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Presse : La précarité des jeunes reporters du quotidien «Le Témoin» mise à nu
il y a 3 ans
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Presse : La précarité des jeunes reporters du quotidien «Le Témoin» mise à nu
Le quotidien privé «Le Témoin» est confronté à des difficultés en interne. Les stagiaires du journal sont en grève depuis bientôt un mois. Ils ont ainsi brisé le silence dans un communiqué de presse publié ce dimanche 19 septembre. Un vent de révolte souffle dans un des organes de presse les plus emblématiques du Sénégal. Le Collectif des jeunes reporters du quotidien «Le Témoin» observe un mouvement d’humeur depuis le 23 août dernier. Ces jeunes reporters réclament le changement de leur statut de stagiaire que certains trainent depuis plusieurs années. «Après plus de quatre ans de service au ‘’Témoin’’, toutes les promesses de rétablir les jeunes reporters dans leurs droits n’ont connu aucune suite favorable. Le statut d’un employé qui a exercé pendant tout ce temps dans une entreprise, ne peut être réduit en simple stagiaire sans contrat, comme c’est le cas actuellement au ‘’Témoin’’. Bien que sur les signatures des articles livrés, il n’en est nullement fait mention de ce statut de stagiaire», mentionne le collectif des jeunes reporters du quotidien «Le Témoin» dans le communiqué. Une situation d’autant plus insupportable pour le collectif, que le groupe Média Communication a lancé des organes numériques et procédé au recrutement de nouveaux agents. Pourtant, renseigne le communiqué, le groupe prétextait que la crise financière provoquée par la pandémie de Covid-19 les pénalisait. «L’argent est le nerf de la guerre», dit le dicton. Le collectif souhaite une revalorisation de leurs émoluments. Les montants qu’ils perçoivent actuellement sont jugés dérisoires. «Le Collectif des jeunes reporters du ‘’Témoin’’ trouve inadmissible qu’un journaliste reçoive comme salaire une maigre somme de 60 000 F qui, pire encore, est fractionnée quasiment chaque fin du mois en miettes de 20 000 où 30 000 F. Avec comme suite des avances sur salaire à n’en plus finir et jamais comptabilisées pour être remboursées», évoque le communiqué. Les jeunes reporters ont tenu à tirer la sonnette d’alarme sur leurs situations personnelles : «Etant des jeunes responsables et pères de famille, nous alertons que nous sommes actuellement sous la menace de déguerpissement de la part de nos bailleurs et nous éprouvons des difficultés à subvenir aux besoins de nos familles. Les grévistes affirment qu’au sein du quotidien, certains employés seraient grassement payés tout en fournissant moins d’efforts qu’eux. «Nous, jeunes reporters, nous sommes ceux qui s’activent sur le terrain dans la précarité pendant que quelques-uns de nos collègues, triplement rémunérés par rapport à ces miettes que nous percevons, sont aisément calfeutrés chez eux pour livrer des copiés-collés de comptes-rendus ramassés sur les réseaux sociaux et autres propos recueillis par voie téléphonique», arguent les jeunes reporters du quotidien «Le Témoin». Le collectif a, dans un premier temps, saisi l’Inspection du travail. Confronté à l’intransigeance du directeur général du journal, Mamadou Oumar Ndiaye, le dossier a été transféré au tribunal du travail. Affaire à suivre.
Auteur: Moustapha TOUMBOU (Stagiaire)
Comments
Nit dof parle plus sur seneweb Ses PD laisse les commentaires des voleurs de lapr et supprime le reste
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ainsi donc on comprends maintenant pourquoi ce type mamidou oumour Ndiaye critique des gens comme Mame Makhtar Gueye qui fait la promotion de la bonne moralité ! Un directeur qui maltraite ses employés ne peut pas supporter quelqu'un qui appelle à la bienséance dans tous les domaines !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les jeunes reporters sont exploités au sein de toutes les rédactions. C'est une coutume locale qui s'est installée depuis le départ du colon.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
IL FAUT QUE LES PATRONS DE PRESSE APPLIQUENT LE NOUVEAU BARÊME DES SALAIRES TEL QU'ÉDICTÉ PAR LA NOUVELLE CONVENTION COLLECTIVE DE LA PRESSE. DES SALAIRES DE 60000 FRANCS SONT INDIGNES D'UN JOURNALISTE.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
De toute facon le journalisme au Senegal ne vaut pas 175 f cfa voyant ce qu ils ns livrent...mais bonne chance tout de meme dans votre bataille.
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Le Temoin a partie à qui?
