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[ Video] Affaire députée Amy Ndiaye : "Certainement, les parents de Massata Samb et de Mamadou Niang ont failli" (Ndioro Ndiaye)

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Mme Ndioro Ndiaye, ancienne ministre

L'agression physique de la députée Amy Ndiaye au sein de l'Assemblée nationale, par deux de ses collègues  est un motif suffisant pour la ministre de la Femme, Fatou Diane Guèye, et des leaders de la lutte pour la cause féminine telles que Penda Mbow, Marie Angélique Savané, Ndioro Ndiaye, entre autres dames de fer,  de s'ériger en bouclier contre les violences que subissent les  femmes.
Le 5 décembre dernier, ces dames de différentes instances de décision se sont réunies pour soutenir toutes les femmes violentées et apporter des réponses sur les moyens de combattre ce fléau qui sévit le Sénégal.
"La violence physique, c'est l'extrême violence. On ne va plus l'accepter", clame la ministre  Fatou Diane Guèye qui dit ne tolérer aucune forme de violence physique, verbale ou  psychologique.
Dans la même veine, Ndioro Ndiaye  a manifesté son soutien à toutes les femmes victimes de violence, dont Amy Ndiaye Gniby. La femme politique de condamner l'attitude des deux députés agresseurs.
Selon l'ancienne ministre qui ramène tout à l'éducation de base, "les parents de ces garçons ont certainement failli" dans ce domaine.
Toutefois, Ndioro Ndiaye plaide pour que justice soit faite et que les bourreaux de la députée soient sanctionnés, car ils "ne méritent pas leur place à l'Assemblée nationale".
Auteur: Senewebnews
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Comments

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    Réponse il y a 2 ans

    Et Amy Ndiaye qui insulte à tout va et se querelle, qu'est-ce que ses parents ont failli? Bande d'hypocrites!

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    il y a 2 ans

    Drole de pays! nous passons notre temps sur des futilités. vivement la fin du regime macky sall

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    il y a 2 ans

    Parler des parents, probablement défunts, de personnes adultes c'est déplacé voir pas bien élevé

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    Aneximen il y a 2 ans

    Failli en quoi? C'est toi la framançonne qui a failli ta vie n'a aucun sens. Avant hier tu présidais un remcontre avec Adji Sarr comme guest star. Tu talonnes tes 80ans où sont des camarades Maïmouna KANE, Mame Bassine Niang, Caroline Faye etc... toutes au cimetière. À ton âge, tu devrais te préoccuper du jour oú tu seras dans ton trou. Billahi so xamone lilaye xarr do tal djitté ay yeuffou niak fayda yi.  Pitié waay

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    reply_author il y a 2 ans

    Il faut mettre ces deux députés en prison pour 10 ans!!!!

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    Victime il y a 2 ans

    Et Amy Ndiaye qui insulte à tout va et se querelle, est-ce que ses parents ont failli aussi?

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    Boomerang il y a 2 ans

    Ne t'inquiètes pas frère, Ndioro Ndiaye avec sa tête nue et sa tignasse exposée au vent pour une femme âgée elle est en train de parler de ses propres parents à elle ! 

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    il y a 2 ans

    Vous nous emmerdez avec cette dame il y a des femmes qui subissent pur que ça vous n avez jamais levé un doigt cette dame qui n a aucun savoir vivre sort des conneries pour attaquer quelqu un qui n est même pas présent on la donne une leçon on dirait c'est la fin du monde vous étiez où lorsqu'un député est allé donné un coup de pied à une collègue africaine en dehors de nos frontières.

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    reply_author il y a 2 ans

    En tant que lesbienne mécréante ,tes parents ont aussi failli. 

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    il y a 2 ans

    La franc maçonnerie l'a fait ressembler à une maman chienne elle ne lui reste qu'une museliaire avec harnais

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    reply_author il y a 2 ans

    En tant que lesbienne mécréante ,tes parents ont aussi failli. 

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    reply_author il y a 2 ans

    En tant que lesbienne mécréante ,tes parents ont aussi failli. 

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    il y a 2 ans

    Madame , 1 peu de retenue svp 

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    il y a 2 ans

    Encore une femme qi insulte de mère un homme en insultant une femme comme elle mais elle dit lutter contre la violence faite aux femmes. 

