Nouveau drame de la route dans la commune de Kolda. Les faits se sont déroulés ce mardi soir au quartier Sikilo château d'eau. Selon le constat de la police, le chauffeur du camion tentait d'éviter un autre camion, mal stationné sur la chaussée.
Au cours de la manœuvre, il a fait face à un taxi venant dans le sens inverse. En tentant d'éviter ce dernier, il a perdu le contrôle et a fini sa course dans un atelier de soudure métallique situé le long de la route.
C'est à cet endroit, qu'il a trouvé la victime, qui était assise, comme d'habitude, chaque soir pour discuter avec le gérant de l'atelier, qui se trouve être son petit frère.
Aly Biaye, âgé de 40 ans et professeur d'espagnol au CEM de Saré Bilaly dans la commune du même nom, est décédée sur le coup.
Le chauffeur du camion ainsi que celui du camion mal stationné sont tous mis aux arrêts, pour homicide involontaire par accident de la circulation et complicité.
Le corps sans vie d'Aly Biaye a été acheminé par les sapeurs-pompiers à la morgue de l'hôpital régional de Kolda. Au village de Saré Bilaly où il enseignait l'espagnol et le français, les populations sont dans la tristesse et la consternation.
Dans la commune de Kolda, dès l'annonce de la nouvelle, les enseignants ont pris d'assaut la morgue de l'hôpital régional. Ils sont venus de partout cette nuit pour rendre un hommage mérité à cet enseignant émérite connu pour son sérieux et son dévouement à la cause de l'école.
L'enquête suit son cours pour en savoir plus sur les causes de cet accident mortel qui a fait perdre à l'école sénégalaise un vaillant professionnel de la craie.
Auteur: ELhadji Coly (correspondant à Kolda)
Comments
Je suis trop triste... Un homme bien... C'est mon compagnon pendant mes vacances à kolda.. Que le bon Dieu lui réserve le paradis.. Ndo repose en Paix ! Amen !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Que son ame repose en paix Quelqu un qu on a trouve' au fond dans son coin, loin de la route, pour le tuer.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Je pense qu il faut rcantonner la circulation des gros porteurs essentiellement sur les RN et les obliger à prendre les VDN quand elles existent ! Et que les aires de stationnement soient établies en dehors des villes ! Organiser les taxi bagages et autres petits véhicules dans le tranvasement des marchandises vers leurs lieux d écoulement pour le compte des commerçants ! Les RN doivent être dégagées au moins sur plus de 40 m de part et d autre de la partie goudronnée et interdire formellement tout activit commerciale sur cette partie ! Désoucher tous les arbres qui bordent les RN et établir des trappes de sable sur cette zone de 40 m ! Interdiction totale des charettes et deux roues type vélo, jakarta, etc d emprunter les RN Ce faisant cela pourrait diminuer les désastres routiers que nous connaissons présentement !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Yalla nako yalla yeureum. Amen!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
lii yeupeu ousmane sonko moko fi indi ak aye casserole lame, térétéré mou teu bayil mou guisse, ak ousmane sonko ak pastéf bakane yangui déme rék ta diékhaguoule. sonko mousiba la dafa mélni daa khabtalou. bou moytouwoule mo ci topeu.beneu kilifa bou make moma wakh nima senegal mi gui fésse déleu ak aye djiné. ta djiné you bone ta sokhore, ta ousmane sonko moléne yé. djiné you ndaw yi nioye féleu car yi ak auto yi niouye daanou. kou moytou woule djiné yi dinaniou dieule sa bakane. dé léne sarakhé taye djangueu ayatoule koursiyou ndakh djiné yi dême séne yone. ousmane sonko nitou sobéla, nitou fitna la. réw moumou nék , moussiba rékeu mofaye ame
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Caramba! Paix à son âme.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
un zoo se merite !!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ce pays sera dur à changer personne ne veut progresser. Pour c est facile allez en Europe Asie Amérique et même certain pays africains et copier commment faire des routes aux standards internationaux. On a pas besoin de te-inventer la roue
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Paix à son âme
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
