La communauté universitaire continue d’afficher son indignation après les actes de saccages inouïs qui se sont déroulés à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, le 1er juin dernier. Dans un communiqué que Seneweb publie in extenso, les amicales des cadres, des jeunes et des femmes du Centre des Oeuvres Universitaires de Dakar (COUD) condamnent ces violences.
“Suite aux violentes manifestations qui se sont déroulées le 1er juin 2023 dans le pays et particulièrement au sein du campus social, les amicales des cadres, des jeunes et des femmes du Centre des Oeuvres Universitaires de Dakar (COUD) s'inclinent devant la mémoire des victimes et souhaitent un prompt rétablissement aux blessés.
En effet, les amicales du COUD condamnent fermement cette violence inqualifiable et ces attaques des édifices de la direction du coud, des bureaux des agents, des bus de transport du personnel et des biens personnels des agents.
Ainsi, les amicales du COUD dénoncent ces actes barbares et demandent à l'Etat, garant des libertés individuelles et collectives de prendre ses responsabilités, d'assurer la sécurité des travailleurs et de leurs biens et d'identifier les auteurs de ces actes afin de prendre les
sanctions appropriées.
Par ailleurs, elles se solidarisent avec la direction du COUD et expriment leur indignation tout en témoignant leur compassion face à ces attaques inouïes dont le COUD a été victime.
En ces moments difficiles, les amicales demandent à l'Etat d'accompagner le COUD et les agents impactés par les manifestations.
Enfin, elles lancent un appel au calme et manifestent leur engagement à accompagner la direction pour un retour au calme dans les universités et au COUD.”
Auteur: Seneweb-News
Comments
Mr Le President Macky Il faut etre ferme avec ces fils de rats et leurs instigateurs qui volent , brulent et saccagent les biens d’autruis Tous ceux qui ont appele’ a une insurrection qui a entraine’ des morts doivent etre poursuivis pour meurtre. On ne peut pas jeter les FDS en pature . Donnez aux FDS l'ordre de tirer a balle reelle dans les jambers de ces fils de chien. Mais un policier qui n'a rien d'autre qu'un LANCE GRENADE ( pas du tout adequat et expeditif dans ce genre d'anarchie. Il faut tirer a balle reelle . Encore une fois mieux vaut 100 morts qu'un etat a' genoux Ceux qui ont manifestement appele' pour une insurrection ayant entraine' la mort doivent etre poursuivis pour meurtre. ( Niak day gueuneu niagass limou niak) Il ne suffit de regarder la plaie et metre un bandage , il faut la soigner ( Ces chiens qui detruisentet brulent) il faut les tuer au bout du fusil Ce dialogue National il faut le mettre en berne. CEST gens au dialogue , sont-ils sortis pour condemner publiquement les vols et pillages a’ la tele ou a’ ala radio ? NON , bien sure que NON Mame Mbaye Niang est le seul avec Fofana et bien sur Felix Diome qui ont fait des addresses. je suis choque' d'entendre dire que Khalifa Sall a appele' les jeunes a sortir. Deception de la part de Khalifa et encore pire de Barth Qu'est que le parquet attend pour amener Ousmane Sonko a Ourosogui ? Il faut battre le fer quand il est chaud . Manifestations ou pas , morts ou pas , Sonko est une calamite’ a’ eradiquer pour le bien de notre societe’ Ceci est un alibi pour les voleurs qui vont continuer de casser les biens d’autruis pour voler et rien que pour voler. Un manifestant avec un fusil ‘d’assault (Mettez un helicoptere en l’air en coordination avec les unitesau sol et il est isole’ et extirpe’ et elimine’ rapidement. Maslaha ne paiera jamais avec ces fils de pute de Sonko et ses affilies voleurs et saccageurs. Vraiment il faut de la rigueur >>>>>>>> JUSTICE Comme disait l’autre Une justice incompétente laxiste et irresponsable. Si le crime de viol avait été retenu avec à la clé une réclusion criminelle de 10 ans il n'y aurait pas eu toutes ces violences car la quasi totalité de l'opinion était déjà convaincu de la culpabilité de Sonko le violeur avec son refus de comparution et sa honteuse fuite.Je constate personnellement que la justice est dans le déni de justice permamanet et travaille systèmatiquement à détruire les efforts et les sacrifices (y compris en pertes de vies humaines) des forces de sécurité. Cela ne peut plus continuer !!!!!!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Étudiants you legui nul naniou bolei ci rew. Motakh on leur fait aucun cadeau.
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Oui bien sûr allez au diable. No justice no peace
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Les etudiants ne peuvent pas incendier leur propre FAC.No way! Ceux qui ont fait ca, on les connait......
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Encore des irresponsables, des léches Q ! Vous racontez vos balivernes, vous veillez à bien ne pas évoquez nos trentaines de morts, vos mercenaires, vos nervis, les boucliers humains mineurs de la police (8 ans), le mensonge flagrant de la police en conférence de presse, le silence du dictateur sanguinaire après plusieurs pertes de vies humaines, les violations des droits de Sonko, le grand complot d'état contre lui, cette justice injuste et partisane .......... etc. Vous evez avoir honte de vous. Mais 2024 c'est bien, le peuple viendra vous cassez la gueule, et par les urnes, et par la justice juste et transpartisans. Car pour l'instant on a affaire à une justice injuste et partisane. 2024 tous ces vrais faux magistrats en iront à la retraite anticipée quelque soit leur âge avec interiction d'exercer dans le privée
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Les agents du coud sont les plus bruyants du pays. Avec les recrutements abusifs, les syndicats qui se comptent par dizaines chacun cherche à recruter son parent ou son protégé au détriment des anciens vacataires dont certains ont fait plus de 10 ans. Comment peut on prospérer avec cette injustice. Les syndicalistes sont à l image des politiciens. L espace universitaire ne devrait pas être politisé. Les sénégalais sont là risée du monde actuel après la destruction du temple du savoir , les bibliothèques calcinés, ce sont des choses sacrées. Tout ça c est la conséquence de la politisation de l espace universitaire. Assumons les conséquences
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Thiey coud , il y a trop de décalers la-bas, une administration qui n est pas éxemplaire du tout dont les recrutements se font sans appel d offre.
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Pourquoi vous n'indexez pas les responsables ? :Les étudiants diolas.
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Medecin apres la mort
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Allez vous faire foutre et les familles endeuillées yeneu lene gueune nokou lene feule
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Je vois qu'il y'a des personnes qui trouvent une excuse aux actes posés entre le 1et le 3 juin. Yalla na Yalla leral lepp
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Est ce une volonté de faire reculer la position de l'UCAD dans l'espace sous régional francophone ?J'ai visité et pris des photos cette après midi à l'UCAD et c'est très choquant. Des sénégalais ne peuvent pas faire ça
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Vous vous connaissez et vous savez bien les auteurs de ses casses, il faut les dénoncer. ils seront renvoyés et emprisonnés. Qu'est-ce que ces livres et documents ont à voir avec une affaire de cul? Ces étudiants qui ont brûlé l'université ont certainement écoutés les appels des membres Pasteef de la diaspora, des aigris , drogués et chômeurs qui n'ont jamais été à l'université et qui se croient arrivés une fois qu'ils posent le pied en Europe. Ceux qui travaillent dans la diaspora n'ont pas le temps à passer toute une journée à faire des lives.
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Vive la liberté et vive la liberté de tout détruire
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On vous avez alerté des objectifs funestes de certains manifestants. Ces personnes que tout le monde soupçonne ont mis à genoux lucad. Ils l'ont célébré devant vous.
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Des anarchistes !
