En cette période de grandes vacances, la Ligue sénégalaise contre le tabac (Listab) alerte les autorités sur un problème préoccupant. Il s’agit de la forte consommation de produits du tabac tels que la chicha ainsi que de drogues observée chez les jeunes dans des lieux de loisirs tels que les plages et les restaurants durant les grandes vacances.
Cette tendance alarmante soulève des questions sur la santé publique et le bien-être de nos jeunes, selon le communiqué de l’entité. «Ces produits du tabac nouveaux et émergents (cigarettes électroniques, inhalateurs de fumées, puffs, etc.) sont aujourd’hui détournés de leur usage à l’insu de tous, car ces supports servent de consommation de drogue comme le chanvre indien format liquide ou même les drogues de synthèse bien plus puissantes que le cannabis. Sur les formules d'usage, on trouve des indications pour réaliser les mélanges extemporanés permettant de consommer ainsi du cannabis, de la cocaïne, PTC ou Buddha Blue », lit-on dans le document.
La Listab ajoute que « le Buddha Blue ou PTC pour 'Pète ton crâne' est une drogue de synthèse particulièrement populaire chez les jeunes. Elle est vendue sous forme de liquide à inhaler dans les cigarettes électroniques. Les effets de cette drogue sont très rapides et peuvent être violents : ils sont également différents selon les personnes. Le risque vital existe en cas d'overdose. Ils sont à l’origine de cette violence extrême notée chez les jeunes âgés de moins de 30 ans, le plus souvent avec des agressions et meurtres pratiquement tous les jours. L’industrie cible les jeunes pour perpétuer ses profits et crée ainsi une nouvelle génération de personnes dépendantes ».
Par ailleurs, la Listab évoque la lenteur dans la programmation du nouveau projet de loi en Conseil des ministres.
Pour rappel, ce projet de loi révisé adopté en décembre dernier au niveau du Secrétariat général du gouvernement, vise à interdire la consommation de ces produits nocifs. « Ce retard pourrait avoir des conséquences graves sur la lutte contre cette consommation croissante, note l’entité. Avant de lancer un appel aux nouvelles autorités afin qu’elles fassent de la lutte contre le tabagisme une priorité.
Auteur: Yandé Diop
Comments
En fait les autorités savent tout. Elles laissent faire car c'est ainsi que va le monde. Tiens, pat exemple, il est connu que dieuppeul et derklé sont des zones hyper yambistes,or que le commissariat de dieuppeul et le poste de police de grand yoff sont à côté. Les jeunes, ou moins jeunes, se droguent, d'autres vont se tuer en mer, tout ça est connu.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Cigarettes et alcool sont les pires drogues et.pourtant elles sont en vente libre
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
L'entreprise chinoise Sinohydro s'engage à construire la 4e centrale solaire du Mali à Fana, dans le sud du pays. Cette centrale aura une capacité de 100 MW avec 50 MWh de stockage. Le projet, qui pourrait se déployer en deux phases de 60 MW et 40 MW, vise à augmenter la production d'électricité au Mali et à l'accès à l'énergie à Bamako. Le Mali se lance dans la construction de sa 4e centrale solaire après avoir signé un pacte avec Sinohydro Corporation Limited, entreprise chinoise spécialisée dans la construction énergétique, rapporte le site économique Sika Finance. Le 19 août, à Bamako, Zhu Jie, représentant de la firme chinoise Sinohydro, et Bintou Camara, ministre malienne de l'Énergie et de l'Eau, ont signé un protocole d'accord. L'accord en question vise à établir les modalités pratiques de coopération entre Sinohydro et les autorités maliennes, en précisant les responsabilités de chaque partie dans la réalisation du projet. Il marque le début officiel de la collaboration pour la construction de la 4e centrale solaire du Mali, visant à renforcer l'approvisionnement énergétique du pays Il inclut les études du projet, le financement, la construction de la centrale, la réalisation du poste électrique de 225 kV à Fana, ainsi que la ligne bifilaire 225 kV Bamako-Fana-Ségou et les ouvrages connexes aux alentours de Fana. Le