L'indiscipline règne dans ce pays d'insulteurs
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bitume troué de spectaculaires nids-de-poule, poids lourds vétustes chargés jusqu’à la gueule, irruption intempestive de bétail sur le « goudron »… Un peu partout, en Afrique, prendre la route relève d’une forme d’aventure qui vire parfois à la tragédie. Les deux catastrophes survenues coup sur coup au Sénégal viennent d’en livrer une douloureuse illustration : le 16 janvier, 22 personnes ont péri dans la collision d’un car et d’un camion, huit jours après un accident routier qui avait fait plus de 40 morts et provoqué une onde de choc à travers le pays. Ces drames n’ont rien de spécifiquement sénégalais. Ils auraient pu se produire dans bien d’autres pays du continent. Selon la Banque mondiale, l’Afrique subsaharienne accusait en 2019 une mortalité sur les routes de 27 personnes pour 100 000 habitants, contre 17 en Amérique latine, 12 en Amérique du Nord et seulement 6 au sein de l’Union européenne. Le taux dépasse même les 35 pour 100 000 dans des pays comme le Zimbabwe, le Liberia ou le Burundi. Comme le rappelait, fin novembre 2022, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, parmi les victimes des accidents routiers, 9 sur 10 se trouvent dans les pays à faible ou moyen revenu. Et donc tout particulièrement sur le continent africain, qui est pourtant la région la moins motorisée du monde. Sur ce dernier point, les choses évoluent : l’Afrique, ses villes, sa population ne cessent de croître et, avec elles, le nombre de voitures, de bus ou de deux-roues. Mais les règles de circulation et l’aménagement des voies ne suivent pas. Les lois – sur le port du casque, celui de la ceinture, l’alcoolémie – sont inexistantes ou mal appliquées et les infractions rarement réprimées. Une nature souvent puissante inflige de gros dégâts aux infrastructures routières. Mais les travaux d’entretien sont jugés coûteux. Et le parc automobile de nombreux pays africains est tributaire de voitures ou de minibus d’occasion, importés sans normes contraignantes. Des véhicules parfois si défectueux qu’ils ne seraient plus autorisés à rouler là où ils ont été vendus. Productivité affectée Si rien ne change, les maux de la route engendreront un coût humain de plus en plus lourd, en plus d’être un véritable frein au développement. La mobilité est pourtant un outil indispensable pour réduire la pauvreté. Les transports facilitent l’accès à l’emploi, à l’éducation, aux soins de santé. Ils stimulent les échanges commerciaux en reliant des biens à leur marché. On peut toujours se réjouir qu’aujourd’hui, grâce au téléphone portable, un agriculteur au Kenya puisse connaître les cours et la demande pour son maïs, ses arachides ou ses haricots. Mais sans route ni véhicule pour les acheminer, il ne saura que faire de ces informations. Las, les bienfaits de la circulation des biens et des personnes sont neutralisés par les risques de morts ou de blessures graves. D’abord parce que les décès dus à ces accidents touchent plus particulièrement la population jeune et active. Sans compter les séquelles, lésions et handicaps qui peuvent affecter à long terme les rescapés. La survie économique de nombreux foyers peut ainsi se trouver brutalement fragilisée et la productivité des pays en est affectée. Une étude de la Banque mondiale publiée en 2018 souhaitait quantifier les gains de revenus que les pays en développement pourraient obtenir en réduisant le nombre de décès et de traumatismes liés à l’insécurité routière. Résultat : une baisse de 10 % des morts entraînerait une augmentation moyenne du PIB par habitant de 3,6 % sur vingt-quatre ans. « Les investissements dans la sécurité routière constituent également un investissement dans le capital humain », soulignaient les auteurs.