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Voilà les vandals que gassama et Aliou tine appellent détenus politique , donc ces Sénégalais qui ont vus leurs bien sacagé ne sont pas victimes de barbarie politique
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Certains Sénégalais sont dévenus les plus ipocrites dans l histoire de l humanité , tu quelqun sur les plateaux de télé entrain de mantire et les jeunes analphabetés et fanatisés aussi croient a ces balivernes
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C'est ça le bilan de PASTEF
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La raison humaine est “jugement”, et le coeur humain est “ parti-pris”. Si vous etes neutre dans une situation d’injustice, vous etes du cote de l’oppresseur. Toute neutralite cache une lachete qui a honte a s’avouer. La neutralite est une posture d’imposteur adoptee pour les besoins de la cause ou la cause des besoins. La neutralite n’est pas une virtue, elle est un leurre, une ruse. Si s’interdire de clamer tout haut ses convictions par peur d’en subir les consequences n’est pas de la lachete , si s’interdire l’action par peur de represailles n’est pas de la lachete, si voir l’injustice et passer son chemin n’est pas de la lachete, admettez neanmoins que cela lui resemble . Indigner vous! Engager vous! Car celui qui n’est pas degoutte par ce qui degoutant est encore plus degoutant que ce qui ne le degoute pas. Le Senegal est a la croisee des chemins, et les neutres qui s’interdisent d’action par peur de represailles disent tres lachement aux jeunes que “ Fi kou fi deh, ya perte”. Toute parturition d’un monde nouveau est douloureux. 620000 soldats tomberent durant la guerre de secession en Amerique. Quitter le comfort de votre neutralite et descender dans l’arene vous meler de ce qui ne vous regarde pas, Le Senegal vous en sera bien reconnaissant. Soyez de tous les combats. Il y a un message de justice dans chaque caillou jette par les manifestants, dans chaque pneu brule, dans chaque boutique brulee, dans chaque station d’essence brulee. Un regime qui opprime son peuple, aurait tout a gagner qu’une partie de son peuple demenure neutre , indifferente et inactive. Il est honteux d’etre sans honte! Dieu lui meme a horreur de la neutralite: “ Ainsi parceque tu es tiede , et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai” declare t-il. Aux patriotes africains freedom fighters (combatants de la liberte ) , l’heure de la revolution et du changement a sonne. C’est pas par la voie des urnes que le Senegal et l’Afrique seront liberes. Pablo Escobar Sall et ses maquisards constituent une mafia qui a pris en otage l’etat et la justice du Senegal. Et avec des methodes mafieuses, ils utiliseront de tous les moyens pour s’eterniser au pouvoir ( 3ieme, 4ieme, et 5ieme mandats). C’est au peuple souverain , de reprendre le pouvoir des mains de cette mafia. Agenouillé sur mon genou droit nu, ma gauche formant l'angle d'un carré, mon corps dressé, ma main droite appuyée sur le Saint Coran, une Equerre et un Compas ; mon bras gauche formant un carré, position dans laquelle je m'engage en bonne et due forme à jurer solennellement et sincèrement qu'Ousmane Sonko Sera le Cinquième Président de la République du Sénégal. Le peuple sénégalais est dans les ténèbres et il souhaite la lumière. Un angle de carré a été appliqué sur le sein droit d'Ousmane Sonko pour lui apprendre que le carré de la vertu doit être la règle et le guide de sa conduite dans toutes ses transactions avec l'humanité. Je promets solennellement et sincèrement et jure avec une résolution ferme et constante quOusmane Sonko respectera toutes les lois et la constitution de la République. Je jure qu'il aidera le Senegal et l’Afrique a regagner leur souverainete dans la liberte, la justice et l’opulence. Alors, Que Dieu l’assite dans son combat! Le Franc-Macon Diola.
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Il faut situer les responsabilités. Tout le monde sait qui est à l'origine de tout cela. Il faut appeler un chat un chat. C'est du jamais vu. Il ya toujours eu des manifestions mais jamais de cette ampleur ni de cette intensité. LEtat doit vérifier les infiltrés venus du sud. C'est important de surveiller de ce côté. Un grave danger guette le Sénégal. Restons vigilants et cherchons à savoir qui est qui
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Quand on naît baadolas on le reste pour toujours. Mêmes les animaux ne sont pas aussi sauvages que les étudiants sénégalais. Rentrez chez vous a la campagne pour cultiver les champs, c'est tout ce qui vous reste. Mbaams you dé yi!
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Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr et Mohamed Mbougar Sarr. Certes, vous êtes des plumes connues du monde entier, mais permettez-moi de vous dire que cette fois-ci, vous êtes passés à côté de la plaque. Les Sénégalais qui attendaient de vous, objectivité et impartialité, sont restés sur leur faim. Vous avez décidé de prendre position. Vous êtes partisans. Je vous le concède. C’est votre droit le plus absolu. Cependant, l’objectivité et l’impartialité ne feront que vous honorer dans ce contexte de perturbations notés dans notre pays.Boris, Felwine et Mbougar, nous qui habitons le Sénégal, nous qui vivons et partageons le quotidien des Sénégalais, avons un pincement au cœur en vous lisant. Nous avons mal parce que nous sommes à la fois victimes et témoins de ces actes de vandalisme et de pillage, qui ont marqué ces journées. Malheureusement, je ne vous ai vu nulle part condamner ces acte à savoir :- sabotage des installations de la SONES pour assoiffer les populations de Dakar, afin de créer la panique générale ;- sabotage des installations de la SENELEC pour plonger Dakar dans l’obscurité, afin de permettre à des pilleurs de faire leurs sales besognes ;- pillage des commerces, des grandes surfaces, des banques et stations d’essence avec le vol de coffres-forts ;- acte de vandalisme sur des biens d'autrui ;- incendies dans les Universités ;- attaques des maisons d'honnêtes citoyens qui ont décidé de rester au Sénégal ;- attaques et provocations de nos forces de défense et de sécurité, etc.La liste est loin d’être exhaustive.De l'autre côté, à travers les réseaux sociaux et certains médias des hommes politiques, des influenceurs et activistes manipulent l'opinion nationale et internationale, en leur faisant croire que c’est à cause d'une 3e candidature du Président Macky Sall. La réalité est autre. Et vous le savez très bien.Chers Boris, Felwine et Mbougar, revenez à la raison et prenez votre courage et votre responsabilité, car l’histoire vous interpellera un jour. Prendre sa responsabilité, c'est d'abord dire la vérité. C'est quoi la vérité dans ce dossier dont vous faites cas ? La vérité est qu’un leader politique, est traduit en justice par une jeune Sénégalaise de 20 ans, pour viol.L’histoire retiendra que vous êtes les intellectuels et universitaires qui ont choisi de contribuer à la bonne marche de la machine à manipulation d’une certaine opposition sénégalaise. Chers universitaires, contribuer à détériorer le capital image du Sénégal, ne devait pas venir de vous. Ce Sénégal qui vous a tout donné, occupe une bonne place dans les agences de notation du monde, grâce à sa stabilité et sa démocratie.Dans votre stratégie partisane de manipulation, vous avez opté de faire fi de ce qui est à l’origine de ce décompte macabre. Vous dites bien qu’ « à travers votre tribune », vous tenez « à alerter sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours ». Félicitations ! Toutefois, ayez le courage et l’honnêteté intellectuelle de dire la vérité à l’opinion nationale et internationale.A travers ma modeste tribune, je tiens à éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale que vous cherchiez à manipuler, en faisant fi des droits d’une pauvre Sénégalaise qui était utilisée comme « objet sexuel » dans un salon de massage ou salon de débauche.A travers votre tribune, vous avez décidé de ne pas entendre les appels à l’insurrection et incitation des jeunes à la violence de cet homme politique, dont les mots clés sont : « mortal Kombat, arrêter la politique des salons, donner votre sang, maintenant j’ai l’allumette que je cherchais pour mettre le feu au Sénégal, kou dé sa yaye diourat (chaque jeune qui tombe dans les manifestions, ta mère donnera naissance à un autre enfant), à chaque fois qu’il y a une victime, c’est la peur et la pression sur Macky Sall, Macky Sall me tue ou je le tue, attaquer les forces de défense et de sécurité », etc. Sans nul doute, vous me direz que vous n’avez rien entendu.Chers intellectuels, l’histoire retiendra que vous avez décidé de prendre position pour un leader politique, en faisant fi de tout ce que cette jeune génération attendait de vous : objectivité et impartialité.Nous ne reconnaissons plus le doyen Boris qui faisait naguère la fierté des jeunes reporters que nous étions. Quand j’arrivais au quotidien "Le Matin", au début des années 2000, vous veniez juste de quitter en laissant derrière vous, de beaux témoignages. Hélas !Honneur à la démocratie sénégalaise« ….d’une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques » dont vous avez fait cas, nul doute que vous êtes aujourd’hui les porte-étendards à la solde de je ne sais qui, pour ternir l’image du pays qui vous a tout donné. Sachez que la démocratie sénégalaise avec ou sans vous, continuera de faire la fierté de l’Afrique et du Sénégal.Certes, elle est aujourd’hui dans une zone de turbulence, mais c’est cette démocratie qui a permis à Abdoulaye Wade d’arriver au pouvoir en 2000 face à Abdou Diouf, à Macky Sall en 2012, face à Abdoulaye Wade. C’est cette démocratie qui a permis à l’opposition de gagner en 2014 et en 2022 des villes comme Dakar la capitale, Thiès, Ziguinchor, Kaolack, etc. C’est cette même démocratie qui a permis à l’opposition sénégalaise d’obtenir 82 sièges au parlement, contre 83 pour le parti au pouvoir en 2022. Une première dans une démocratie africaine.3e candidature ou une stratégie de manipulationChers intellectuels, parler de 3e candidature alors que le Président Macky Sall ne s’est pas encore prononcé, relève d’une malhonnêteté intellectuelle sans précédent. Les 16 morts de 2023 et les 14 de mars 2021, sont à inscrire sur la liste du feuilleton judiciaire entre la jeune fille des iles du Saloum et ce « puissant » responsable politique. Ce dernier qui, jusqu’à l’heure où j’écris cette contribution, refuse de répondre à la justice de son pays qui l’a finalement jugé et condamné par contumace. Et vous refusez toujours de dire la vérité.Selon le trio partisan que vous êtes : « La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique, dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire, dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour. »Pour votre information, l’homme politique que vous venez de citer, est condamné pour délit de corruption de la jeunesse.C’est quoi la corruption de la jeunesse ? La corruption de la jeunesse est une infraction à la loi pénale prévue et punie par l’article 324, alinéa 2, du Code pénal qui dispose : « sera puni des peines prévues au présent article, quiconque aura attenté aux mœurs en exécutant, favorisant ou facilitant habituellement la débauche ou la corruption de la jeunesse de l’un ou l’autre sexe au-dessous de l’âge de vingt et un ans, ou, même occasionnellement des mineurs de seize ans ». La peine prévue sera selon l’alinéa 1 de l’article 324 du Code pénal, est de 2 à 5 ans et d’une amende de 300 000 à 4 000 000.Le rappel profite aux croyantsToujours d’après votre tribune : « Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. » Certes, vous avez donné des années référence de tensions politiques au Sénégal, toutefois permettez-moi de faire un bref rappel sur ces dates historiques, en y ajoutant 1994, 2004, 2013 et 2015.Chers intellectuels, le Saint Coran nous a appris que « le rappel profite aux croyants ».1963 : c’était le procès de Mamadadou Dia, président du Conseil du Sénégal qui est accusé de complot contre le Président Senghor en 1962. Arrêté, son procès est convoqué au début du mois de mai 1963 et a duré cinq jours ;1963 : c’est également l’événement du 3 décembre suite à la candidature unique du Président Léopold Sédar Senghor et de son parti, à la première élection législative du Sénégal indépendant. Une forte mobilisation populaire avec des milliers de manifestants, sera réprimée dans le sang avec 40 morts et 250 blessés à la Médina ;1968 : à l’instar de beaucoup de pays, le Sénégal a connu des mouvements de contestation, particulièrement à l’université de Dakar, suite à la protestation des étudiants contre la réduction des bourses, avec un premier appel de l'Union des étudiants sénégalais (UDES) lancé le 18 mars et le début d'une grève de protestation le 18 mai. Le 29 mai, la Police entre dans le temple du savoir, ce qui entraîne la mort d'un étudiant ainsi que 69 blessés dont 42 étudiants ;1988 : Le Sénégal a organisé une élection présidentielle avec quatre candidats en lice. Apres la proclamation des résultats, de violentes manifestions éclatent à Thiès et à Dakar. Me Abdoulaye fut arrêté le 29 février 1988. Son procès a eu lieu le 11 mai 1988, après avoir été reporté une première fois. Me Wade fut condamné à an avec sursis ;1993 : Me Babacar Sèye, vice-Président du Conseil Constitutionnel, est assassiné le samedi 15 sur la corniche ouest de Dakar, après les élections législatives du 09 mai 1993. Me Abdoulaye Wade et sa femme son inculpés le 1er octobre 1993. L’arrêt de la Chambre correctionnel de la Cour de Cassation du 6 septembre 1994, a prononcé le non-lieu en faveur de Abdoulaye Wade et ses codétenus. Tandis que Amadou Clédor Sène, Assane Diop et Papa Ibrahima Diakhaté, reconnus coupables, sont condamnés ;1994 : le 16 février, le mouvement moustalsidini wal moustalsidati organise une meeting de coalition avec le Président Wade. Un mot d’ordre a été donné pour marcher vers Palais de la République. Les conséquences étaient lourdes avec des saccages, pillages et la mort de 4 policiers ;2004 : Idrissa Seck, Premier ministre sera démis de ses fonctions en 2004, avant d’être convoqué le 15 juillet 2005 par la Division des investigations criminelles (DIC), dans l’affaire dite des chantiers de Thiès. Il est inculpé le 23 juillet 2005 pour « atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale », avant d’être déféré à Rebeuss, où il passera 199 jours. Il sort de prison le 7 février 2006 avec un non-lieu par la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice ;2011 : un 23 juin de cette année, les forces vives de la nation sénégalaise se sont mobilisées pour dire non à un projet de lois appelé quart bloquant proposé par le Président Abdoulaye Wade ;2013 : Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade, est poursuivi par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Le 23 mars 2005, le verdict est tombé. Karim Wade écope d’une peine de six ans de prison ferme et d’une amende de 138 milliards de francs CFA ;2015 : Khalifa Ababacar Sall, maire socialiste de Dakar, est accusé d’avoir détourné 1,8 milliard de francs CFA (2,7 millions d’euros) de la régie d’avance de la municipalité de Dakar. Khalifa Sall sera finalement condamné à 5 ans de prison ferme et à une amende de 5 millions de francs CFA pour « faux et usage de faux » et « escroquerie portant sur des fonds publics » ;2021 : le député Ousmane Sonko est accusé de viol par Adji Sarr, une jeune masseuse du salon Sweet Beauté en février 2021 en pleine crise sanitaire de COVID-19. Jugé en mai 2023, il est condamné le 1er juin par contumace, à 2 ans de prison ferme pour corruption de jeunesse.Hors sujet…« Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux, nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles », là je suis d’accord avec vous. Malheureusement ce qui va suivre montre à suffisance que vous êtes hors sujet, si c’était un sujet de dissertation.Vous dites : « Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. » Ah bon ! Ironie du sort. Je ne savais pas que le verdict qui était donné le 1er juin 2023 au temple de Timis portait sur un 3e mandat du président de la République. Pourtant, ni vous, ni moi n’ont pas encore entendu le Président Macky Sall dire qu’il briguera un 3e mandat.Vous voulez également « qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir. » Apparemment vous avez oublié de citer l’article L27 de la Constitution sénégalaise qui dit que : « La durée du mandat du Président de la République du Sénégal est de 5 ans. Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. » Pour votre information, son acte de naissance est signé le 5 avril 2016, après le référendum du mois de mars de la même année. De grâce, faites la différence entre la Constitution du Sénégal et les promesses ou engagements pris par un citoyen, fût-il Président de la République.Par ailleurs, vous revenez sur ce que vous appelez : « la vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours ». Sans vous offenser, « cette vaque de violence » est le fruit de cette industrie de manipulation à laquelle vous contribuez de la plus belle des manières. Ces actes de vandalisme et de pillage mettent à nu les tares de la société sénégalaise à laquelle nous appartenons tous. Cette société qui est victime de certains de ses universitaires et intellectuels « encagoulés », responsables politiques, membre de la société civile, journalistes, religieux, influenceurs ou activistes, etc.Enfin je vous recommande le livre d’El hadj Ibrahima NDAO « SENEGAL, HISTOIRES DES CONQUETES DEMOCRATIQUES ». Selon ce brillant intellectuel, « le chemin parcouru par le Sénégal, depuis la colonisation jusqu’à nos jours, a été long, souvent difficile, mais toujours exigeant ».Permettez-moi enfin de m’incliner devant la mémoire de toutes les victimes de la manipulation des hommes politiques, entre 2021 et 2023.Par Talibouya AIDARA
