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Le marabout, les entrepreneurs et le parfum "miraculeux" vendu à plus de 800 000Fcfa

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 Ousmane Sène et son ami Mamadou Mourtalla Dieng voulaient  fructifier leurs activités professionnelles. Après avoir bénéficié des prières du marabout Mamadou Diop (56 ans), les plaignants expliquent que le marabout leur avait suggéré d'acheter un parfum dénommé "Catadalia" pour que le travail mystique soit accepté par les djinns.
Le parfum Catadalia est vendu à 800 000  F CFA chez le commerçant  Djiby Diop (57 ans) et gérant d'une boutique de cosmétique au quartier Diamaguene 2 de Mbour. Sur place, ils achèteront finalement le parfum miraculeux à 810 000 F CFA. Le commerçant leur assure que le prix du parfum avait augmenté.
Pour mieux ferrer Ousmane Sène et Mamadou Mourtalla Dieng, le marabout va réciter des incantations avant d'assurer que ses "rawanes" exigeaient un second parfum de la même marque. Les plaignants l'achèteront cette fois-ci à 815 000 F CFA.
Au total, Ousmane Sène et Mamadou Mourtalla Dieng ont déboursé 1 625 000 F CFA pour les deux parfums "Catadalia".
Après avoir encaissé l'argent, le marabout s'est volatilisé. Il sera localisé à Thiès où il sera alpagué par des clients qu'il avait dépouillés suivant le même procédé. Ces derniers ont exigé la restitution contre sa libération. 
Arrêté après une plainte d'Ousmane Sène et de son ami Mamadou Mourtalla Dieng, Mamadou Diop raconte que c'est son oncle Nassir Diagne dit "Pape Diagne" (46 ans), qui est aussi marabout, qui lui a suggéré d'imposer ce parfum à ses clients. Car les séances de voyance ne rapportaient pas grand-chose. Djiby Diop devait juste leur dire que s'ils voulaient que leurs soucis soient résolus, il fallait acheter le Catadalia. Pape Diagne l'aurait ainsi mis en rapport avec le commerçant  Djiby Diop qui devait se charger de leur vendre le produit. 
Ils ont ainsi, pour un début, vendu le parfum à 60 000 F CFA, puis deux à 600 000 F CFA et obnubilé par le profit, ils n'ont pas hésité à le vendre à 800 000 F CFA l'unité. 
Mamadou Diop, Pape Diagne et Djiby Diop ont été jugés à la barre du tribunal des flagrants délits de Mbour pour association de malfaiteurs, escroquerie et complicité d'escroquerie. Mamadou Diop confie que les recettes de la vente étaient partagées entre son oncle Pape Diagne qui fabriquait le parfum, le commerçant Djiby Diop et lui. Les deux derniers ont botté en touche les accusations de Mamadou Diop. 
Le procureur a requis 2 ans ferme contre les prévenus.  Maitre Fadel Fall, avocat de Djiby Diop, a assuré que son client ne savait rien des projets délictuels du marabout Djiby Diop. Il a ainsi demandé la relaxe pure et simple de son client.
Ils seront fixés sur leur sort mardi prochain.  
Auteur: Khady NDOYE Correspondante Mbour
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Comments

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    il y a 1 an

    C tous des escrots à l'image de celui qui se dit "­­­Serigne Abo DIOP" setou "Serigne Massamba Diop Sam", un escrot international. Faites attention à lui, il sévit sur Youtub avec ses complices et se dit marabou de Sonko.

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    ???? il y a 1 an

    Que des diobenes

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    il y a 1 an

    Ce qui est dommage dans ce pays, même les soit disant intellectuels sont des idiots. Comment on peut  faire recourir à des prières pour gagner un marché? Ya aucun pays au monde que la prière a développé. Le développement c'est par le travail,  il faut être un fainéant africain et sénégalais en particulier pour croire qu'on peut croiser les bras et laisser la prière travailler à notre place. 