projet pourrait être réalisé en deux phases : 60 MW pour la phase 1 et 40 MW pour la phase 2. Cette future centrale solaire devrait non seulement renforcer la capacité de production électrique du pays, mais aussi améliorer significativement l'accès à l'énergie dans la région, y compris à Bamako. La société chinoise est très présente au Mali depuis 2003, avec à son actif des projets déjà réalisés dans le domaine de l'énergie, notamment les centrales hydroélectriques de Guina, de Félou et la nouvelle centrale solaire de Safo, en cours de réalisation. Coupures d'électricité sans solution des mois durant La population malienne est victime d'un réseau de corruption au sein du fournisseur public d’électricité Énergie du Mali (EDM) que dénonce la presse locale. Se promener de quartier en quartier pour trouver un endroit où recharger son téléphone ou son ordinateur était le quotidien des Bamakois en février dernier. Dans le reportage de VAO Afrique, Badou Koba, journaliste malien, a souligné que les coupures de courant inédites et intempestives, entraînant l'arrêt de plusieurs activités, résultaient « de détournements de carburant d'une part et de problèmes techniques de l'autre, auxquels la population a également contribué », a-t-il déclaré. À Bamako, où l’électricité se fait rare avec seulement 12 heures d'alimentation par zone, la construction de cette 4e centrale solaire pourrait en partie remédier à la crise électrique à laquelle le pays africain est confronté. _________________________________________________________ Le patrimoine forestier marocain en détresse Le Maroc a perdu 3 500 hectares de son couvert forestier, selon les données de Global Forest Watch. Cette perte accentue l'urgence d'adopter une gestion durable des forêts pour contrer les impacts du changement climatique et des pressions anthropiques, et pour garantir la préservation des écosystèmes forestiers du Royaume. _________________________________________________________ Le pape condamne l'interdiction de l'Eglise orthodoxe canonique ukrainienne liée à la Russie Le pape François a déclaré qu'aucune église chrétienne ne devrait être interdite, au lendemain de la promulgation de la loi interdisant l'Église orthodoxe ukrainienne liée au Patriarcat de Moscou, par Volodymyr Zelensky le 24 aout. Une loi dénoncée également par la Russie, qui fustige une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». «On ne touche pas aux Eglises»: c’est ainsi que le pape François a condamné ce 25 août l'interdiction par Kiev de Église orthodoxe canonique ukrainienne (UOC) liée au Patriarcat de Moscou Le Saint-Père a exprimé sa préoccupation au lendemain de la promulgation, par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, d'une loi interdisant l'Église orthodoxe liée à Moscou. «En pensant aux lois récemment adoptées en Ukraine, je crains pour la liberté de ceux qui prient», a-t-il déclaré, d’après le site du Vatican. «Qu'on laisse prier ceux qui veulent prier dans ce qu’ils considèrent comme leur Église», a réagi le souverain pontife. «S'il vous plaît, veuillez ne pas abolir directement ou indirectement une Église chrétienne», a-t-il imploré. Cette loi adoptée à 265 voix au Parlement de Kiev a été également dénoncée par la Russie comme une «persécution» et une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». La diplomatie russe, par la voie de sa porte-parole Maria Zakharova, a dénoncé la «destruction de la véritable orthodoxie en Ukraine» et son «remplacement par une fausse église». L'UOC, autrefois la plus populaire en Ukraine, est depuis plusieurs années la cible d'une campagne de persécution menée par les nationalistes ukrainiens. En raison de ses liens avec la Russie, les autorités locales ont interdit ses activités dans plusieurs régions, imposant sanctions et poursuites pénales à certains membres de son clergé. La loi en question entrera en vigueur dans 30 jours, et l’UOC aura alors neuf mois pour rompre ses liens avec l’Église orthodoxe russe. __________________________________________________________