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr et Mohamed Mbougar Sarr. Certes, vous êtes des plumes connues du monde entier, mais permettez-moi de vous dire que cette fois-ci, vous êtes passés à côté de la plaque. Les Sénégalais qui attendaient de vous, objectivité et impartialité, sont restés sur leur faim. Vous avez décidé de prendre position. Vous êtes partisans. Je vous le concède. C’est votre droit le plus absolu. Cependant, l’objectivité et l’impartialité ne feront que vous honorer dans ce contexte de perturbations notés dans notre pays.Boris, Felwine et Mbougar, nous qui habitons le Sénégal, nous qui vivons et partageons le quotidien des Sénégalais, avons un pincement au cœur en vous lisant. Nous avons mal parce que nous sommes à la fois victimes et témoins de ces actes de vandalisme et de pillage, qui ont marqué ces journées. Malheureusement, je ne vous ai vu nulle part condamner ces acte à savoir :- sabotage des installations de la SONES pour assoiffer les populations de Dakar, afin de créer la panique générale ;- sabotage des installations de la SENELEC pour plonger Dakar dans l’obscurité, afin de permettre à des pilleurs de faire leurs sales besognes ;- pillage des commerces, des grandes surfaces, des banques et stations d’essence avec le vol de coffres-forts ;- acte de vandalisme sur des biens d'autrui ;- incendies dans les Universités ;- attaques des maisons d'honnêtes citoyens qui ont décidé de rester au Sénégal ;- attaques et provocations de nos forces de défense et de sécurité, etc.La liste est loin d’être exhaustive.De l'autre côté, à travers les réseaux sociaux et certains médias des hommes politiques, des influenceurs et activistes manipulent l'opinion nationale et internationale, en leur faisant croire que c’est à cause d'une 3e candidature du Président Macky Sall. La réalité est autre. Et vous le savez très bien.Chers Boris, Felwine et Mbougar, revenez à la raison et prenez votre courage et votre responsabilité, car l’histoire vous interpellera un jour. Prendre sa responsabilité, c'est d'abord dire la vérité. C'est quoi la vérité dans ce dossier dont vous faites cas ? La vérité est qu’un leader politique, est traduit en justice par une jeune Sénégalaise de 20 ans, pour viol.L’histoire retiendra que vous êtes les intellectuels et universitaires qui ont choisi de contribuer à la bonne marche de la machine à manipulation d’une certaine opposition sénégalaise. Chers universitaires, contribuer à détériorer le capital image du Sénégal, ne devait pas venir de vous. Ce Sénégal qui vous a tout donné, occupe une bonne place dans les agences de notation du monde, grâce à sa stabilité et sa démocratie.Dans votre stratégie partisane de manipulation, vous avez opté de faire fi de ce qui est à l’origine de ce décompte macabre. Vous dites bien qu’ « à travers votre tribune », vous tenez « à alerter sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours ». Félicitations ! Toutefois, ayez le courage et l’honnêteté intellectuelle de dire la vérité à l’opinion nationale et internationale.A travers ma modeste tribune, je tiens à éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale que vous cherchiez à manipuler, en faisant fi des droits d’une pauvre Sénégalaise qui était utilisée comme « objet sexuel » dans un salon de massage ou salon de débauche.A travers votre tribune, vous avez décidé de ne pas entendre les appels à l’insurrection et incitation des jeunes à la violence de cet homme politique, dont les mots clés sont : « mortal Kombat, arrêter la politique des salons, donner votre sang, maintenant j’ai l’allumette que je cherchais pour mettre le feu au Sénégal, kou dé sa yaye diourat (chaque jeune qui tombe dans les manifestions, ta mère donnera naissance à un autre enfant), à chaque fois qu’il y a une victime, c’est la peur et la pression sur Macky Sall, Macky Sall me tue ou je le tue, attaquer les forces de défense et de sécurité », etc. Sans nul doute, vous me direz que vous n’avez rien entendu.Chers intellectuels, l’histoire retiendra que vous avez décidé de prendre position pour un leader politique, en faisant fi de tout ce que cette jeune génération attendait de vous : objectivité et impartialité.Nous ne reconnaissons plus le doyen Boris qui faisait naguère la fierté des jeunes reporters que nous étions. Quand j’arrivais au quotidien "Le Matin", au début des années 2000, vous veniez juste de quitter en laissant derrière vous, de beaux témoignages. Hélas !Honneur à la démocratie sénégalaise« ….d’une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques » dont vous avez fait cas, nul doute que vous êtes aujourd’hui les porte-étendards à la solde de je ne sais qui, pour ternir l’image du pays qui vous a tout donné. Sachez que la démocratie sénégalaise avec ou sans vous, continuera de faire la fierté de l’Afrique et du Sénégal.Certes, elle est aujourd’hui dans une zone de turbulence, mais c’est cette démocratie qui a permis à Abdoulaye Wade d’arriver au pouvoir en 2000 face à Abdou Diouf, à Macky Sall en 2012, face à Abdoulaye Wade. C’est cette démocratie qui a permis à l’opposition de gagner en 2014 et en 2022 des villes comme Dakar la capitale, Thiès, Ziguinchor, Kaolack, etc. C’est cette même démocratie qui a permis à l’opposition sénégalaise d’obtenir 82 sièges au parlement, contre 83 pour le parti au pouvoir en 2022. Une première dans une démocratie africaine.3e candidature ou une stratégie de manipulationChers intellectuels, parler de 3e candidature alors que le Président Macky Sall ne s’est pas encore prononcé, relève d’une malhonnêteté intellectuelle sans précédent. Les 16 morts de 2023 et les 14 de mars 2021, sont à inscrire sur la liste du feuilleton judiciaire entre la jeune fille des iles du Saloum et ce « puissant » responsable politique. Ce dernier qui, jusqu’à l’heure où j’écris cette contribution, refuse de répondre à la justice de son pays qui l’a finalement jugé et condamné par contumace. Et vous refusez toujours de dire la vérité.Selon le trio partisan que vous êtes : « La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique, dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire, dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour. »Pour votre information, l’homme politique que vous venez de citer, est condamné pour délit de corruption de la jeunesse.C’est quoi la corruption de la jeunesse ? La corruption de la jeunesse est une infraction à la loi pénale prévue et punie par l’article 324, alinéa 2, du Code pénal qui dispose : « sera puni des peines prévues au présent article, quiconque aura attenté aux mœurs en exécutant, favorisant ou facilitant habituellement la débauche ou la corruption de la jeunesse de l’un ou l’autre sexe au-dessous de l’âge de vingt et un ans, ou, même occasionnellement des mineurs de seize ans ». La peine prévue sera selon l’alinéa 1 de l’article 324 du Code pénal, est de 2 à 5 ans et d’une amende de 300 000 à 4 000 000.Le rappel profite aux croyantsToujours d’après votre tribune : « Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. » Certes, vous avez donné des années référence de tensions politiques au Sénégal, toutefois permettez-moi de faire un bref rappel sur ces dates historiques, en y ajoutant 1994, 2004, 2013 et 2015.Chers intellectuels, le Saint Coran nous a appris que « le rappel profite aux croyants ».1963 : c’était le procès de Mamadadou Dia, président du Conseil du Sénégal qui est accusé de complot contre le Président Senghor en 1962. Arrêté, son procès est convoqué au début du mois de mai 1963 et a duré cinq jours ;1963 : c’est également l’événement du 3 décembre suite à la candidature unique du Président Léopold Sédar Senghor et de son parti, à la première élection législative du Sénégal indépendant. Une forte mobilisation populaire avec des milliers de manifestants, sera