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    Le marabout ne risque rien et il y a 1 an

    Il vends il est libre de fixer le prix qu'il souhaite ils ont acheter en connaissance de cause donc les acheteurs n'avais pas l'obligation d'acheter s'il ne voulais pas... 

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    reply_author il y a 1 an

    On doit tous se préparer à un dernier soulèvement populaire auquel Macky nous invite et qui est inévitable au vu de ce qui se trame. Macky a une garantie de la France qu'en cas d’émeutes lui et sa famille ainsi que ses frères, sœurs et belle-famille  seront extirpés garce par l'armée française qui a un mur mitoyen avec sa maison de Mermoz  dont on nous dit un tunnel est construit par des ouvriers turques depuis les évènement de mars 2021.     D'ailleurs c'est ce qui explique qu'il défie et provoque constamment le peuple mais qui connait Macky sait qu'il n'a pas ce courage. Il est prêt à détruire le Sénégal. C'est pour cela bien que talibé on a du mal à comprendre le mutisme des guides religieux   Macky a soit corrompu soit intimidé toute personne qui pourrait dire non. Ou sont les YEN A MARRE, les intellectuels, les universitaires, les journalistes, les membres de la société civile, les guides religieux, tous ces gens là qui devaient lui dire stop publiquement pour ne pas arriver à cette situation regrettable de tueries et d'emprisonnements sans raison. Il les a tous corrompus ou intimidés. Macky avec sa peur manifeste de l'avenir pourrait bien faire mal en détruisant ce qui reste de ce pays.   Macky n'a aucunement confiance en Amadou Ba. Il le connait bien car les deux ont les mêmes traits de caractères. Des traitres qui en position de faiblesse ou de demande acceptent qu'on les humilie en public comme quand il a rejeté la main tendue Amadou BA avec mépris et violence mais une fois au pouvoir devienne des psychopathes avec une méchanceté inouïe. Le tyran en a parlé en privé et en veut à Macron qui lui a imposé Amadou Ba. Macky préfère Sonko à Amadou Ba c’est pour vous dire le niveau de détestation c'est pour cela qu'il fera tout pur capoter ces élections et les repousser. Que ce soit en 2024 ou en 2026, il faut arrêter et juger Macky.   Pourquoi, il faut impérativement arrêter Macky Sall le soir du 24 février 2024; que Sonko ou Amadou Ba ou bien Diomaye Faye soit président qu’importe pour nous. L’essentiel est qu’il réponde des tueries avec un procès juste et équitable même s’il ne l’a jamais été. Les candidats doivent déjà réfléchir à la stratégie à mettre en place pour éviter qu’il quitte le territoire national. Poltron qu’il est, il pourrait même ne pas faire la passation de service c’est-à-dire partir discrètement.   il faudra l'arrêter le jour de la passation de service ou le jour de la proclamation des résultats  si l'on veut que les crimes soient élucidés notamment les disparitions brutales de Didier Badji et Fulbert Sambou, Pour ces deux-là de sources sures, le tyran a été à l'origine et c'est  entre lui et Moussa Fall. Le menteur Mandiambal Diagne n'en est pour rien du moins pour les infos que je détiens et que je divulguerai ( deux enregistrements audios).  Macky c'est plus ce dossier qui le fait peur. C'est vrai que c'est inélégant d'arrêter un président le jour de la passation de service même s'il l'a ete durant tout son mandat. Mais s'il échappe, il ne reviendra plus jamais et il sera très difficile de l'extrader car il a des soutiens à l'international avec Macron derrière; d'ailleurs c'est ce qui explique le mutisme de la communauté internationale sur ces tueries et emprisonnements sans raison.  Je ne dirai pas non à des assassinats ciblés à tous ces juges, commissaires de police et gendarmeries et fonctionnaires qui ont pris des décisions gravissimes. C’est la seule face de rendre justice de façon juste.   Important de voir comment l'arrêter le jour de la passation de service Fulbert Sambou, Pour ces deux-là de sources sures, le tyran a été à l'origine et c'est  entre lui et Moussa Fall. Le menteur Madiambal Diagne n'en est pour rien du moins pour les infos que je détiens et que je divulguerai ( deux enregistrements audios).  Macky c'est plus ce dossier qui le fait peur.      