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Santé publique au Niger : les soins à moitié prix à compter de septembre Les autorités nigériennes ont décidé, le 22 août, de réduire de 50% les coûts des prestations sanitaires dans les centres de santé publique. Cette réforme constitue une avancée majeure pour la population du pays, en particulier pour les personnes vivant en zones rurales. «Le niveau actuel des tarifs des soins de santé dans les formations sanitaires publiques est très disparate et constitue une entrave majeure pour l'accessibilité aux soins de la population», a déclaré le 22 août le Conseil des ministres du Niger. Les autorités nigériennes ont fait part, par le biais d'un communiqué, de leur décision de réduire de 50% les tarifs des soins dans toutes les structures publiques, et ce, à partir de septembre. «Cette décision fixe les tarifs des prestations dans toutes les formations publiques de santé dans l'optique de l'harmonisation et la réduction des coûts applicables à tous les niveaux de la pyramide des soins, à savoir les cases de santé, les centres de santé intégrés, les hôpitaux de district, les hôpitaux régionaux, les centres de la mère et de l'enfant, les hôpitaux nationaux et les hôpitaux de référence», a fait savoir le gouvernement. La réduction en question s'applique aux consultations curatives, aux mises en observation des malades, aux hospitalisations, aux examens de laboratoire, aux examens d'imagerie et aux actes médicaux chirurgicaux. Une question de justice sociale Avec l'adoption de cette réforme, le gouvernement, d'après le journal News Aniamey, réaffirme son engagement pour la justice sociale et la réduction des inégalités en santé. Les mesures visent à alléger le fardeau financier des ménages, notamment en zones rurales, et à améliorer l'accès aux services de santé essentiels. Ces changements représentent un tournant important pour le système de santé nigérien, en offrant une couverture plus équitable et en renforçant le bien-être des citoyens. En réduisant de 50% les coûts des soins, le gouvernement s'attaque aux obstacles financiers qui ont longtemps restreint l'accès aux soins pour de nombreux Nigériens. Cette initiative illustre l'engagement du Niger envers une plus grande justice sociale et une meilleure équité, surtout pour les populations rurales, relate la même source. Parmi les réformes adoptées, la gratuité des accouchements marque une avancée majeure pour la santé maternelle et néonatale dans un pays où les taux de mortalité restent préoccupants. En outre, les patients nécessitant une dialyse ne devront plus payer le forfait de 150 000 francs CFA (environ 229 euros), ce qui rendra ce traitement essentiel plus accessible pour les personnes souffrant d'insuffisance rénale chronique. De nombreux pays africains ont investi dans la santé maternelle par le biais de politiques d'exemption pour les soins obstétricaux, notamment le Rwanda, la Tanzanie, le Ghana, le Kenya, le Mali et le Sénégal, selon les ministères de la Santé des pays en question et les rapports de l'OMS. _____________________________________________________________________________________ Soudan : l'ONU alerte sur une flambée de choléra Le choléra se propage alors que le Soudan est en proie au pluies et aux déplacements massifs de population. Plus de 650 cas et 28 décès ont été signalés dans cinq États, avec un taux de létalité élevé de 4,3 %, selon un bulletin publié par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). _______________________________________________________________________________ Fonds libyens : près de 3 milliards d'euros d'intérêts évaporés en Belgique, selon une enquête Lors d'un briefing du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Libye, Dmitri Polyansky, représentant permanent adjoint de la Russie, a affirmé que 2,8 milliards d'euros avaient été volés au peuple libyen des fonds gelés en Belgique. Une enquête belge a aussi révélé que des sommes similaires avaient été illégalement «dégelées» entre 2012 et 2017. «Cet argent a simplement été volé au peuple libyen» a déclaré Dmitri Polyansky, le représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l’ONU, alors qu'il