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Licenciements à la CBAO : La banque toujours sur le pied de guerre avec ses trois agents licenciés

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Mansour Diallo, Alioune Seck et Papa Doudou Tounkara, trois délégués du personnel devraient réintégrer la CBAO après l'annulation de leur liciement 
après que leur licenciement prononcé avec la bénédiction de l’inspection régionale du travail de Dakar, a été annulé par le ministre du Travail.
Mais la hache de guerre est loin d'être enterrée. Venus ce lundi matin pour reprendre leur travail après la décision du ministre du travail, ils n'ont pas réussi à mettre les pieds dans les locaux. Sur la Rfm , le chargé des revendications et porte-parole du collège des délégués  de  la CBAO affirme que la banque a fermé ses portes pour ses trois collègues.
‘’A notre grande surprise,la CBAO a refusé à nos collègues d'accéder à la banque aujourd'hui alors qu'ils étaient venus pour travailler. C'est dommage parce ce que ca montre qu'ils ne respectent même pas les decisions des autorites senegalaises qui ont instruit la réintégration de nos collegues’’,a fait savoir Raoul Kalli, la charge des revendications et porte parole du collège des délégués  de CBAO  sur la Rfm.
A rappeler que Diallo, Seck et Tounkara ont été virés pour «fautes lourdes», d’après la direction de la CBAO, payant ainsi leur engagement aux côtés de leurs collègues dans leur combat pour, notamment, l’amélioration de leurs conditions de travail.
Auteur: Adama Sy
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Comments

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    il y a 9 mois

    La cbao a la possibilité de contester la décision du ministre devant les tribunaux En tout été de cause, dans le privé une décision de réintégration est difficile à appliquer et est souvent inopportune Ce qui est raisonnable et qui s’applique habituellement dans le privé c’est de payer aux licenciés une indemnisation Dans l’administration la décision de réintégration s’applique plus facilement car on peut affecter les intéressés dans un autre établissement ministériel En conclusion, dans le privé quand ton employeur décide de se séparer d’un employé, personne n’y peut rien

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    il y a 9 mois

    Les entreprises les multinationales sous nos cieux font du n'importe quoi. Virer des délégués syndicaux mais bon sang c'est leur rôle de défendre les intérêts des travailleurs

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    il y a 9 mois

    Ou est la solidarité, vous les employés de la Cbao allez tous en grève pour soutenir vos trois collègues bon sang, caramba y carambita

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    il y a 9 mois

    Ou est la solidarité, vous les employés de la Cbao allez tous en grève pour soutenir vos trois collègues bon sang, caramba y carambita

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    il y a 9 mois

    Ou est la solidarité, vous les employés de la Cbao allez tous en grève pour soutenir vos trois collègues bon sang, caramba y carambita

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    il y a 9 mois

    Ou est la solidarité, vous les employés de la Cbao allez tous en grève pour soutenir vos trois collègues bon sang, caramba y carambita

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    il y a 9 mois

    Ou est la solidarité, vous les employés de la Cbao allez tous en grève pour soutenir vos trois collègues bon sang, caramba y carambita

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    senegalais de la diaspora il y a 9 mois

    La loi du travail s'applique à tout le monde, privée comme public, ça tout simplement dire que la CBAO faisait comme bon lui semble du temps de ce connard Macky. Maintenant, c'est fini, soit ils sont en conformité avec la loi au Sénégal, soit, ils foutent le camp.

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    reply_author il y a 9 mois

    Tu racontes n'importe quoi. Depuis quand une entreprise peut se séparer d'une personne sans que la justice n'y puisse rien si ce n'est pas légal. Arrêtez de jouer au connaisseur sans connaissance, l'entreprise a le droit de faire appel mais chaque licenciement est susceptible d'être casser au tribunal s'il y'a non respect du droit du travail

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    Vaut mieux mauvais arrangement il y a 9 mois

    Ce n'est pas aussi évident que cela. Si l'employeur trouve que le droit en matière de leur licenciement a été respecté au regard du code du travail, il peut trouver d'autres alternatives pour trainer les pieds. Aller au tribunal du travail par exemple ou s'il a vraiment une " dent" contre ces 3 ex délégués ( pour lui) , prendre la décision de les ... licencier de nouveau . Cette fois au motif de " Perte de confiance" pour la stabilité sociale interne de l'entreprise... quitte à leur payer des millions de dollars. Déjà vu employeur intimer à son DRH, " je ne veux plus le voir et tampis pour le prix que je dois donner en droits de licenciement". Mais vaut mieux toujours un " mauvais arrangement ". Si j'étais le DRH de la CBAO, je dirais à mon DG de les reprendre en les affectant séparément très loin du Siège. A accepter ou qu'ils démissionnent ou être " démissionnés en cas de refus.

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    il y a 9 mois

    Un decret va remplacer le dg par un ex combattant du projet

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    reply_author il y a 9 mois

    Quelle solidarité arrête de faire le fou! l'entreprise n'est pas un campus universitaire. Tout celui qui se hasarde a faire entrave a la bonne marche de la boite sera mis a la porte. Tu sais la realite du terrain. Ici pas de boulot. L'employeur est roi.

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    reply_author il y a 9 mois

    Quelle solidarité arrête de faire le fou! l'entreprise n'est pas un campus universitaire. Tout celui qui se hasarde a faire entrave a la bonne marche de la boite sera mis a la porte. Tu sais la realite du terrain. Ici pas de boulot. L'employeur est roi.

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    dmx il y a 9 mois

    trop de pouvoir au narr dans ce pays

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    reply_author il y a 9 mois

    Je parle de réintégration. Dans la pratique la justice ne prend presque jamais des décisions de réintégration car le retour dans l’entreprise peut être dangereux pour le salarié C’est pourquoi la justice préfère souvent l’indemnisation à la réintégration

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    reply_author il y a 9 mois

    La CBAO ne peut pas ignorer la décision hiérarchique du ministre qui les réintègre après un licenciement ABUSIF. La banque peut contester auprès du juge du travail, mais ce serait à ses risques puisqu’il fortement probable que le juge aille dans le sens du ministre, simplement parce que le licenciement est abusif. L’employeur est obligé de respecter la loi comme partout ailleurs. En outre, il s’agit même pas de réintégration au sens juridique du terme puisque leur licenciement n’a pas été prononcé par un tribunal, c’est sur avis de l’inspection du travail que la Banque a estimé nécessaire de les licencier pour des motifs puérils. Je leur conseillerais de prendre un huissier pour constater le refus de la CBAO de s’exécuter, après saisir le juge pour contester ce refus et exiger le paiement d’astreintes par jour de refus.

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    reply_author il y a 9 mois

    Laisse le. C'est un jeune étudiant pestiféré qui ignore tout de la vie professionnelle. Tu fais tes cochonneries dans une entreprise et tu demandes solidarité. On te fout à la porte avec toute personne qui tente de se solidariser.

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    il y a 9 mois

    Inspection du travail ci bopam la ñu wara séétat. Beaicoup d’inspecteurs et des contrôleurs du travail se laissent corrompre par le patronnat.

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    reply_author il y a 9 mois

    Ça c’est l’écrit d’un inspecteur du travail

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    bayegalaye il y a 9 mois

    Mais il est ou le droit et la justice. Toute décision est révocable devant le droit, voire le compromis sous l’œil du Droit. La CBAO a le droit de faire appel et la justice de dire le droit et rien que le droit.

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    reply_author il y a 9 mois

    Mon cher il s agit ici de délégués du personnel qui font l objet d une procédure particulière pour leur licenciement.

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