réprimée dans le sang avec 40 morts et 250 blessés à la Médina ;1968 : à l’instar de beaucoup de pays, le Sénégal a connu des mouvements de contestation, particulièrement à l’université de Dakar, suite à la protestation des étudiants contre la réduction des bourses, avec un premier appel de l'Union des étudiants sénégalais (UDES) lancé le 18 mars et le début d'une grève de protestation le 18 mai. Le 29 mai, la Police entre dans le temple du savoir, ce qui entraîne la mort d'un étudiant ainsi que 69 blessés dont 42 étudiants ;1988 : Le Sénégal a organisé une élection présidentielle avec quatre candidats en lice. Apres la proclamation des résultats, de violentes manifestions éclatent à Thiès et à Dakar. Me Abdoulaye fut arrêté le 29 février 1988. Son procès a eu lieu le 11 mai 1988, après avoir été reporté une première fois. Me Wade fut condamné à an avec sursis ;1993 : Me Babacar Sèye, vice-Président du Conseil Constitutionnel, est assassiné le samedi 15 sur la corniche ouest de Dakar, après les élections législatives du 09 mai 1993. Me Abdoulaye Wade et sa femme son inculpés le 1er octobre 1993. L’arrêt de la Chambre correctionnel de la Cour de Cassation du 6 septembre 1994, a prononcé le non-lieu en faveur de Abdoulaye Wade et ses codétenus. Tandis que Amadou Clédor Sène, Assane Diop et Papa Ibrahima Diakhaté, reconnus coupables, sont condamnés ;1994 : le 16 février, le mouvement moustalsidini wal moustalsidati organise une meeting de coalition avec le Président Wade. Un mot d’ordre a été donné pour marcher vers Palais de la République. Les conséquences étaient lourdes avec des saccages, pillages et la mort de 4 policiers ;2004 : Idrissa Seck, Premier ministre sera démis de ses fonctions en 2004, avant d’être convoqué le 15 juillet 2005 par la Division des investigations criminelles (DIC), dans l’affaire dite des chantiers de Thiès. Il est inculpé le 23 juillet 2005 pour « atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale », avant d’être déféré à Rebeuss, où il passera 199 jours. Il sort de prison le 7 février 2006 avec un non-lieu par la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice ;2011 : un 23 juin de cette année, les forces vives de la nation sénégalaise se sont mobilisées pour dire non à un projet de lois appelé quart bloquant proposé par le Président Abdoulaye Wade ;2013 : Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade, est poursuivi par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Le 23 mars 2005, le verdict est tombé. Karim Wade écope d’une peine de six ans de prison ferme et d’une amende de 138 milliards de francs CFA ;2015 : Khalifa Ababacar Sall, maire socialiste de Dakar, est accusé d’avoir détourné 1,8 milliard de francs CFA (2,7 millions d’euros) de la régie d’avance de la municipalité de Dakar. Khalifa Sall sera finalement condamné à 5 ans de prison ferme et à une amende de 5 millions de francs CFA pour « faux et usage de faux » et « escroquerie portant sur des fonds publics » ;2021 : le député Ousmane Sonko est accusé de viol par Adji Sarr, une jeune masseuse du salon Sweet Beauté en février 2021 en pleine crise sanitaire de COVID-19. Jugé en mai 2023, il est condamné le 1er juin par contumace, à 2 ans de prison ferme pour corruption de jeunesse.Hors sujet…« Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux, nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles », là je suis d’accord avec vous. Malheureusement ce qui va suivre montre à suffisance que vous êtes hors sujet, si c’était un sujet de dissertation.Vous dites : « Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. » Ah bon ! Ironie du sort. Je ne savais pas que le verdict qui était donné le 1er juin 2023 au temple de Timis portait sur un 3e mandat du président de la République. Pourtant, ni vous, ni moi n’ont pas encore entendu le Président Macky Sall dire qu’il briguera un 3e mandat.Vous voulez également « qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir. » Apparemment vous avez oublié de citer l’article L27 de la Constitution sénégalaise qui dit que : « La durée du mandat du Président de la République du Sénégal est de 5 ans. Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. » Pour votre information, son acte de naissance est signé le 5 avril 2016, après le référendum du mois de mars de la même année. De grâce, faites la différence entre la Constitution du Sénégal et les promesses ou engagements pris par un citoyen, fût-il Président de la République.Par ailleurs, vous revenez sur ce que vous appelez : « la vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours ». Sans vous offenser, « cette vaque de violence » est le fruit de cette industrie de manipulation à laquelle vous contribuez de la plus belle des manières. Ces actes de vandalisme et de pillage mettent à nu les tares de la société sénégalaise à laquelle nous appartenons tous. Cette société qui est victime de certains de ses universitaires et intellectuels « encagoulés », responsables politiques, membre de la société civile, journalistes, religieux, influenceurs ou activistes, etc.Enfin je vous recommande le livre d’El hadj Ibrahima NDAO « SENEGAL, HISTOIRES DES CONQUETES DEMOCRATIQUES ». Selon ce brillant intellectuel, « le chemin parcouru par le Sénégal, depuis la colonisation jusqu’à nos jours, a été long, souvent difficile, mais toujours exigeant ».Permettez-moi enfin de m’incliner devant la mémoire de toutes les victimes de la manipulation des hommes politiques, entre 2021 et 2023.Par Talibouya AIDARA
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr et Mohamed Mbougar Sarr. Certes, vous êtes des plumes connues du monde entier, mais permettez-moi de vous dire que cette fois-ci, vous êtes passés à côté de la plaque. Les Sénégalais qui attendaient de vous, objectivité et impartialité, sont restés sur leur faim. Vous avez décidé de prendre position. Vous êtes partisans. Je vous le concède. C’est votre droit le plus absolu. Cependant, l’objectivité et l’impartialité ne feront que vous honorer dans ce contexte de perturbations notés dans notre pays.Boris, Felwine et Mbougar, nous qui habitons le Sénégal, nous qui vivons et partageons le quotidien des Sénégalais, avons un pincement au cœur en vous lisant. Nous avons mal parce que nous sommes à la fois victimes et témoins de ces actes de vandalisme et de pillage, qui ont marqué ces journées. Malheureusement, je ne vous ai vu nulle part condamner ces acte à savoir :- sabotage des installations de la SONES pour assoiffer les populations de Dakar, afin de créer la panique générale ;- sabotage des installations de la SENELEC pour plonger Dakar dans l’obscurité, afin de permettre à des pilleurs de faire leurs sales besognes ;- pillage des commerces, des grandes surfaces, des banques et stations d’essence avec le vol de coffres-forts ;- acte de vandalisme sur des biens d'autrui ;- incendies dans les Universités ;- attaques des maisons d'honnêtes citoyens qui ont décidé de rester au Sénégal ;- attaques et provocations de nos forces de défense et de sécurité, etc.La liste est loin d’être exhaustive.De l'autre côté, à travers les réseaux sociaux et certains médias des hommes politiques, des influenceurs et activistes manipulent l'opinion nationale et internationale, en leur faisant croire que c’est à cause d'une 3e candidature du Président Macky Sall. La réalité est autre. Et vous le savez très bien.Chers Boris, Felwine et Mbougar, revenez à la raison et prenez votre courage et votre responsabilité, car l’histoire vous interpellera un jour. Prendre sa responsabilité, c'est d'abord dire la vérité. C'est quoi la vérité dans ce dossier dont vous faites cas ? La vérité est qu’un leader politique, est traduit en justice par une jeune Sénégalaise de 20 ans, pour viol.L’histoire retiendra que vous êtes les intellectuels et universitaires qui ont choisi de contribuer à la bonne marche de la machine à manipulation d’une certaine opposition sénégalaise. Chers universitaires, contribuer à détériorer le capital image du Sénégal, ne devait pas venir de vous. Ce Sénégal qui vous a tout donné, occupe une bonne place dans les agences de notation du monde, grâce à sa stabilité et sa démocratie.Dans votre stratégie partisane de manipulation, vous avez opté de faire fi de ce qui est à l’origine de ce décompte macabre. Vous dites bien qu’ « à travers votre tribune », vous tenez « à alerter sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours ». Félicitations ! Toutefois, ayez le courage et l’honnêteté intellectuelle de dire la vérité à l’opinion nationale et internationale.A travers ma modeste tribune, je tiens à éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale que vous cherchiez à manipuler, en faisant fi des droits d’une pauvre Sénégalaise qui était utilisée comme « objet sexuel » dans un salon de massage ou salon de débauche.A travers votre tribune, vous avez décidé de ne pas entendre les appels à l’insurrection et incitation des jeunes à la violence de cet homme politique, dont les mots clés sont : « mortal Kombat, arrêter la politique des salons, donner votre sang, maintenant j’ai l’allumette que je cherchais pour mettre le feu au Sénégal, kou dé sa yaye diourat (chaque jeune qui tombe dans les manifestions, ta mère donnera naissance à un autre enfant), à chaque fois qu’il y a une victime, c’est la peur et la pression sur Macky Sall, Macky Sall me tue ou je le tue, attaquer les forces de défense et de sécurité », etc. Sans nul doute, vous me direz que vous n’avez rien entendu.Chers intellectuels, l’histoire retiendra que vous avez décidé de prendre position pour un leader politique, en faisant fi de tout ce que cette jeune génération attendait de vous : objectivité et impartialité.Nous ne reconnaissons plus le doyen Boris qui faisait naguère la fierté des jeunes reporters que nous étions. Quand j’arrivais au quotidien "Le Matin", au début des années 2000, vous veniez juste de quitter en laissant derrière vous, de beaux témoignages. Hélas !Honneur à la démocratie sénégalaise« ….d’une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques » dont vous avez fait cas, nul doute que vous êtes aujourd’hui les porte-étendards à la solde de je ne sais qui, pour ternir l’image du pays qui vous a tout donné. Sachez que la démocratie sénégalaise avec ou sans vous, continuera de faire la fierté de l’Afrique et du Sénégal.Certes, elle est aujourd’hui dans une zone de turbulence, mais c’est cette démocratie qui a permis à Abdoulaye Wade d’arriver au pouvoir en 2000 face à Abdou Diouf, à Macky Sall en 2012, face à Abdoulaye Wade. C’est cette démocratie qui a permis à l’opposition de gagner en 2014 et en 2022 des villes comme Dakar la capitale, Thiès, Ziguinchor, Kaolack, etc. C’est cette même démocratie qui a permis à l’opposition sénégalaise d’obtenir 82 sièges au parlement, contre 83 pour le parti au pouvoir en 2022. Une première dans une démocratie africaine.3e candidature ou une stratégie de manipulationChers intellectuels, parler de 3e candidature alors que le Président Macky Sall ne s’est pas encore prononcé, relève d’une malhonnêteté intellectuelle sans précédent. Les 16 morts de 2023 et les 14 de mars 2021, sont à inscrire sur la liste du feuilleton judiciaire entre la jeune fille des iles du Saloum et ce « puissant » responsable politique. Ce dernier qui, jusqu’à l’heure où j’écris cette contribution, refuse de répondre à la justice de son pays qui l’a finalement jugé et condamné par contumace. Et vous refusez toujours de dire la vérité.Selon le trio partisan que vous êtes : « La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique, dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire, dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour. »Pour votre information, l’homme politique que vous venez de citer, est condamné pour délit de corruption de la jeunesse.C’est quoi la corruption de la jeunesse ? La corruption de la jeunesse est une infraction à la loi pénale prévue et punie par l’article 324, alinéa 2, du Code pénal qui dispose : « sera puni des peines prévues au présent article, quiconque aura attenté aux mœurs en exécutant, favorisant ou facilitant habituellement la débauche ou la corruption de la jeunesse de l’un ou l’autre sexe au-dessous de l’âge de vingt et un ans, ou, même occasionnellement des mineurs de seize ans ». La peine prévue sera selon l’alinéa 1 de l’article 324 du Code pénal, est de 2 à 5 ans et d’une amende de 300 000 à 4 000 000.Le rappel profite aux croyantsToujours d’après votre tribune : « Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. » Certes, vous avez donné des années référence de tensions politiques au Sénégal, toutefois permettez-moi de faire un bref rappel sur ces dates historiques, en y ajoutant 1994, 2004, 2013 et 2015.Chers intellectuels, le Saint Coran nous a appris que « le rappel profite aux croyants ».1963 : c’était le procès de Mamadadou Dia, président du Conseil du Sénégal qui est accusé de complot contre le Président Senghor en 1962. Arrêté, son procès est convoqué au début du mois de mai 1963 et a duré cinq jours ;1963 : c’est également l’événement du 3 décembre suite à la candidature unique du Président Léopold Sédar Senghor et de son parti, à la première élection législative du Sénégal indépendant. Une forte mobilisation populaire avec des milliers de manifestants, sera réprimée dans le sang avec 40 morts et 250 blessés à la Médina ;1968 : à l’instar de beaucoup de pays, le Sénégal a connu des mouvements de contestation, particulièrement à l’université de Dakar, suite à la protestation des étudiants contre la réduction des bourses, avec un premier appel de l'Union des étudiants sénégalais (UDES) lancé le 18 mars et le début d'une grève de protestation le 18 mai. Le 29 mai, la Police entre dans le temple du savoir, ce qui entraîne la mort d'un étudiant ainsi que 69 blessés dont 42 étudiants ;1988 : Le Sénégal a organisé une élection présidentielle avec quatre candidats en lice. Apres la proclamation des résultats, de violentes manifestions éclatent à Thiès et à Dakar. Me Abdoulaye fut arrêté le 29 février 1988. Son procès a eu lieu le 11 mai 1988, après avoir été reporté une première fois. Me Wade fut condamné à an avec sursis ;1993 : Me Babacar Sèye, vice-Président du Conseil Constitutionnel, est assassiné le samedi 15 sur la corniche ouest de Dakar, après les élections législatives du 09 mai 1993. Me Abdoulaye Wade et sa femme son inculpés le 1er octobre 1993. L’arrêt de la Chambre correctionnel de la Cour de Cassation du 6 septembre 1994, a prononcé le non-lieu en faveur de Abdoulaye Wade et ses codétenus. Tandis que Amadou Clédor Sène, Assane Diop et Papa Ibrahima Diakhaté, reconnus coupables, sont condamnés ;1994 : le 16 février, le mouvement moustalsidini wal moustalsidati organise une meeting de coalition avec le Président Wade. Un mot d’ordre a été donné pour marcher vers Palais de la République. Les conséquences étaient lourdes avec des saccages, pillages et la mort de 4 policiers ;2004 : Idrissa Seck, Premier ministre sera démis de ses fonctions en 2004, avant d’être convoqué le 15 juillet 2005 par la Division des investigations criminelles (DIC), dans l’affaire dite des chantiers de Thiès. Il est inculpé le 23 juillet 2005 pour « atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale », avant d’être déféré à Rebeuss, où il passera 199 jours. Il sort de prison le 7 février 2006 avec un non-lieu par la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice ;2011 : un 23 juin de cette année, les forces vives de la nation sénégalaise se sont mobilisées pour dire non à un projet de lois appelé quart bloquant proposé par le Président Abdoulaye Wade ;2013 : Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade, est poursuivi par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Le 23 mars 2005, le verdict est tombé. Karim Wade écope d’une peine de six ans de prison ferme et d’une amende de 138 milliards de francs CFA ;2015 : Khalifa Ababacar Sall, maire socialiste de Dakar, est accusé d’avoir détourné 1,8 milliard de francs CFA (2,7 millions d’euros) de la régie d’avance de la municipalité de Dakar. Khalifa Sall sera finalement condamné à 5 ans de prison ferme et à une amende de 5 millions de francs CFA pour « faux et usage de faux » et « escroquerie portant sur des fonds publics » ;2021 : le député Ousmane Sonko est accusé de viol par Adji Sarr, une jeune masseuse du salon Sweet Beauté en février 2021 en pleine crise sanitaire de COVID-19. Jugé en mai 2023, il est condamné le 1er juin par contumace, à 2 ans de prison ferme pour corruption de jeunesse.Hors sujet…« Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux, nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles », là je suis d’accord avec vous. Malheureusement ce qui va suivre montre à suffisance que vous êtes hors sujet, si c’était un sujet de dissertation.Vous dites : « Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. » Ah bon ! Ironie du sort. Je ne savais pas que le verdict qui était donné le 1er juin 2023 au temple de Timis portait sur un 3e mandat du président de la République. Pourtant, ni vous, ni moi n’ont pas encore entendu le Président Macky Sall dire qu’il briguera un 3e mandat.Vous voulez également « qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir. » Apparemment vous avez oublié de citer l’article L27 de la Constitution sénégalaise qui dit que : « La durée du mandat du Président de la République du Sénégal est de 5 ans. Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. » Pour votre information, son acte de naissance est signé le 5 avril 2016, après le référendum du mois de mars de la même année. De grâce, faites la différence entre la Constitution du Sénégal et les promesses ou engagements pris par un citoyen, fût-il Président de la République.Par ailleurs, vous revenez sur ce que vous appelez : « la vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours ». Sans vous offenser, « cette vaque de violence » est le fruit de cette industrie de manipulation à laquelle vous contribuez de la plus belle des manières. Ces actes de vandalisme et de pillage mettent à nu les tares de la société sénégalaise à laquelle nous appartenons tous. Cette société qui est victime de certains de ses universitaires et intellectuels « encagoulés », responsables politiques, membre de la société civile, journalistes, religieux, influenceurs ou activistes, etc.Enfin je vous recommande le livre d’El hadj Ibrahima NDAO « SENEGAL, HISTOIRES DES CONQUETES DEMOCRATIQUES ». Selon ce brillant intellectuel, « le chemin parcouru par le Sénégal, depuis la colonisation jusqu’à nos jours, a été long, souvent difficile, mais toujours exigeant ».Permettez-moi enfin de m’incliner devant la mémoire de toutes les victimes de la manipulation des hommes politiques, entre 2021 et 2023.Par Talibouya AIDARA
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr et Mohamed Mbougar Sarr. Certes, vous êtes des plumes connues du monde entier, mais permettez-moi de vous dire que cette fois-ci, vous êtes passés à côté de la plaque. Les Sénégalais qui attendaient de vous, objectivité et impartialité, sont restés sur leur faim. Vous avez décidé de prendre position. Vous êtes partisans. Je vous le concède. C’est votre droit le plus absolu. Cependant, l’objectivité et l’impartialité ne feront que vous honorer dans ce contexte de perturbations notés dans notre pays.Boris, Felwine et Mbougar, nous qui habitons le Sénégal, nous qui vivons et partageons le quotidien des Sénégalais, avons un pincement au cœur en vous lisant. Nous avons mal parce que nous sommes à la fois victimes et témoins de ces actes de vandalisme et de pillage, qui ont marqué ces journées. Malheureusement, je ne vous ai vu nulle part condamner ces acte à savoir :- sabotage des installations de la SONES pour assoiffer les populations de Dakar, afin de créer la panique générale ;- sabotage des installations de la SENELEC pour plonger Dakar dans l’obscurité, afin de permettre à des pilleurs de faire leurs sales besognes ;- pillage des commerces, des grandes surfaces, des banques et stations d’essence avec le vol de coffres-forts ;- acte de vandalisme sur des biens d'autrui ;- incendies dans les Universités ;- attaques des maisons d'honnêtes citoyens qui ont décidé de rester au Sénégal ;- attaques et provocations de nos forces de défense et de sécurité, etc.La liste est loin d’être exhaustive.De l'autre côté, à travers les réseaux sociaux et certains médias des hommes politiques, des influenceurs et activistes manipulent l'opinion nationale et internationale, en leur faisant croire que c’est à cause d'une 3e candidature du Président Macky Sall. La réalité est autre. Et vous le savez très bien.Chers Boris, Felwine et Mbougar, revenez à la raison et prenez votre courage et votre responsabilité, car l’histoire vous interpellera un jour. Prendre sa responsabilité, c'est d'abord dire la vérité. C'est quoi la vérité dans ce dossier dont vous faites cas ? La vérité est qu’un leader politique, est traduit en justice par une jeune Sénégalaise de 20 ans, pour viol.L’histoire retiendra que vous êtes les intellectuels et universitaires qui ont choisi de contribuer à la bonne marche de la machine à manipulation d’une certaine opposition sénégalaise. Chers universitaires, contribuer à détériorer le capital image du Sénégal, ne devait pas venir de vous. Ce Sénégal qui vous a tout donné, occupe une bonne place dans les agences de notation du monde, grâce à sa stabilité et sa démocratie.Dans votre stratégie partisane de manipulation, vous avez opté de faire fi de ce qui est à l’origine de ce décompte macabre. Vous dites bien qu’ « à travers votre tribune », vous tenez « à alerter sur l'usage excessif de la force dans la répression du soulèvement populaire en cours ». Félicitations ! Toutefois, ayez le courage et l’honnêteté intellectuelle de dire la vérité à l’opinion nationale et internationale.A travers ma modeste tribune, je tiens à éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale que vous cherchiez à manipuler, en faisant fi des droits d’une pauvre Sénégalaise qui était utilisée comme « objet sexuel » dans un salon de massage ou salon de débauche.A travers votre tribune, vous avez décidé de ne pas entendre les appels à l’insurrection et incitation des jeunes à la violence de cet homme politique, dont les mots clés sont : « mortal Kombat, arrêter la politique des salons, donner votre sang, maintenant j’ai l’allumette que je cherchais pour mettre le feu au Sénégal, kou dé sa yaye diourat (chaque jeune qui tombe dans les manifestions, ta mère donnera naissance à un autre enfant), à chaque fois qu’il y a une victime, c’est la peur et la pression sur Macky Sall, Macky Sall me tue ou je le tue, attaquer les forces de défense et de sécurité », etc. Sans nul doute, vous me direz que vous n’avez rien entendu.Chers intellectuels, l’histoire retiendra que vous avez décidé de prendre position pour un leader politique, en faisant fi de tout ce que cette jeune génération attendait de vous : objectivité et impartialité.Nous ne reconnaissons plus le doyen Boris qui faisait naguère la fierté des jeunes reporters que nous étions. Quand j’arrivais au quotidien "Le Matin", au début des années 2000, vous veniez juste de quitter en laissant derrière vous, de beaux témoignages. Hélas !Honneur à la démocratie sénégalaise« ….d’une étape importante du saccage de nos acquis démocratiques » dont vous avez fait cas, nul doute que vous êtes aujourd’hui les porte-étendards à la solde de je ne sais qui, pour ternir l’image du pays qui vous a tout donné. Sachez que la démocratie sénégalaise avec ou sans vous, continuera de faire la fierté de l’Afrique et du Sénégal.Certes, elle est aujourd’hui dans une zone de turbulence, mais c’est cette démocratie qui a permis à Abdoulaye Wade d’arriver au pouvoir en 2000 face à Abdou Diouf, à Macky Sall en 2012, face à Abdoulaye Wade. C’est cette démocratie qui a permis à l’opposition de gagner en 2014 et en 2022 des villes comme Dakar la capitale, Thiès, Ziguinchor, Kaolack, etc. C’est cette même démocratie qui a permis à l’opposition sénégalaise d’obtenir 82 sièges au parlement, contre 83 pour le parti au pouvoir en 2022. Une première dans une démocratie africaine.3e candidature ou une stratégie de manipulationChers intellectuels, parler de 3e candidature alors que le Président Macky Sall ne s’est pas encore prononcé, relève d’une malhonnêteté intellectuelle sans précédent. Les 16 morts de 2023 et les 14 de mars 2021, sont à inscrire sur la liste du feuilleton judiciaire entre la jeune fille des iles du Saloum et ce « puissant » responsable politique. Ce dernier qui, jusqu’à l’heure où j’écris cette contribution, refuse de répondre à la justice de son pays qui l’a finalement jugé et condamné par contumace. Et vous refusez toujours de dire la vérité.Selon le trio partisan que vous êtes : « La nature socratique du verdict du procès d’Ousmane Sonko a fini par convaincre que ce n’était pas la manifestation de la vérité qui était visée, mais bel et bien l’élimination d’un opposant politique, dans la perspective des prochaines élections présidentielles. Elle pose surtout le problème de notre appareil judiciaire, dont la fragilité et la fébrilité sont apparues au grand jour. »Pour votre information, l’homme politique que vous venez de citer, est condamné pour délit de corruption de la jeunesse.C’est quoi la corruption de la jeunesse ? La corruption de la jeunesse est une infraction à la loi pénale prévue et punie par l’article 324, alinéa 2, du Code pénal qui dispose : « sera puni des peines prévues au présent article, quiconque aura attenté aux mœurs en exécutant, favorisant ou facilitant habituellement la débauche ou la corruption de la jeunesse de l’un ou l’autre sexe au-dessous de l’âge de vingt et un ans, ou, même