en anglais? Je veux dire existe-t-il une différence de locution pour tutoyer ou vouvoyer puisqu'il n'y a que le "YOU" qui est utilisè? 

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    il y a 3 ans

    Les senegalais sont les fils de senghor.ils n'aiment que la littérature,la parole et le bavardage night and day.il faut tourner la page de ce monde de parloter.Ol faut ouvrir la la page de maniement du fer dès qu'il est chaud:Bienvenue à l'ingénierie et la technologie....

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    il y a 3 ans

    moderniser les ateliers... et y enoyer les jeunes avec options alternance

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    il y a 3 ans

    Quand on met à terre un système mis en place par le colonisateur mais qu'on ne met rien comme élément de substitution voilà ce qui arrive. Des affirmations du genre nassarane si gno gnou réy, dou gnou lakk toubab, Senghor patati patata alors qu'à la place de ce que Senghor et le nassarane avaient mis en place c'est à dire une certaine logique intellectuelle et une certaine rigueur, il n'y a rien, mais absolument rien, ça donne ce que ça donne. De la médiocrité. Encore une fois tous ceux qui critiquent le système en place, le détruisent mais ne proposent pas d'alternatives et on se retrouve dans une situation pire que celle d'avant. La preuve, le jeune étudiant sénégalais d'aujourd'hui ne sait même pas aligner deux phrases correctes ni en français, ni en anglais, ni en wolof, rien. Au moins avant on savait se défendre avec notre français mais maintenant ce sont les autres peuples africains qui se moquent de notre nullité dans cette langue. Aux pourfendeurs de la langue française que proposez-vous à la place? Rie. Y'a rien. Que le désert exploité par des religieux qui ne comprennent rien des enjeux du monde actuel et qui pensent que l'Arabe va régler nos problèmes alors que nous retournons à l'erreur de Senghor qui au moins avait mis une certaine rigueur intellectuelle dans l'apprentissage de cette langue ce qui avait contribué à faire de ça pays un pays respecté. Aujourd'hui même ce qui nous sert de président n'ose se mettre dans un débat car limité linguistiquement. Tout cela procède de la rigueur intellectuelle mes chers. Maîtriser lakk dafa lath rigueur intellectuelle. 

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    reply_author il y a 3 ans

    J'entends beaucoup de gens parler de cette histoire d'étudier dans nos langue mais il faut faire attention. Quant on est un pays pauvre très endetté, on gagnerait plus à s'insérer au système le plus vendeur comme l'anglais. Faire une école en wolof ne va faire que nous esseulé davantage. Nous serons un peu compétitifs que dans les limites du Sénégal. Cette histoire de langue, de mon point de vue est très lié à la puissance économique. Si on prend le cas de la Chine, le monde s'est mis à apprendre le mandarin à partir du moment où ce pays s'est imposé sur le plan économique. En résumé ça peut-être bbien mais il y a des préalables 

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    il y a 3 ans

    Je suis très déçu de cette étude. Les lacunes c'est des formations indignes ( contenus nuls et depasses, enseignants n'ayant pas le niveau, ...)surtout dans le privé la merchantilisation de l'éducation. Le gouvernement ni ses services ne peuvent vous dire les besoins actuels et futurs du Sénégal en compétence et on s'etonne qu'il n'y ait pas assez de compétence ou que les compétences soit mal utilisés. Maintenant parlons des entreprises combien investissent dans la formation de leurs employés, elles pensent peut être qu'il.leur fait des diplômes près à l'emploi. Les problèmes comportementaux sont bien présents mais c'est rien par rapport au reste et peuvent être corrigés par la formation et le leadership des managers. Maintenant il ne faut occulter le fait que la plupart des diplômes occupent des emplois sous qualifié car ils ne trouvent rien, il faut penser à créer des entreprises sénégalaises pour absorber le flot des diplômes.

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    Défenseur il y a 3 ans

    Ils ont tous dit ici surtout surtout sur les facteurs qui font défaut. 