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Est-ce que ces journalistes qui réclament des salaire décents ont des diplomes en bonne et due forme? Si oui, il n'ya pas de raison qu'ils ne soient pas bien traités selon la Convention. Normalement leur salaire de base devrait tourner au moins au tour de 200.000 francs brut. Mais s'ils n'ont pas de diplôme, il faut qu'ils se préparent à quitter car les non diplomés ne pourront plus exercer avec le nouveau code de la presse. Et cela est valable pour tous les organes de presse. Attendons pour voir. Fini la presse au rabais!!!!!!!!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pour défendre M O N , il faut des arguments légaux or ce n'est pas le cas ici.
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Payer un journaliste 60.000F est abject et indigne de la direction du Témoin. Je me suis choqué d'apprendre qu'au Sénégal des salaires ausi minables sont toujours servis aux plus valeureux de notre Société. La Corée du Nord fait mieux !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le journalisme est un art. On ne sort pas de l'école de journaliste avec le titre de "journaliste", on y entre avec le mode de fonctionnement, le style, la culture et le flair du journaliste ! Il faut être une passionné et quelqu'un de sérieux pour exercer ce métier. Ce n'est pas une question de diplômes mais de talent et de vocation. Carl Bernstein était n'avait pas de diplôme universitaire quand il faisait éclater le scandale du Watergate. On peut signaler à la pelle d'excellents journalistes qui sont dans ce cas. La culture "élitiste" médiocre à la française est un vrai problème pour nos pays. On se retrouve après avec des journalistes, prétendument "formés", incultes et qui sont incapables de formuler une phrase correcte. Aucun sens de l'analyse, aucune finesse d'esprit et qui mettent tout dans un folklore aussi écoeurant que dégoûtant. Les gens sans formation de base qui n'ont rien à faire dans le métier sont reconnaissables à vue d'oeil. Le problème de la presse est d'abord un problème de société : les gens sont corrompus, vils et capables de tout pour s'enrichir. L'expérience et l'honnêteté dans la diffusion de l'information est la chose la plus importante dans ce métier.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le journalisme est un art. On ne sort pas de l'école de journaliste avec le titre de "journaliste", on y entre avec le mode de fonctionnement, le style, la culture et le flair du journaliste ! Il faut être une passionné et quelqu'un de sérieux pour exercer ce métier. Ce n'est pas une question de diplômes mais de talent et de vocation. Carl Bernstein était n'avait pas de diplôme universitaire quand il faisait éclater le scandale du Watergate. On peut signaler à la pelle d'excellents journalistes qui sont dans ce cas. La culture "élitiste" médiocre à la française est un vrai problème pour nos pays. On se retrouve après avec des journalistes, prétendument "formés", incultes et qui sont incapables de formuler une phrase correcte. Aucun sens de l'analyse, aucune finesse d'esprit et qui mettent tout dans un folklore aussi écoeurant que dégoûtant. Les gens sans formation de base qui n'ont rien à faire dans le métier sont reconnaissables à vue d'oeil. Le problème de la presse est d'abord un problème de société : les gens sont corrompus, vils et capables de tout pour s'enrichir. L'expérience et l'honnêteté dans la diffusion de l'information est la chose la plus importante dans ce métier.
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Le journalisme est un art. On ne sort pas de l'école de journaliste avec le titre de "journaliste", on y entre avec le mode de fonctionnement, le style, la culture et le flair du journaliste ! Il faut être un passionné et quelqu'un de sérieux pour exercer ce métier. Ce n'est pas une question de diplômes mais de talent et de vocation. Carl Bernstein était n'avait pas de diplôme universitaire quand il faisait éclater le scandale du Watergate. On peut signaler à la pelle d'excellents journalistes qui sont dans ce cas. La culture "élitiste" médiocre à la française est un vrai problème pour nos pays. On se retrouve après avec des journalistes, prétendument "formés", incultes et qui sont incapables de formuler une phrase correcte. Aucun sens de l'analyse, aucune finesse d'esprit et qui mettent tout dans un folklore aussi écoeurant que dégoûtant. Les gens sans formation de base qui n'ont rien à faire dans le métier sont reconnaissables à vue d'oeil. Le problème de la presse est d'abord un problème de société : les gens sont corrompus, vils et capables de tout pour s'enrichir. L'expérience et l'honnêteté dans la diffusion de l'information est la chose la plus importante dans ce métier.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
UN passionné bien entendu
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UN passionné bien entendu
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Merci mouride
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Le Témoin a partie chez lui
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Sortir de ses gongs, Après avoir satisfait sa libido.. . Phrases, poncifs et lieux communs d'écriture de journalistes sénégalais répétées à satiété depuis des lustres.
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Merci mouride
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Il voulait peut être se faire remarquer par les lobbies et bénéficier de financement
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Le journalisme est une question de niveau. Or, beaucoup de jeunes journalistes sans diplùome et sans véritable niveau sont taillables et corvéables à merci. Si on n'a ni diplôme ni niveau, on se contente de peu et c'est le cas dans beaucoup de rédactions. Le code vient régler cette question avec la nouvelle carte de presse. Le synpics doit donc sévir.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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