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bitume troué de spectaculaires nids-de-poule, poids lourds vétustes chargés jusqu’à la gueule, irruption intempestive de bétail sur le « goudron »… Un peu partout, en Afrique, prendre la route relève d’une forme d’aventure qui vire parfois à la tragédie. Les deux catastrophes survenues coup sur coup au Sénégal viennent d’en livrer une douloureuse illustration : le 16 janvier, 22 personnes ont péri dans la collision d’un car et d’un camion, huit jours après un accident routier qui avait fait plus de 40 morts et provoqué une onde de choc à travers le pays. Ces drames n’ont rien de spécifiquement sénégalais. Ils auraient pu se produire dans bien d’autres pays du continent. Selon la Banque mondiale, l’Afrique subsaharienne accusait en 2019 une mortalité sur les routes de 27 personnes pour 100 000 habitants, contre 17 en Amérique latine, 12 en Amérique du Nord et seulement 6 au sein de l’Union européenne. Le taux dépasse même les 35 pour 100 000 dans des pays comme le Zimbabwe, le Liberia ou le Burundi. Comme le rappelait, fin novembre 2022, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, parmi les victimes des accidents routiers, 9 sur 10 se trouvent dans les pays à faible ou moyen revenu. Et donc tout particulièrement sur le continent africain, qui est pourtant la région la moins motorisée du monde. Sur ce dernier point, les choses évoluent : l’Afrique, ses villes, sa population ne cessent de croître et, avec elles, le nombre de voitures, de bus ou de deux-roues. Mais les règles de circulation et l’aménagement des voies ne suivent pas. Les lois – sur le port du casque, celui de la ceinture, l’alcoolémie – sont inexistantes ou mal appliquées et les infractions rarement réprimées. Une nature souvent puissante inflige de gros dégâts aux infrastructures routières. Mais les travaux d’entretien sont jugés coûteux. Et le parc automobile de nombreux pays africains est tributaire de voitures ou de minibus d’occasion, importés sans normes contraignantes. Des véhicules parfois si défectueux qu’ils ne seraient plus autorisés à rouler là où ils ont été vendus. Productivité affectée Si rien ne change, les maux de la route engendreront un coût humain de plus en plus lourd, en plus d’être un véritable frein au développement. La mobilité est pourtant un outil indispensable pour réduire la pauvreté. Les transports facilitent l’accès à l’emploi, à l’éducation, aux soins de santé. Ils stimulent les échanges commerciaux en reliant des biens à leur marché. On peut toujours se réjouir qu’aujourd’hui, grâce au téléphone portable, un agriculteur au Kenya puisse connaître les cours et la demande pour son maïs, ses arachides ou ses haricots. Mais sans route ni véhicule pour les acheminer, il ne saura que faire de ces informations. Las, les bienfaits de la circulation des biens et des personnes sont neutralisés par les risques de morts ou de blessures graves. D’abord parce que les décès dus à ces accidents touchent plus particulièrement la population jeune et active. Sans compter les séquelles, lésions et handicaps qui peuvent affecter à long terme les rescapés. La survie économique de nombreux foyers peut ainsi se trouver brutalement fragilisée et la productivité des pays en est affectée. Une étude de la Banque mondiale publiée en 2018 souhaitait quantifier les gains de revenus que les pays en développement pourraient obtenir en réduisant le nombre de décès et de traumatismes liés à l’insécurité routière. Résultat : une baisse de 10 % des morts entraînerait une augmentation moyenne du PIB par habitant de 3,6 % sur vingt-quatre ans. « Les investissements dans la sécurité routière constituent également un investissement dans le capital humain », soulignaient les auteurs.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
pas de suppression : ai fait une sauvegarde 0;) !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Un homme d'une gentillesse et d'une fidélité extraordinaire. Je l'ai connu à Goudomp alors qu'il était élève au collège. Depuis il est resté fidèle. Les dernières vacances il m'a rapporté de l'huile de palme et a passé la journée à la maison. Mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alissia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->>> WWW.X21.FUN
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alissia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante >> WWW.X21.FUN id03180672
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alisia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante >> WWW.X21.FUN id07646007
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Participer à la Discussion