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    il y a 1 an

    Bien fait pour eux

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    il y a 1 an

    Et les Sénégalais qui croient à L'HOMME PROVIDENTIEL , celui qui transformera le Sénégal en Paradis une fois au pouvoir  . Ces Sénégalais qui en arrivent même à tuer d'autres sénégalais pour un simple PROJET. Rien ne leur garantit  pourtant de science certaine que ce Projet répondra à leurs aspirations. Rien ! Même si j'ai entendu deux de ses fans le  défendre dans une fameuse émission en disant que " l'espoir fait vivre ". C'est vrai mais à condition que KHAR BI BAGNA YAGUE.  Wa Salam. PS: Une connaissance quelque peu cynique me disait qu'il lui arrivait de souhaiter l'arrivée au pouvoir de Monsieur l'Homme Providentiel pour le plaisir de voir les réactions de ses fans  quand les premiers problèmes vont inéluctablement survenir. Pour qu'ils comprennent enfin que c'est Dieu qui est aux commandes. FI ADOUNA KÉNE MENOUL ,KOU YALLA DIAPALÉ REK MO FI AME aime- t- il a répéter.. Il y'en a qui l'oublie .    

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    reply_author il y a 1 an

    Arabie Saoudite s'est faite avec la prière du prophète Abraham (AWS)

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    reply_author il y a 1 an

    Toi, tu dois être un dangereux malade mental en errance

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    JeuneFilleSénégalaise il y a 1 an