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    il y a 3 ans

    Dans la liste des handicaps, l'article a omis de parler du "masla" qui perturbe profondément les rapports dans l'entreprise. Cette culture du pardon permanent n'apporte rien de positif que ce soit pour le pardonné que pour celui qui pardonne. Il faut être rigoureux et impitoyable. Une faute est une faute et il n'est pas permis de la reproduire une seconde fois. 

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    il y a 3 ans

    En fait ils évitent de prendre des décisions pour sauver leur peau. Attention, patrons jaloux et méchants. Le commandement aime le pouvoir et abuse de la hiérarchie. Le problème n'est pas tant les diplômés que les cadres en place qui refusent le changement et dont certains sont sous qualifiés et ne devant leur place qu'au népotisme.

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    il y a 3 ans

    Je me souviens d'une sanction que j'avais infligé à un collaborateur et que tous mes collègues manages avaient fustigé prenant La Défense de l'agent incriminé arguant qu'il fallait être tolérant. Depuis ce jour ils ont tous fait bloc pour me mettre à mal avec la direction tout simplement parce que j'avais sanctionné une brebis galeuse. La phrase qui me tué est ce fameux adouna dafa goudde tank. Et après? Ça donne droit à faire du n'importe quoi dans un milieu qui demande beaucoup de rigueur? Je ne dis pas qu'il faille sanctionner tout azimut mais quand il le faut, y'a pas deux solutions. Il faut sanctionner. Point. Baalko, mougneul ko, grawoul, amoul solo, dou ko défati et j'en passe. Cela commence à la maison avec nos eńfants et se prolonge à l'école et à l'entreprise 

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    il y a 3 ans

    je le paye très cher cette culture de l'entreprenariat au boulot. J'ai fini par me mettre toute la boite, le chef en tête, contre moi, par pure jalousie. Le problème du Sénégal, il est tres simple, ce n'est pas la langue qui pose problème tant que ça, Senghor n'est pas un petit français à ce que je sache et il a atteint un niveau d'excellence très remarquable. Le problème il y en a deux : l'incompétence et la jalousie. Il y a trop d'incompétents dans les services et la jalousie crée des ruptures, on vous bloque parce que vous brillez trop et faites de l'ombre à vos supérieurs. Mais quand on est un peu dingue comme moi, on ferme les yeux et on continue de foncer. Celui qui se met au travers du chemin sera juste écrasé et pi cé tout. Tu proposes des projets, des idées, de nouvelles façons de faire et on te fait pas passer pour une idote, pour la risée du bureau même les gardiens qui se font payer pour verser du safara devant le bureau s'y mettent. J'ai été à la limite prise pour une marginale et ca plais quand je vois leurs têtes. Personne ne t'accompagnes dans les idées. Mais quand ces idées "folles" rencontrent un franc succès, là tu attises la jalousie des incompétents, doublés d'une timidité qui ne dit pas son nom, tellement qu'ils peu sûr de ce qu'ils savent. Ils sont en plus incapables de s'exprimer correctement ni en prive encore moins en public. Moi ca fait longtemps, que j'avance sans regarder à gauche ni à droite, car tout le monde les résultats. Je cherche même un nouveau point de chute où je pourrai donner libre cours à mes idées. Marre de se faire pomper son énergie et de faire bénéficier à d'autres les fruits d'un travail acharné.

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    reply_author il y a 3 ans

    ah si encore ils faisaient vraiment comme Senghor ce serait autre chose. Senghor s'est enrichie avec sa littérature

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    reply_author il y a 3 ans

    ah vraiment hein wakhati ko deh lol. you = tu en anglais et you = vous en anglais. Je dis ça et je ne dis plus rien.

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    il y a 3 ans

    Et le bras long on la classe où?

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    DEUG rek il y a 3 ans

    Avant de commencer posons la question d abord combien de post sont disponibles pour tous ces diplômés ?la réalité c que la demande est supérieure à l offre et l autre souci on a plus de diplômés dans les filières littéraires donc théoriques et malheureusement dans ce douc est saturé. Et il reste entrepreunariat nous ne sommes pas bien préparés à cela et les banques ne soutiennent pas assez ce domaine. Le problème est complexe.