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    il y a 2 ans

    Et les parents des insulteurs?

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    il y a 2 ans

    Quand on nait dans un pays à majorité croyant et qu'on devienne franc-maçon, ça aussi c'est parce que des parents ont failli qelque part.

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    Kor Yandé il y a 2 ans

    Ndioro mou rafete car machallah Li nga wakh saaga la Amy mi done saaga thi birr assemblée bi nak môme daal tout correct 

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    Seck il y a 2 ans

    Yaw aussi Mme NDioro Ndiaye toi aussi tes parents ont failli car si ce c'était pas le cas tu ne serais pas endoctriné par les sectes sataniques aux quelles tu as vendu ta dignité qui restait en toi... Tu es une franc-maçonne et tout le monde le sais ici à Ngor.

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    tass il y a 2 ans

    ces domerame de feminisme nous en merde

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    tass il y a 2 ans

    ces domerame de feminisme nous en merde

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    il y a 2 ans

    Ndiora Ndiaye tu insultes. Laisses les parents. Plus elles intellectuelles,  plus elles sont bornées. Tous les corps et esprits sont sensibles, hommes et femmes même chose. Yaram boom alle mou yeug ok    

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    il y a 2 ans

    Ndiora Ndiaye tu insultes.  Laisses les parents.

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    reply_autho il y a 2 ans

    Ndioro Ndiaye parle de ses propres parents à elle 

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    il y a 2 ans

    S'il faut choisir entre Amy Ndiaye Gnibi et Ndioro NDIAYE à l'assemblée je choisis la première. 

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    Guilé De Ndangalma il y a 2 ans

    Mme Diaye, tu aurais dû te limiter à condamner avec la plus grande vigueur l'acte de ces 2 députés, interpeler la juste comme tu l'as fait et t'en limiter là. En parlant en mal de leurs parents que tu ne connais pas tu n'es pas meilleure que ces 2 guignols.

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    reply_author il y a 2 ans

    Melnii travesti 

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    reply_author il y a 2 ans

    Aah Ndioro, toi aussi, une bonne gifle t'aurait remis les idèes en place,

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    Boulaye Cissé il y a 2 ans

    Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige. Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette. Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle ! Les prémisses ?    - le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1) - le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2) - la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3) - son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4) - l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5) - les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6) - la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7) - et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins. Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8) Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora) L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ? Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY. Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle. Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ». Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait ! Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique ! Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique. Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012. Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall. Cherchez l’erreur ! N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire. Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe. Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ? Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ? Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines. Combien d’autres ? S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment. Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”. C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps. À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine. Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique ! L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali… Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup ! À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays. (A suivre) Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.

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    il y a 2 ans

    elle a trop raison ndioro! ces fanatisés du dahira moustachidine on raté leur education. c est trop clair!

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    Apha il y a 2 ans

    du n'importe quoi voilà le comportement de la femme qu'est ce que les parents de ces députés ont à faire avec ça tu ne connais pas leur parents et tu les attaques comme ça de la pure lâchete conseille à tes soeurs puisque de nos jours de plus en plus la femme se dévalorise elle même j'aime pas perdre mon temps à commenter mes tes propos sont grossiers, incorects

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    reply_author il y a 2 ans

    Parler des parents d'autrui  c'est exposer ses propres parents surtout venant d'une personne de votre âge et statut 

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    sataniste il y a 2 ans

    celle là etait ministre de la femme de DIOUF années 90. elle est meconnaissable de nos jours comme un baboing travestie. il parait quec'est une chef dans la francmaconnerie. la nouvelle tata d'adji sarr

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    il y a 2 ans

    MAIS femme bi mo rewwww ndey amm elle ose insulter mes parents comme ça! une franc-maçon qui n connait meme pas la fatahi s permet d nous parler ainsi

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    il y a 2 ans

    Madame la Ministre,  On ne nous apprend pas cela dans les ateliers. 