    Merci de lire; l'oubli est la ruse du diable. Source : https://pastef.org/appel-aux-patriotes/ Pourquoi le Sénégal, qui avait le même niveau de développement que la Corée du Sud en 1960, est actuellement classé au 155e rang mondial de l’indice de développement humain, au moment où le « Pays du Matin calme » (dont les marques Samsung, LG et autres Hyundai font le bonheur des Sénégalais) occupe le 15e rang ? Pourquoi le Sénégal, pays qui, malgré les ravages de la colonisation, est sorti de cette période avec davantage d’acquis (port, université, chemin de fer, cadastre urbain…) que les autres colonies françaises de l’ouest africain, se voit aujourd’hui supplanter dans bien des domaines par ses voisins ? Pourquoi le Sénégal, malgré sa tradition intellectuelle aussi ancienne que forte, malgré qu’il n’ait jamais connu de coup d’Etat militaire, malgré qu’il ait longtemps été choyé par l’aide publique au développement, malgré qu’il se targue de cultiver une cohésion sociale solide et de posséder une administration publique correcte, pourquoi le Sénégal n’a pas su se hisser, au minimum, au même niveau que la Malaisie, un pays qui, il y’a 50 ans, ne partait pas sur de meilleures bases que nous alors qu’il nous fait aujourd’hui rêver ? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-ce le nom du pays de l’argent facile admis comme ascenseur social, du verbe facile au détriment de l’action concrète, du paraître au détriment de l’être, du népotisme au mépris de la compétence, de l’hypocrisie déguisée en pudeur et érigée en valeur sociale ? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-ce le nom d’une nation où l’argent-roi structure les rapports sociaux, où l’argent vaut mieux que l’intégrité, où la politique constitue un métier comme un autre, permettant de s’enrichir tout en s’achetant un brevet de bonne conduite sociale à coups de largesses? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-il synonyme d’occasions manquées, d’espérances gâchées, d’ambitions ravalées, de potentialités étouffées, de labeur sans cesse recommencé, de l’échec qui, inévitablement, couronne nos malheureuses tentatives de réussir quelque chose de bien, quelque chose de grand, quelque chose de durable ? Il est temps que cela change. Le monde d’aujourd’hui est impitoyable, plus que d’habitude devrait-on dire car le monde n’a jamais été un havre de bonheur tranquille… La mondialisation de l’économie a fait de la planète un immense terrain de jeu où les règles peuvent se résumer en un mot : compétitivité. Seuls les meilleurs au jeu auront une chance d’acquérir et de conserver un niveau de vie élevé. Les autres ne disparaîtront pas mais ils seront condamnés à survivre à la périphérie, en sous produits du système capitaliste. La mondialisation du droit a unifié les règles du jeu ; aucun Etat ne peut imposer les siennes propres qui lui seraient a priori favorables. La mondialisation est une chance si l’on sait en exploiter les immenses possibilités, car elle peut raccourcir le temps de l’émergence. Elle sera un tombeau si l’on n’est pas capable de s’adapter à ses immenses défis, car elle peut accélérer le temps du déclin. Il faut donc mettre le Sénégal en position de remporter cette bataille. C’est à la fois facile et difficile. Facile, car le chemin est connu, difficile car emprunter le chemin et s’y maintenir nécessitent énormément d’efforts, de volonté et de patience. Ce chemin, on peut presque le décrire en deux mots : 1. Travail : ayons la lucidité de reconnaître que la valeur travail n’est pas suffisamment enracinée dans nos modes de vie, à de rares exceptions près. Pour trop de Sénégalais, particulièrement au sein de cette frange censée représenter l’« élite », le travail est une souffrance à laquelle on cherche à échapper en louvoyant, en trichant, en faisant semblant (car, en même temps, on aime l’argent que procure le travail). Mais lorsque le travail est érigé au rang de valeur, lorsque cette valeur est incarnée par des dirigeants de qualité, le travail se révèle source d’épanouissement, au-delà de la rémunération matérielle qu’il procure. 2. Éthique : ayons le courage de reconnaître que l’intégrité constitue chez nous davantage une posture qu’une conviction. Nous aimons parler des valeurs, de ce qui doit être, de la morale et de la religion, mais cela se limite à la rhétorique… Or, sans ces interdits que chacun doit se fixer pour éviter de nuire aux autres, jamais les comportements du plus grand nombre ne sécrèteront le bonheur collectif. Les bases éthiques du comportement individuel, chacun peut les puiser dans la religion s’il en pratique, dans la tradition s’il y est attaché, ou, en l’absence même de référentiel axiologique, dans la simple conscience que certains actes nuisent à l’intérêt collectif et donc, dans le long terme, à soi-même. Prendre conscience des autres, toujours tenter de concilier son intérêt propre avec l’intérêt des autres, il y’a un sentiment qui permet d’y parvenir et que chacun doit s’efforcer de cultiver : c’est la fraternité. C’est pour insuffler une nouvelle dynamique sociale, reposant sur le travail et sur la fraternité, que nous proposons une nouvelle offre politique.  