évoquait la question des fonds libyens gelés dans les banques belges lors d’un briefing du Conseil de sécurité sur la Libye. En 2011, une révolution a éclaté en Libye, entraînant l'intervention d'une coalition internationale. En réaction, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 1970, imposant un embargo sur les armes et gelant les avoirs financiers du régime libyen à l'étranger. En conséquence, environ 14 milliards d'euros détenus dans des banques belges ont été bloqués. «Comme l'a récemment révélé une enquête journalistique, les banquiers belges ont fait semblant d'ignorer prétendument par erreur la nécessité de geler les revenus d'intérêts perçus sur ce capital. De plus, ces revenus ont été discrètement radiés des comptes et ont disparu», a détaillé Dmitri Polyansky. Fonds dégelés pour financement illicite ? Après plus de sept ans d'enquête, l'instruction judiciaire sur le «blanchiment» a retracé, d'après le journal belge Le Soir dans son édition du 30 juillet, environ 2,3 milliards de dollars d'intérêts issus de fonds libyens placés en Belgique et illégalement «dégelés» entre 2012 et 2017. Sur ce montant, près de 800 millions de dollars se sont évaporés. Le journal belge a réussi à consulter des milliers de pages du dossier complexe et sensible des «fonds libyens». Cette investigation approfondie révèle que la justice a réussi, bien qu'en partie seulement, à retracer le parcours de centaines de millions de dollars. Ces fonds avaient été illégalement dégelés, en totale infraction avec le règlement de l'ONU qui avait ordonné le gel des avoirs libyens à l'étranger suite au soulèvement de 2011. Selon le quotidien belge, il s’agit de 2,1 milliards d’euros qui «ont potentiellement financé des activités illicites, voire des actes de guerre». Toutefois, le fonds belge Euroclear détient toujours environ 15 milliards d'euros appartenant au Libyan Investment Authority (LIA), lit-on de même source. En 2021, lors d'un Conseil des ministres, les autorités libyennes avaient accusé la Belgique de convoiter les fonds gelés de la Libye, selon une vidéo de la réunion publiée sur le site du gouvernement d'Abdelhamid Dbeibah. _____________________________________________________________________________________ Conflit Kinshasa-Kigali : la chance pour la paix se joue à Luanda les 9 et 10 septembre La troisième réunion ministérielle entre les délégations rwandaise et congolaise pour discuter du conflit dans l'est de la RDC s'est tenue à Angola du 20 au 22 août 2024. Cependant, ces pourparlers n'ont pas encore conduit à des avancées significatives. La RDC et le Rwanda se retrouveront le 9 et 10 septembre pour négocier l’accord de paix La République démocratique du Congo (RDC) est actuellement en proie à de violents combats entre le groupe des rebelles M23 et les combattants du gouvernement. La RDC et le Rwanda se retrouveront à nouveau le 9 et 10 septembre à Luanda, sous la médiation de l'Angola, pour négocier l'Accord de paix sur le conflit à l'est de la RDC, selon le communiqué en marge de la troisième session ministérielle clôturée ce 22 août dans la capitale angolaise. Présidée par le ministre angolais des Relations extérieures, Téte António, la réunion a rassemblé Thérèse Kayikwamba Wagner, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie de la RDC, ainsi qu'Olivier Jean Patrick Nduhungirehe, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République du Rwanda. La réunion ministérielle qui a débuté le 20 août s'est déroulée «dans un climat serein et fraternel». Toutes les parties ont réitéré leur engagement à collaborer pour trouver une solution durable au conflit qui touche l'est de la RDC. Cette rencontre a été organisée pour mettre en œuvre les accords de cessez-le-feu entre le Rwanda et la RDC, en vigueur depuis le 4 août. Nouvelles discussions prévues en septembre Luanda a souligné que l’objectif était de dépasser le cessez-le-feu existant avec un nouvel accord de paix, selon RFI. Lors des discussions à huis clos, le médiateur angolais a présenté un document pour une solution négociée et durable, déjà discuté avec les présidents congolais