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    MTT il y a 3 ans

    Merci d'avoir partager cette étude qui semble faire le tour du problème. Cependant je trouve ceci trop à la ramasse. Il restera très difficile pour les jeunes ,effectivement , d'avoir la culture de l'entreprise. Sachant que la culture change d'une entreprise à l'autre et que ces derniers on plus tendance à recruter des intérimaires qu'ils considèrent comme externe , faisant visiblement  à moitié partie de la struture , pour des contrat de six mois. La jeunesse maintenant après la formation ne trouve pas de poste puisque les entreprises ne vont pas vers eux mais le contraire. Ce qui ne devait pas etre ainsi. Ceci étant du aux écoles de formations qui sont plus devenus des générateurs de  revenus que des temples du savoir et de la pratique.  C'est ainsi que les jeunes n'ayant pas eu de stage durant tout leur parcours universitaire ,et meme apres ,se rabatte vers les centres de contact , s'habituent à ceux ci et finissent par perdre la majeur partie de leurs maigres connaissances acquises en formation pro.  Voilà les pistes que vous devez explorer. Voici là où ça fait mal. Là est la cause de la désorientation de la jeunesse professionnelle et le manque d'assurance que vous juger est la conséquence de nos valeurs. Je dis non , nos valeurs auraient été des atouts par contre , si toutefois on arretait de faire des écoles de formations que des sources de revenus et que les entreprises aillent vers les apprenants et les diplomés.  

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    reply_author il y a 3 ans

    Senghor n'a rien fait ou plus exactement il n'a fait que continuer l'oeuvre du toubab. Alors penses-tu vraiment qu'avant ces toubabs, nos ancêtres ne savaient pas réfléchir, n'avaient aucune rigueur, ...? Penses-tu que c'est faire preuve de rigueur intellectuelle de recopier stupidement les valeurs mises en avant dans les entreprises occidentales? Et pourquoi nos valeurs de kersa, etc devfraient-elles d'office être traquées et atomisées? Ne seraient-elles pas plus adaptées à une approche plus collaborative du travail, approche qui est selon moi à la fois plus respectueux de l'humain et plus viable?  Il faut réfléchir.... par soi-même. L'éducation doit nous permettre de répondre à nos besoins, locaux avant tout. Si extirpés de notre milieu, nous ne savons rien faire mais que nous savons solutionner efficacement nos besoins dans notre milieu, où est le problème? Je veux dire par là qu'il faut se soucier avant tout de prendre en main sa vie, en toute dignité (ne pas tendre la main, ne pas compter sur autrui pour nous sortir de la mouise, ...) Une fois cette approche plus ou moins installée, quand tu prendras quelque chose venant d'ailleurs, tu prendras juste ce que tu auras identifié comme un élément te faisant défaut pour l'atteinte d'un objectif... C'est mon point de vue!  

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    reply_author il y a 3 ans

    a la maison je suis d'accord (responsabilité individuelle), en entreprise/adminsitration/conduite du pays, pas d'accord avec le masla (yeufou gneup=le masla n'y a aucune place car qui nous a donné un mandat pour passer l'éponge au nom du collectif?) Et soulignons qu'il s'agit du collectif présent et à venir (nos enfants et leurs enfants,...)

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    reply_author il y a 3 ans

    Commence la rigueur par toi en corrigeant tes fautes.

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    reply_author il y a 3 ans

    Je fais ma carrière en Europe. Crois-moi, la jalousie j'y suis de temps en temps confronté. Pour l'incompétence, c'est beaucoup plus fréquent. je ne suis pas un spécialiste mais voici ce que m'inspire ton commentaire: si on a besoin de changer les choses, on peut peut-être le faire "tout seul" (j'en doute fort d'ailleurs) mais on ne peut le faire de façon viable qu'en faisant adhérer notre entourage au changement. Si seules les belles idées permettaient d'avancer, le Sénégal (et le monde) ne serait pas si mal en point. On en est là, au Sénégal et dans le monde, pas parce que rien n'est proposé comme solutions à nos difficumltés mais parce qu'il se pose surtout la question du comment faire connaitre et mettre en oeuvre ces solutions.  Bref, il faudrait idéalement que, quand on a une idée lumineuse à proposer, qu'il y ait à notre coté quelqu'un ou quelques uns pour faire en sorte qu'une masse critique de personnes adhèrent à cette idée et la mette en pratique, l'évalue et la bonifie collectivement, etc   

