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Conseil des ministres : Le budget 2025 adopté

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Sans surprise, après l'installation, hier lundi, des députés de la 15e Législature, le projet de loi de Finances initiale pour l'année 2025 a été adopté, ce mardi, en Conseil des ministres. C'est ce qui relève du communiqué dudit Conseil. 
La même source relève en même temps que le projet de loi de finances rectificative pour l'année en cours est également approuvé. 
Le document devrait être incessamment remis à la nouvelle Assemblée, avec à sa tête le désormais ex-ministre El Malick Ndiaye, pour approbation en vue d'assurer le bon fonctionnement des affaires publiques. A combien est arrêté le budget ? Les Sénégalais seront édifiés les prochains jours. 
Pour rappel, le parti au pouvoir, Pastef, détient une majorité très confortable au Parlement avec 130 sièges, en sus d'occuper tous les postes du bureau. 
Auteur: Aminata SARR
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Comments

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    Ndankarou il y a 4 mois

    Excellente nouvelle. Vote en mode very fast track par l'assemblée nationale. Ndam mii kheigne à partir de Janvier 2025. Mes meilleures vœux par anticipation. Attoumm nataguer.

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    Ndankarou il y a 4 mois

    Excellente nouvelle. Vote en mode very fast track par l'assemblée nationale. Ndam mii kheigne à partir de Janvier 2025. Mes meilleures vœux par anticipation. Attoumm nataguer.

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    il y a 4 mois

    Un pays en état de délabrement avancé ne pourra jamais combler son budget normal , un populisme de plus au moment où les extrémistes du pouvoir traitent les partenaires occidentaux tous les noms d oiseau . La solution des jeunes reste la pirogue en attendant les menteurs et grieux du pouvoir partagent les gâteaux

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    il y a 4 mois

    Un pays en état de délabrement avancé ne pourra jamais combler son budget normal , un populisme de plus au moment où les extrémistes du pouvoir traitent les partenaires occidentaux tous les noms d oiseau . La solution des jeunes reste la pirogue en attendant les menteurs et grieux du pouvoir partagent les gâteaux

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    Fodé il y a 4 mois

    Moi je prône la vengeance contre ces malfrats perroquets qui ont détruit cette nation pendant 24 bonnes années. Faut voter le budget rapidement, Installer la Haute cour de justice Juger ces criminels Les envoyer en prison Les déposséder

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    reply_author il y a 4 mois

    Ndakh niou kham borom mille milliards, il y en a minimum 2 personnes car Ousmane Sonko a parlé au pluriel. Thiow li Thiow li leggi mou leer.

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    reply_author il y a 4 mois

    tout est bien qui finit bien, n'oubliez jamais que macky voulait organiser les présidentielles ce mois de décembre ci, n'eut été l'intervention du conseil constitutionnel nous serions toujours dans la merde au moment où je vous parle, franchement le seigneur a sauvé le sénégal de ces minables

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    il y a 4 mois

    Le budget est adopté en conseil des ministres et on ne nous dit pas les grands agrégats arrêtés. Okay

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    reply_author il y a 4 mois

    Tu vas pourrir dans la misère car personne ne sera en prison sauf quelques malheureux, chargés parfois à tort.

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    il y a 4 mois

    J'espère que le budget sera à 10 000 milliards pour suivre l'évolution de 2024. Sinon serait un recul pat rapport dramatique par rapport à l'ancienne équipe remplacer. Je crois que la Côte d'Ivoire sera à 15 000 milliards pour 2025. Wait end See

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    il y a 4 mois

    Un budget ce n’est que des chiffres. La question fondamentale est : Où ces incapables vont trouver cet argent pour boucler le budget ?

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    reply_author il y a 4 mois

    Comment vas-tu financer le déficit ? Avec tes dents ? Tu oublies que le Sénégal empruntes à un taux le plus élevé dans la région ?