et rwandais ce mois-ci. Les parties ont convenu de l'urgence de mettre en œuvre un plan pour neutraliser le groupe rebelle Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Initialement présenté par Kinshasa, ce plan a été révisé les 7 et 8 août par les trois parties, aboutissant à une version harmonisée pour neutraliser ce groupe, que Kigali considère comme une menace pour ses institutions Lors de cette réunion tripartite, il a été également décidé de renforcer le mécanisme de vérification en incluant des experts en renseignement des trois pays et en envisageant la participation d'autres parties prenantes pour garantir le respect du cessez-le-feu en vigueur depuis le 4 août. Concrètement, des divergences demeurent sur les principaux points de l'agenda des autorités congolaises. À ce stade, aucune avancée n'a été enregistrée concernant le retrait des troupes rwandaises du sol congolais, rapporte la même source. Kinshasa espère également mettre fin au soutien de Kigali au M23, qui continue de gagner du terrain, notamment dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu. ____________________________________________________________________________________
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
L'entreprise chinoise Sinohydro s'engage à construire la 4e centrale solaire du Mali à Fana, dans le sud du pays. Cette centrale aura une capacité de 100 MW avec 50 MWh de stockage. Le projet, qui pourrait se déployer en deux phases de 60 MW et 40 MW, vise à augmenter la production d'électricité au Mali et à l'accès à l'énergie à Bamako. Le Mali se lance dans la construction de sa 4e centrale solaire après avoir signé un pacte avec Sinohydro Corporation Limited, entreprise chinoise spécialisée dans la construction énergétique, rapporte le site économique Sika Finance. Le 19 août, à Bamako, Zhu Jie, représentant de la firme chinoise Sinohydro, et Bintou Camara, ministre malienne de l'Énergie et de l'Eau, ont signé un protocole d'accord. L'accord en question vise à établir les modalités pratiques de coopération entre Sinohydro et les autorités maliennes, en précisant les responsabilités de chaque partie dans la réalisation du projet. Il marque le début officiel de la collaboration pour la construction de la 4e centrale solaire du Mali, visant à renforcer l'approvisionnement énergétique du pays Il inclut les études du projet, le financement, la construction de la centrale, la réalisation du poste électrique de 225 kV à Fana, ainsi que la ligne bifilaire 225 kV Bamako-Fana-Ségou et les ouvrages connexes aux alentours de Fana. Le projet pourrait être réalisé en deux phases : 60 MW pour la phase 1 et 40 MW pour la phase 2. Cette future centrale solaire devrait non seulement renforcer la capacité de production électrique du pays, mais aussi améliorer significativement l'accès à l'énergie dans la région, y compris à Bamako. La société chinoise est très présente au Mali depuis 2003, avec à son actif des projets déjà réalisés dans le domaine de l'énergie, notamment les centrales hydroélectriques de Guina, de Félou et la nouvelle centrale solaire de Safo, en cours de réalisation. Coupures d'électricité sans solution des mois durant La population malienne est victime d'un réseau de corruption au sein du fournisseur public d’électricité Énergie du Mali (EDM) que dénonce la presse locale. Se promener de quartier en quartier pour trouver un endroit où recharger son téléphone ou son ordinateur était le quotidien des Bamakois en février dernier. Dans le reportage de VAO Afrique, Badou Koba, journaliste malien, a souligné que les coupures de courant inédites et intempestives, entraînant l'arrêt de plusieurs activités, résultaient « de détournements de carburant d'une part et de problèmes techniques de l'autre, auxquels la population a également contribué », a-t-il déclaré. À Bamako, où l’électricité se fait rare avec seulement 12 heures d'alimentation par zone, la construction de cette 4e centrale solaire pourrait en partie remédier à la crise électrique à laquelle le pays africain est confronté. _________________________________________________________ Le patrimoine forestier marocain en détresse Le Maroc a perdu 3 500 hectares de son couvert forestier, selon les données de Global Forest Watch. Cette perte accentue l'urgence d'adopter une gestion durable des forêts pour contrer les impacts du changement climatique et des pressions anthropiques, et pour garantir la préservation des écosystèmes forestiers du Royaume. _________________________________________________________ Le pape condamne l'interdiction de l'Eglise orthodoxe canonique ukrainienne liée à la Russie Le pape François a déclaré qu'aucune église chrétienne ne devrait être interdite, au lendemain de la promulgation de la loi interdisant l'Église orthodoxe ukrainienne liée au Patriarcat de Moscou, par Volodymyr Zelensky le 24 aout. Une loi dénoncée également par la Russie, qui fustige une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». «On ne touche pas aux Eglises»: c’est ainsi que le pape François a condamné ce 25 août l'interdiction par Kiev de Église orthodoxe canonique ukrainienne (UOC) liée au Patriarcat de Moscou Le Saint-Père a exprimé sa préoccupation au lendemain de la promulgation, par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, d'une loi interdisant l'Église orthodoxe liée à Moscou. «En pensant aux lois récemment adoptées en Ukraine, je crains pour la liberté de ceux qui prient», a-t-il déclaré, d’après le site du Vatican. «Qu'on laisse prier ceux qui veulent prier dans ce qu’ils considèrent comme leur Église», a réagi le souverain pontife. «S'il vous plaît, veuillez ne pas abolir directement ou indirectement une Église chrétienne», a-t-il imploré. Cette loi adoptée à 265 voix au Parlement de Kiev a été également dénoncée par la Russie comme une «persécution» et une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». La diplomatie russe, par la voie de sa porte-parole Maria Zakharova, a dénoncé la «destruction de la véritable orthodoxie en Ukraine» et son «remplacement par une fausse église». L'UOC, autrefois la plus populaire en Ukraine, est depuis plusieurs années la cible d'une campagne de persécution menée par les nationalistes ukrainiens. En raison de ses liens avec la Russie, les autorités locales ont interdit ses activités dans plusieurs régions, imposant sanctions et poursuites pénales à certains membres de son clergé. La loi en question entrera en vigueur dans 30 jours, et l’UOC aura alors neuf mois pour rompre ses liens avec l’Église orthodoxe russe. __________________________________________________________
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
L'entreprise chinoise Sinohydro s'engage à construire la 4e centrale solaire du Mali à Fana, dans le sud du pays. Cette centrale aura une capacité de 100 MW avec 50 MWh de stockage. Le projet, qui pourrait se déployer en deux phases de 60 MW et 40 MW, vise à augmenter la production d'électricité au Mali et à l'accès à l'énergie à Bamako. Le Mali se lance dans la construction de sa 4e centrale solaire après avoir signé un pacte avec Sinohydro Corporation Limited, entreprise chinoise spécialisée dans la construction énergétique, rapporte le site économique Sika Finance. Le 19 août, à Bamako, Zhu Jie, représentant de la firme chinoise Sinohydro, et Bintou Camara, ministre malienne de l'Énergie et de l'Eau, ont signé un protocole d'accord. L'accord en question vise à établir les modalités pratiques de coopération entre Sinohydro et les autorités maliennes, en précisant les responsabilités de chaque partie dans la réalisation du projet. Il marque le début officiel de la collaboration pour la construction de la 4e centrale solaire du Mali, visant à renforcer l'approvisionnement énergétique du pays Il inclut les études du projet, le financement, la construction de la centrale, la réalisation du poste électrique de 225 kV à Fana, ainsi que la ligne bifilaire 225 kV Bamako-Fana-Ségou et les ouvrages connexes aux alentours de Fana. Le projet pourrait être réalisé en deux phases : 60 MW pour la phase 1 et 40 MW pour la phase 2. Cette future centrale solaire devrait non seulement renforcer la capacité de production électrique du pays, mais aussi