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    ABC6 il y a 3 ans

    Laissez nos valeurs tout tranquille. Nous avons de vrais valeurs que nous envions pas aux autres. au contraire ceux sont des leviers sur lesquelles nous pouvons nous appuyer pour construire des entreprises fortes. faut juste dire que celà ne suffit pas car l'entreprenariat cest un Tout : c'est d'abord des idées, le gout du rique, lexpérience, de volontariat, d'esprit d'initiatives etc. dans nos écoles, nous faisons trop de théorie. des études de cas pratiques basée sur nos vraies réalités doivent etre confectionnée dans le slaboratoires des grandes écoles pour mieux préparer les futurs leaders de demain💯

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    reply_author il y a 3 ans

    c'est parce que vous ne savez absolument rien de l'Anglais !!! C'est vrai que l'anglais n'utilise qu'un seul pronom (You qui peut référer à "tu" ou "vous"). L'interprétation dépendra du contexte. Que faites vous de "Sir", "Mister" ou "Madam" ? Le vouvoiement existe bel et bien en anglais ! 

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    reply_author il y a 3 ans

    C'est la meme chose avec nos langues nationales pas de "vous"

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    Jeunesse Patronale du Sénégal il y a 3 ans

    Le probléme de l'employabilité et de la productivité réside principalement dans le management des compétences. Les génies sont dans tous les domaines, mais ce qui leurs fait défaut c'est un systéme de valeurs de travail cent pour cent sénégalais. Le travail bien fait va de pair avec une organisation morale bien définie (un peu comme le Baye Fallisme). L'accent doit être mis sur le fait qu'un bon employé ou un bon entrepreneur doit à chacune de ses actions rendre plus grande l'image de ce pays et devenir son heros comme le font les américains qui ont étè bien inspirés par les réalisateurs de grands films (Captain America, Superman, etc). Jpscourriel07@gmail.com

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    reply_author il y a 3 ans

    Tu as dit ce qu'il fallait dire et conseiller. Ton commentaire vaut plus que cet article. Tout le reste est du bla bla. 

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    Webmaster il y a 3 ans

    Pourtant je suis informaticien j'ai ma licence de 2019 et mon Master d'ici deux mois ... J'ai développé beaucoup de projets web  Actuellement je travaille comme freelance .. J'ai essayé de déposer dans les entreprises main rien  Chaque mois je postule près 50 sur internet mais j'ai pas encore eu la chance de décrocher du travail  Finalement je vends des arachides, du maïs ect... Et le projet que je gagne parfois pour satisfaire mes besoins vitaux ... Thiey Sénégal 

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    reply_author il y a 3 ans

    suggestion: démarcher certaines structure  pour leur proposer de faire leur site web. L'hopital Dantec par exemple Courage et que Dieu te facilite

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    Ok il y a 3 ans

    Le probleme peut se poser sur la personne ... ou sur le diplomé bien vrai que le niveau maintenant reste à désirer mais aussi il ne faut pas tout imputer a la jeunesse ... la quasi totalité de ces entreprises sont des privés et ils ne mettent jamais leur employés dans de bonne condition meme niveau salaire le baréme n est pas respecté... exple tu vois  un bac plus 5 avec un salaire entre 150 et 200000 avec zero evolution ... s il y a une augmentation c est moins de 10000 frc... et  pendant ce temps le boss fait ce qu il veut pas d etat financier pas de bilan annuel et en fin d année il vont te dire que khaliss amoul donc pas de prime .... hors ils ont tout .... a la fin les employés ne se cassent plus la tête... 

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    reply_author il y a 3 ans

    Excellent point de vue. Très pertinent

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