occasionnellement des mineurs de seize ans ». La peine prévue sera selon l’alinéa 1 de l’article 324 du Code pénal, est de 2 à 5 ans et d’une amende de 300 000 à 4 000 000.Le rappel profite aux croyantsToujours d’après votre tribune : « Nous n’ignorions pas, après 1963, 1968, 1988, 1993, 2011 et 2021, que l’histoire politique du Sénégal charriait sa part obscure de violence. » Certes, vous avez donné des années référence de tensions politiques au Sénégal, toutefois permettez-moi de faire un bref rappel sur ces dates historiques, en y ajoutant 1994, 2004, 2013 et 2015.Chers intellectuels, le Saint Coran nous a appris que « le rappel profite aux croyants ».1963 : c’était le procès de Mamadadou Dia, président du Conseil du Sénégal qui est accusé de complot contre le Président Senghor en 1962. Arrêté, son procès est convoqué au début du mois de mai 1963 et a duré cinq jours ;1963 : c’est également l’événement du 3 décembre suite à la candidature unique du Président Léopold Sédar Senghor et de son parti, à la première élection législative du Sénégal indépendant. Une forte mobilisation populaire avec des milliers de manifestants, sera réprimée dans le sang avec 40 morts et 250 blessés à la Médina ;1968 : à l’instar de beaucoup de pays, le Sénégal a connu des mouvements de contestation, particulièrement à l’université de Dakar, suite à la protestation des étudiants contre la réduction des bourses, avec un premier appel de l'Union des étudiants sénégalais (UDES) lancé le 18 mars et le début d'une grève de protestation le 18 mai. Le 29 mai, la Police entre dans le temple du savoir, ce qui entraîne la mort d'un étudiant ainsi que 69 blessés dont 42 étudiants ;1988 : Le Sénégal a organisé une élection présidentielle avec quatre candidats en lice. Apres la proclamation des résultats, de violentes manifestions éclatent à Thiès et à Dakar. Me Abdoulaye fut arrêté le 29 février 1988. Son procès a eu lieu le 11 mai 1988, après avoir été reporté une première fois. Me Wade fut condamné à an avec sursis ;1993 : Me Babacar Sèye, vice-Président du Conseil Constitutionnel, est assassiné le samedi 15 sur la corniche ouest de Dakar, après les élections législatives du 09 mai 1993. Me Abdoulaye Wade et sa femme son inculpés le 1er octobre 1993. L’arrêt de la Chambre correctionnel de la Cour de Cassation du 6 septembre 1994, a prononcé le non-lieu en faveur de Abdoulaye Wade et ses codétenus. Tandis que Amadou Clédor Sène, Assane Diop et Papa Ibrahima Diakhaté, reconnus coupables, sont condamnés ;1994 : le 16 février, le mouvement moustalsidini wal moustalsidati organise une meeting de coalition avec le Président Wade. Un mot d’ordre a été donné pour marcher vers Palais de la République. Les conséquences étaient lourdes avec des saccages, pillages et la mort de 4 policiers ;2004 : Idrissa Seck, Premier ministre sera démis de ses fonctions en 2004, avant d’être convoqué le 15 juillet 2005 par la Division des investigations criminelles (DIC), dans l’affaire dite des chantiers de Thiès. Il est inculpé le 23 juillet 2005 pour « atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale », avant d’être déféré à Rebeuss, où il passera 199 jours. Il sort de prison le 7 février 2006 avec un non-lieu par la Commission d’instruction de la Haute Cour de justice ;2011 : un 23 juin de cette année, les forces vives de la nation sénégalaise se sont mobilisées pour dire non à un projet de lois appelé quart bloquant proposé par le Président Abdoulaye Wade ;2013 : Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade, est poursuivi par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Le 23 mars 2005, le verdict est tombé. Karim Wade écope d’une peine de six ans de prison ferme et d’une amende de 138 milliards de francs CFA ;2015 : Khalifa Ababacar Sall, maire socialiste de Dakar, est accusé d’avoir détourné 1,8 milliard de francs CFA (2,7 millions d’euros) de la régie d’avance de la municipalité de Dakar. Khalifa Sall sera finalement condamné à 5 ans de prison ferme et à une amende de 5 millions de francs CFA pour « faux et usage de faux » et « escroquerie portant sur des fonds publics » ;2021 : le député Ousmane Sonko est accusé de viol par Adji Sarr, une jeune masseuse du salon Sweet Beauté en février 2021 en pleine crise sanitaire de COVID-19. Jugé en mai 2023, il est condamné le 1er juin par contumace, à 2 ans de prison ferme pour corruption de jeunesse.Hors sujet…« Mais de toutes les convulsions qui ont agité l’histoire moderne de notre pays, celle qui se déroule sous nos yeux, nous semble être la plus simple à résoudre et, par ce fait même, la plus tragique en ses conséquences actuelles », là je suis d’accord avec vous. Malheureusement ce qui va suivre montre à suffisance que vous êtes hors sujet, si c’était un sujet de dissertation.Vous dites : « Il suffirait qu’un homme dise : Je renonce à briguer un troisième mandat qui déshonorerait ma parole d’homme, mon pays et sa Constitution, pour que la colère qui s’exprime dans les rues sénégalaises en ce moment même, sans disparaître tout à fait, s’atténue. Cet homme, c’est le président de la République. » Ah bon ! Ironie du sort. Je ne savais pas que le verdict qui était donné le 1er juin 2023 au temple de Timis portait sur un 3e mandat du président de la République. Pourtant, ni vous, ni moi n’ont pas encore entendu le Président Macky Sall dire qu’il briguera un 3e mandat.Vous voulez également « qu’il annonce que les articles L29, L30 et L57 du Code électoral seront révisés, que le parrainage sera aboli afin de rendre les élections inclusives et que tous les prisonniers politiques et d’opinion seront libérés pour que la tension baisse, et que la paix ait une chance de revenir. » Apparemment vous avez oublié de citer l’article L27 de la Constitution sénégalaise qui dit que : « La durée du mandat du Président de la République du Sénégal est de 5 ans. Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. » Pour votre information, son acte de naissance est signé le 5 avril 2016, après le référendum du mois de mars de la même année. De grâce, faites la différence entre la Constitution du Sénégal et les promesses ou engagements pris par un citoyen, fût-il Président de la République.Par ailleurs, vous revenez sur ce que vous appelez : « la vague de violence qui secoue le Sénégal depuis plusieurs jours ». Sans vous offenser, « cette vaque de violence » est le fruit de cette industrie de manipulation à laquelle vous contribuez de la plus belle des manières. Ces actes de vandalisme et de pillage mettent à nu les tares de la société sénégalaise à laquelle nous appartenons tous. Cette société qui est victime de certains de ses universitaires et intellectuels « encagoulés », responsables politiques, membre de la société civile, journalistes, religieux, influenceurs ou activistes, etc.Enfin je vous recommande le livre d’El hadj Ibrahima NDAO « SENEGAL, HISTOIRES DES CONQUETES DEMOCRATIQUES ». Selon ce brillant intellectuel, « le chemin parcouru par le Sénégal, depuis la colonisation jusqu’à nos jours, a été long, souvent difficile, mais toujours exigeant ».Permettez-moi enfin de m’incliner devant la mémoire de toutes les victimes de la manipulation des hommes politiques, entre 2021 et 2023.Par Talibouya AIDARA
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Association de mon q oui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pour le cas du Saccage de l'université l'état n'a pas puis prendre sa responsabilité quand Ousmane sonko a lancé un signal depuis Ziguinchor qu'il vient déloger le président de la République du palais l'état devait sécuriser les édifices publics même religieux je pense que la prochaine fois toutes les dispositions seront prises pour faire face . Le Pastef est parti terroriste retirer son récépissé traquer tous les membres de ce parti les mettre tous en prison pas de sentiments pour ça.
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Vous avez brûlé l'université au non de quoi maintenant il faut assumer les conséquences. Année blanche par la force.
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Juste signaler qu' il y'a des membres du PATS et DES PER qui ont perdu leurs voitures. Donc il va falloir que l ETAT dédommage Merci
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Quand j'entends dire que les agents de sécurité du COUD n'étaient pas armés je me demande comment ces responsables réfléchissent. Comment ne pas s'armer devant cette horde de sauvages bêtes et méchants qui ont des couteaux, des coupe coupe et des poignards...? Franchement quelle Naïveté!
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