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    agent Municipal il y a 4 mois

    Monsieur Le Président de la République du Sénégal, Son excellence monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Je tenais, en tant que Citoyen LAMNDA, à vous faire part d’une situation qui me parait être d’une importance capitale pour bon nombres de nos concitoyens désireux de jouer leur partition dans la bonne marche des affaires publiques. L'égalité, en général, est une valeur fondamentale d’une démocratie. Nous avons construit notre société sur l'égalité entre tous les individus. Ce principe fondamental, l’Etat doit y veiller dans la vie de tous les jours. Le préambule de la Constitution du Sénégal proclame, en effet, l'égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux. Et aux termes de son article 1er: « La République du Sénégal est une démocratie politique, économique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens, sans discrimination d'origine, de race, de sexe, de religion ». Le principe a été proclamé pour la première fois par l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 aux termes duquel « tous les citoyens étant égaux, aux yeux de la loi, sont également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics selon leur capacité, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents ». L’on observe aussi que la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 prévoit en son article 21 alinéa 2 que : « toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Cette proclamation du principe coïncide avec l’apparition dans le monde, de l’idéal démocratique et de l’essor du principe d’égalité, ainsi les distinctions sociales ne devraient être fondées que sur l'utilité commune. Aussi, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples du 27 juin 1981 consacre le principe en déclarant « tous les citoyens ont également le droit d’accéder aux fonctions publiques de leurs pays ». Ainsi, la Constitution sénégalaise du 07 janvier 2001, affirme dans son préambule l’adhésion du peuple sénégalais à ces instruments internationaux qui sont ainsi intégrés dans le bloc de constitutionalité. Le principe d’égale admissibilité aux emplois publics a une valeur constitutionnelle. Le préambule de la Constitution proclame, en effet, l’égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux. Sa mise en œuvre s’inscrit dans la perspective d’un renforcement des garanties aussi bien du respect de conditions statutaires que de l’interdiction de toute forme de discrimination. A côté des dispositions du bloc de constitutionalité consacrant le principe d’égale admissibilité aux emplois publics, d’autres dispositions infra constitutionnelles, notamment des conventions internationales ratifiées par le Sénégal et des textes législatifs, en garantissent l’application. Le Sénégal a en effet ratifié, par la loi n°64-13 du 24 janvier 1964, la Convention n°111 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) du 25 juin 1958, relative à la non-discrimination en matière d’emploi et de profession. Cette convention engage les Etats parties à formuler et à appliquer une politique nationale visant à promouvoir l’égalité de chances et de traitement en matière d’emploi et de profession. De même, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 19 décembre 1966, ratifié par notre pays le 13 février 1978, prévoit « tout citoyen a le droit d’accéder, sans aucune discrimination, dans des conditions générales d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Au Sénégal, l’article 8 de la loi n°61-33 du 15 juin 1961 relative au statut général des fonctionnaires interdit toutes discriminations…, pour son application. Plusieurs autres textes, notamment les statuts spéciaux régissant certains corps de fonctionnaires (magistrature, douane, police, gendarmerie, armée, les eaux et forêts…) ainsi que la loi d’orientation de l’éducation nationale n° 91-22 du 30 janvier 1991, prévoient le principe d’égale admissibilité aux emplois publics. Cette abondante source législative qui consacre le principe d’égale admissibilité aux emplois publics est la preuve de l’importance que le législateur sénégalais attache au respect de ce principe pour l’accès à la fonction publique. Cependant, malgré tout ce qui précède, il est totalement paradoxal de constater qu’il y’a une catégories d’agents de l’Etat qui sont exclus