Calendar icon
Tuesday 13 May, 2025
Weather icon
á Dakar
Close icon
Se connecter

Grève dans le secteur agricole : SYNTTAS déclare une nouvelle phase de lutte

image

Grève dans le secteur agricole : SYNTTAS déclare une nouvelle phase de lutte

Après 48 heures de grève générale renouvelable ayant paralysé le Centre de Formation Professionnelle Horticole de Camberene, le Syndicat National des Techniciens et Travailleurs de l'Agriculture du Sénégal (SYNTTAS) pointe du doigt le mutisme des autorités ministérielles. Dans un communiqué de presse, le bureau exécutif national du SYNTTAS a exprimé son mécontentement face au silence des autorités du ministère de l'agriculture de la souveraineté alimentaire et de l'élevage, qualifié de « mépris » envers les responsables syndicaux.
Dans le cadre de cette lutte, le bureau exécutif national du SYNTTAS a condamné fermement cette attitude et a décidé d'intensifier les actions. En effet, le syndicat a annoncé plusieurs mesures, dont notamment « la paralysie totale du secteur de la formation agricole » avec la déclaration de « 72 heures de grève renouvelables ». De plus, le SYNTTAS a appelé au « boycott des examens de sortie et d'entrée dans tous les centres de formation agricole ».
Une autre action notable décidée lors de la réunion du bureau exécutif national du SYNTTAS est la tenue d'une conférence dans la semaine à venir. Cette conférence vise à « informer l'opinion nationale de la gestion nébuleuse et chaotique du directeur du CFPH par rapport aux ressources générées du centre ».
Auteur: Moustapha TOUMBOU
ESABAT banner

Comments

  • image
    goudomp il y a 1 an

    le nouveau patron de ce secteur doit impérativement apporté une solution le plus rapidement possible . ce secteur est primordial dans le procesus de developpement de notre pays. faut corriger tous les anomalies effectuées par l'ancien régime criminel .  

  • image
    il y a 1 an

    Ce centre qui a formé plusieurs cadres dans le domaine de l'horticulture ne mérite pas ça. Au moment où on parle de Jub. Jubal  Jubanti, les autorités doivent régler  ce problème de mal gouvernance. 

Participer à la Discussion