améliorer significativement l'accès à l'énergie dans la région, y compris à Bamako. La société chinoise est très présente au Mali depuis 2003, avec à son actif des projets déjà réalisés dans le domaine de l'énergie, notamment les centrales hydroélectriques de Guina, de Félou et la nouvelle centrale solaire de Safo, en cours de réalisation. Coupures d'électricité sans solution des mois durant La population malienne est victime d'un réseau de corruption au sein du fournisseur public d’électricité Énergie du Mali (EDM) que dénonce la presse locale. Se promener de quartier en quartier pour trouver un endroit où recharger son téléphone ou son ordinateur était le quotidien des Bamakois en février dernier. Dans le reportage de VAO Afrique, Badou Koba, journaliste malien, a souligné que les coupures de courant inédites et intempestives, entraînant l'arrêt de plusieurs activités, résultaient « de détournements de carburant d'une part et de problèmes techniques de l'autre, auxquels la population a également contribué », a-t-il déclaré. À Bamako, où l’électricité se fait rare avec seulement 12 heures d'alimentation par zone, la construction de cette 4e centrale solaire pourrait en partie remédier à la crise électrique à laquelle le pays africain est confronté. _________________________________________________________ Le patrimoine forestier marocain en détresse Le Maroc a perdu 3 500 hectares de son couvert forestier, selon les données de Global Forest Watch. Cette perte accentue l'urgence d'adopter une gestion durable des forêts pour contrer les impacts du changement climatique et des pressions anthropiques, et pour garantir la préservation des écosystèmes forestiers du Royaume. _________________________________________________________ Le pape condamne l'interdiction de l'Eglise orthodoxe canonique ukrainienne liée à la Russie Le pape François a déclaré qu'aucune église chrétienne ne devrait être interdite, au lendemain de la promulgation de la loi interdisant l'Église orthodoxe ukrainienne liée au Patriarcat de Moscou, par Volodymyr Zelensky le 24 aout. Une loi dénoncée également par la Russie, qui fustige une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». «On ne touche pas aux Eglises»: c’est ainsi que le pape François a condamné ce 25 août l'interdiction par Kiev de Église orthodoxe canonique ukrainienne (UOC) liée au Patriarcat de Moscou Le Saint-Père a exprimé sa préoccupation au lendemain de la promulgation, par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, d'une loi interdisant l'Église orthodoxe liée à Moscou. «En pensant aux lois récemment adoptées en Ukraine, je crains pour la liberté de ceux qui prient», a-t-il déclaré, d’après le site du Vatican. «Qu'on laisse prier ceux qui veulent prier dans ce qu’ils considèrent comme leur Église», a réagi le souverain pontife. «S'il vous plaît, veuillez ne pas abolir directement ou indirectement une Église chrétienne», a-t-il imploré. Cette loi adoptée à 265 voix au Parlement de Kiev a été également dénoncée par la Russie comme une «persécution» et une tentative de «détruire l'orthodoxie canonique». La diplomatie russe, par la voie de sa porte-parole Maria Zakharova, a dénoncé la «destruction de la véritable orthodoxie en Ukraine» et son «remplacement par une fausse église». L'UOC, autrefois la plus populaire en Ukraine, est depuis plusieurs années la cible d'une campagne de persécution menée par les nationalistes ukrainiens. En raison de ses liens avec la Russie, les autorités locales ont interdit ses activités dans plusieurs régions, imposant sanctions et poursuites pénales à certains membres de son clergé. La loi en question entrera en vigueur dans 30 jours, et l’UOC aura alors neuf mois pour rompre ses liens avec l’Église orthodoxe russe. __________________________________________________________
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Laisser les se dénoncer ko dé niou dem souli
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
IL FAUT ARRETER CES GENS ET LEUR APPLIQUER LA PEINE DE MORT AVANT QU'ILS NE DETRUISENT CE PAYS.
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