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    il y a 2 ans

    Vieille dame ferme ta bouche tu n'es ni oulof ni toubab niack fayda wessouwoul tu te laisses entrainer par fatou diane pour soutenir une menteuse du nom de adja sarr de ce fait toutes les femmes rassemblées a la place du souvenir africain ont fui en voyant adjasarr malgré l'argent distribué par fatou diane,  ndioro les sénégalais ne t'ont pas connu dans des bassesses tu a été professeur à l'université tu ferais mieux de rester dans les débats d'idées mais pas dans le folklore 

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    il y a 2 ans

    Vieille dame ferme ta bouche tu n'es ni oulof ni toubab niack fayda wessouwoul tu te laisses entrainer par fatou diane pour soutenir une menteuse du nom de adja sarr de ce fait toutes les femmes rassemblées a la place du souvenir africain ont fui en voyant adjasarr malgré l'argent distribué par fatou diane,  ndioro les sénégalais ne t'ont pas connu dans des bassesses tu a été professeur à l'université tu ferais mieux de rester dans les débats d'idées mais pas dans le folklore 

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    il y a 2 ans

    Vieille dame ferme ta bouche tu n'es ni oulof ni toubab niack fayda wessouwoul tu te laisses entrainer par fatou diane pour soutenir une menteuse du nom de adja sarr de ce fait toutes les femmes rassemblées a la place du souvenir africain ont fui en voyant adjasarr malgré l'argent distribué par fatou diane,  ndioro les sénégalais ne t'ont pas connu dans des bassesses tu a été professeur à l'université tu ferais mieux de rester dans les débats d'idées mais pas dans le folklore 

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    il y a 2 ans

    Vieille dame ferme ta bouche tu n'es ni oulof ni toubab niack fayda wessouwoul tu te laisses entrainer par fatou diane pour soutenir une menteuse du nom de adja sarr de ce fait toutes les femmes rassemblées a la place du souvenir africain ont fui en voyant adjasarr malgré l'argent distribué par fatou diane,  ndioro les sénégalais ne t'ont pas connu dans des bassesses tu a été professeur à l'université tu ferais mieux de rester dans les débats d'idées mais pas dans le folklore 

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    il y a 2 ans

    Tu es qui old Madame pour t'en prendre aux parents de effectivement ces deux couillons de députés ? Sans absoudre l'impolitesse de cette Dame ainsi que toutes ces catégories de femmes cabarets show investies par Benno, buzzueuses chaque jour en Mal. Est ce tous les parents doivent payer pour les écarts malheureux de leurs mauvais garçons, y compris ceux du régime relayés dans les médias ????

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    DIOP il y a 2 ans

    ndiora ndiaye s'il existe quelqu'un à qui ses parents ont falli, c'est bien toi qui as vendu ton âme au diable. Si tes parents étaient vraiment responsables, non seulement tu ne fera jamais ce jugement de valeur ou de d'insulter des honnêtes Hommes que tu ne connais ni d'adam et d'Eve. Les parents de Massata Samb et de Amadou Niang ne veulent mes pas avoir tes parents commes esclaves. Au moins eux ils ont endoctriné leur Enfants sur le Chemein de la Droiture et du Salut. A l'instar de tes parents, toi aussi tu as failli c'est pourquoi ta fille S.F Ndiaye est l'une plus grande lesbienne de Dakar et toi meme tu le sais. Si tu n'es pas clean, il faut se taire pour se faire respecter ici c'est bled, on se connait  Fait gaffe  

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    reply_author il y a 2 ans

    @13H31 Non seulement tu es un ignorant, mais que tu es certainement très bête en tout ! Qui t a enseigné que être franmaçon est incompatible avec le fait d être musulman ou catholique ou prostestant ou agnostique etc ? Vous êtes pathétique et vous avez été instruit et éduqué à perte !

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    reply_author il y a 2 ans

    De toutes façons, Ndioro NDIAYE n'est pas la femme sénégalaise que nous voulons avoir comme mère, sœur ou épouse. C'est une Toubab à 100% qui défend ardemment la question genre avec toute ce qui entoure ce concept. Nous connaissons Ndioro depuis 1983. Nous connaissons aussi sa famille. Nous nous garderons de parler de sa vie privée.

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    reply_author il y a 2 ans

    De toutes façons, Ndioro NDIAYE n'est pas la femme sénégalaise que nous voulons avoir comme mère, sœur ou épouse. C'est une Toubab à 100% qui défend ardemment la question genre avec toute ce qui entoure ce concept. Nous connaissons Ndioro depuis 1983. Nous connaissons aussi sa famille. Nous nous garderons de parler de sa vie privée.