Pourquoi faire de la politique, dans un pays où la politique a aussi mauvaise presse, où elle a été tant discréditée par les comportements des hommes politiques ? Parce que la politique reste la moins mauvaise manière de se mettre au service de l’intérêt collectif. Le Sénégal est un Etat démocratique et les outils et procédures qui permettent de toucher le plus grand nombre de citoyens pour, si l’on est investi de leur confiance, tenter d’améliorer leurs conditions de vie, ces outils et procédures relèvent du champ politique.  Quitte à faire de la politique, pourquoi créer un nouveau parti dans un pays qui en regorge déjà ? Parce que l’inflation des partis (il en existerait actuellement plus de deux cents…) est justement la preuve que ce pays est encore à la recherche d’une offre politique crédible, sincère et capable de porter les aspirations de la majorité des Sénégalais. Qu’est-ce que la nouvelle offre politique prétend avoir de différent par rapport aux innombrables l’ayant précédée ? Elle a cette différence d’être portée par des citoyens qui sont réunis autour de trois principes :  1- la nécessité de « démarchandiser » la politique : l’argent a pris une place inconsidérée dans la pratique politique au Sénégal, or ces citoyens n’ont aucunement l’intention de faire de l’argent leur arme de guerre. Ils ne souhaitent pas acheter des convictions, ce qu’ils souhaitent c’est convaincre par les idées, par des comportements vérifiables au quotidien, par un amour profond pour le Sénégal et par l’intime conviction que, malgré l’immensité de la tâche, il est encore possible de redresser ce pays ;  2- la nécessité de trouver de nouvelles voies de développement économique et social : depuis 50 ans, quels que soient les gouvernements en place, les politiques publiques empruntent les mêmes schémas, avec la même forte dépendance à l’aide extérieure. Ces schémas ont largement prouvé leur inefficacité, voire leur caractère nuisible, et il faudra du courage politique pour rompre avec eux et inventer une nouvelle gouvernance économique et sociale ; 3- la nécessité de redéfinir le contrat sociétal qui lie les Sénégalais : depuis plusieurs années, sous l’effet de la crise économique et sociale mais aussi des manipulations politiciennes, la société sénégalaise est entrain de se déliter lentement mais sûrement. Les communautarismes (à base religieuse, confrérique, ethnique, régionaliste, etc.) augmentent, le repli sur soi grandit et l’action publique devient de plus en plus le reflet d’influences dominantes qui se succèdent, au lieu de traduire un projet national fédérateur, stable, projeté vers le futur, tout en étant respectueux des identités spécifiques.  C’est à cette nouvelle offre politique que nous vous proposons, non pas nécessairement d’adhérer, mais de prêter une oreille attentive, pour juger par vous mêmes les femmes et les hommes qui l’animent, pour entendre le diagnostic qu’ils font des maux dont souffre notre pays ainsi que les solutions qu’ils proposent, pour évaluer et critiquer la qualité de leur action, pour apprécier leur sincérité et, à l’heure des choix importants pour le devenir du Sénégal, pour en tirer toutes les conséquences en vous laissant guider par une seule chose : la recherche du meilleur intérêt de ce pays que nous avons en commun.  Ceci est donc un appel. Cet appel repose sur la conviction que, dans l’âme de la majorité des Sénégalais, malgré le découragement, en dépit de la tentation égoïste, au-delà de la crainte que peuvent inspirer des forces hostiles, il survit une flamme qui refuse de s’éteindre : c’est la flamme du patriotisme.  De cette flamme, nous voulons faire un feu qui chassera les ténèbres du repli sur soi, du pillage des ressources publiques, du clientélisme, de la gabegie, de l’incompétence, bref, des nombreux maux qui gangrènent ce pays que nous refusons de contempler à l’abandon.  Oui, nous voulons mériter le beau nom de patriotes car nous avons une dette envers notre pays et nous entendons la payer. Sans naïveté aucune ! Nous sommes conscients de l’ampleur de la tâche et nous entendons déjà les ricanements des sceptiques : le patriotisme, cette vieillerie, cette idée démodée, cet idéal poussiéreux… Mais nous n’avons pas peur de paraître démodés car nous mesurons trop l’état de délabrement économique, social et moral dans lequel baigne notre pays ; nous souffrons trop des mensonges et des actes qui perpétuent cet état ; nous croyons trop dans le triomphe de la volonté, lorsqu’elle est ardente et sincère, lorsqu’elle s’incarne dans cette valeur traditionnelle que certains nomment «PASTËF». C’est pour cela que nous nous engageons dans l’action politique qui, pour nous, signifie l’Action au service de la Cité. Nous vous y invitons, chers Patriotes Sénégalais qui croyez dans le Travail et la Fraternité. Nous ne vous promettons ni richesse ni confort mais beaucoup de labeur et de difficultés à surmonter, avec toutefois au final la plus belle des récompenses : le sentiment d’avoir été utile à son pays.

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    deugg il y a 1 an

    SALAM le Prophète psl nééna: kouy déme si ndiabarkat gueumoo

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    reply_author il y a 1 an

    Tu es dans ta logique.

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