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    reply_author il y a 2 ans

    De toutes façons, Ndioro NDIAYE n'est pas la femme sénégalaise que nous voulons avoir comme mère, sœur ou épouse. C'est une Toubab à 100% qui défend ardemment la question genre avec toute ce qui entoure ce concept. Nous connaissons Ndioro depuis 1983. Nous connaissons aussi sa famille. Nous nous garderons de parler de sa vie privée.

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    LE PROFIL DU VIOLEUR il y a 2 ans

    Le profil du violeur et ses caractéristiques Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants. 1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail. 2. Le pouvoir, pas le sexe Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché. 3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter. Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. . 4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence. Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle . 5. Peu de capacité d'empathie  l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation. 6. Aucune anticipation des conséquences Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres. 7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille. Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte. 8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres. 9. Il ne s'agit pas de malades mentaux Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font. 10. Ils sont pour la plupart totalement imputables Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables . 11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte . 12. Blâmer la victime Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation  

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    TIEYSENEGAL il y a 2 ans

    elle a raison. il faut que les familles eduquent bien. lima diakhal kagne moye sa perruque SALT and Pepper pour une femme de son age. mais bon , sa mama fut une Chretienne.. Ndiango donc elle peut faire louko nekh

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    Boulaye Cissé il y a 2 ans

    Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige. Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette. Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle ! Les prémisses ?    - le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1) - le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2) - la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3) - son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4) - l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5) - les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6) - la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7) - et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins. Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8) Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora) L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ? Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY. Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle. Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ». Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait ! Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique ! Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique. Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012. Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall. Cherchez l’erreur ! N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire. Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe. Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ? Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ? Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines. Combien d’autres ? S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment. Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”. C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps. À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine. Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique ! L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali… Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup ! À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays. (A suivre) Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.

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    reply_author il y a 2 ans

    Et ces faux cheveux à son age , mouye melni kankourang!!!!!! Comme bal masqué

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    Diodio il y a 2 ans

    Vous insulter verbalement les gens après kou mbéthie séne mame ngène victimiséwou. Je suis contre toute forme de violence physique à l'égard de tout humain. Mais cette violence verbale sous couvert d'une quelconque odéologie féministe ou impolitesse doit cesser. 

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    Mor il y a 2 ans

    Insulte gratuite contre des personnes peut-être défuntes qui n'ont rin demandé. C'est tout simplment de la Violence et du Terrorisme verbal comme on en a à foison dans ce pays. Les graines de la division ont bien germé au Sénégal et il ne reste plus certainement que le glas sonne. ALLAH nous préserve de sombres lendemains connus ailleurs.

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    il y a 2 ans

    B­­­o­­­n­j­­­o­­u­­­r, j­­e m'a­­p­p­­­e­lle Alissia, j'ai 21 ans) Dé­­bu­t du mo­­dèle S­E­­X­­E 18+) J'a­­ime êt­­re photo­grap­hiée n­­­u­­e) Veuil­­lez noter me­­­s phot­­os à l'adr­esse su­­iva­­­nte - W­­W­­­W­­.­­X­­­2­1.­­F­­U­N

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    il y a 2 ans

    B­­o­­­n­­­j­­o­u­­­r, j­­­e m'a­­p­p­­­e­­lle Alisia, j'ai 21 a­ns) Dé­bu­­­t du mo­dè­le S­­­E­­X­E 18+) J'a­­­ime êt­re pho­­to­­grap­­­hi­ée n­­­u­­­e) V­­e­­­u­i­l­lez no­­­ter me­­­s phot­os à l'adr­­esse su­i­­­va­­­nte >>> W­W­W­.­­­X­­2­1.­­­F­­­U­­N id03873261

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    il y a 2 ans

    B­o­n­­j­­o­­u­r, j­e m'a­­p­­p­­e­lle Alisa, j'ai 21 a­ns) Dé­bu­­t du mo­­dè­­le S­E­X­­­E 18+) J'a­­ime êt­­re pho­­to­grap­­­hi­ée n­­u­­e) V­e­­u­i­­­l­­­lez no­­ter me­­­s phot­os à l'adr­­­esse su­­­i­­va­nte >>> W­W­W­­.­X­2­­1.­F­­U­N id07020300

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