du système (si je peux m’exprimer ainsi), il s’agit entre autre des agents de l’Etat membres des Collectivités territoriales, des agents des forces armées et des agents qui sont dans le secteur parapublic. Le prétexte de cette contribution est sans conteste : L’INTERDICTION A CES AGENTS DE FAIRE LE CONCOURS PROFESSIONNEL DE L’ENA AU MEME TITRE QUE LEUR COLLEGUE DE L’ETAT CENTRAL. Nul ne peut contester aujourd'hui que la situation de ces agents est regrettable car très déséquilibrée par rapport à leurs collègues de l’Etat central. Face à ce constat, j’attire l’attention des autorités à plus d’engagement en faveur de l'égalité entre agents à tous les niveaux. Le contexte économique et politique actuel l'exige plus que jamais. L’interdiction à ces agents de pouvoir faire les concours professionnels de l’administration est anticonstitutionnelle, illégale, inopportune et insensée. Cette interdiction est non seulement préjudiciable pour les agents eux même car les met dans une situation de démotivation extrême du manque de perspective de carrière mais elle l’est d’autant pour l’Etat qui court le risque de perdre de bon profils qui pouvaient participer à la redynamisation et à la modernisation de l’administration. Il faut oser le dire, les profils dans ces secteurs ont largement évolué, la jeune génération est dotée de capacités intellectuelles et managériales avérées et ces compétences devraient pouvoir leur permettre de concourir à tous les niveaux. Ce que je considère comme une disposition archaïque, à défaut de tomber en désuétude doit tout simplement être retirée du décret pour réparation légitime. D’ailleurs cela ne serait pas une première, déjà en 2015 par décret n°2015-388 du 20 mars 2015 abrogeant et remplaçant l’article 45 du décret 2011-1704 portant création de l’Ecole nationale d’Administration (ENA), l’administration a modifié une disposition qu’elle jugeait préjudiciable pour certains. Et dans l’exposé des motifs dudit décret on peut lire : « A l’évidence, ce critère qui exclut une partie très importante des bacheliers du fait de l’année d’obtention du diplôme, manque de pertinence et constitue une mesure discriminatoire introduite récemment ». Ou encore : « Il convient donc de reconsidérer cette situation qui prive certains jeunes candidats, remplissant tous les critères exigés pour l’entrée dans la Fonction publique, d’un de leurs droits fondamentaux. ». Votre Excellence, permettez-moi de vous rappeler que les agents municipaux, des forces armées et du secteur parapublic sont en train de vivre cette même mesure discriminatoire. Pour rappel, l’article 48 du Décret n° 2011-1704 du 6 octobre 2011 portant création de l'Ecole nationale d'Administration (ENA) et fixant ses règles d'organisation et de fonctionnement dispose : « Les concours professionnels du cycle A sont ouverts aux agents de l’Etat âgés de 53 ans au plus à la date d’ouverture du concours sans préjudice de la condition d’âge prévue par le décret n 0 69-179 du 18 février 1969, modifié et avoir, ès qualité, au moins cinq années de services effectifs dans les hiérarchies considérées au moment de leur candidature. Ils ne peuvent se présenter aux concours professionnels qu’avec l’autorisation de l’autorité compétente. L’admission, en formation initiale, des agents de l’Etat membres des Forces armées, les agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie B par le Ministère chargé de la Fonction publique, est établie sur la base d’un accord spécifique avec l’ENA, approuvé par le Conseil d’Administration, après avis du Conseil d’Orientation scientifique et scientifique de l’établissement. Les intéressés sont sélectionnés par une commission interne mise en place par décision du Directeur général de l’ENA, après examen de leur dossier transmis par l’employeur ou par l’autorité compétente. Cette dernière formule une demande expresse assortie d’un engagement à réintégrer et à reclasser ses agents en cas de succès au terme de leur formation. » Une admission en formation initiale, qui n’est d’ailleurs toujours pas effective, allant même jusqu’à la comparer à celle des auditeurs étrangers, est l’unique alternative réservée à ces agents de l’Etat. Cette mesure injuste manque profondément de pertinence avant d’être hautement discriminatoire. Dans un tel projet, la dénomination d’agent de l’Etat telle qu’utilisé dans l’article 48 in fine devrait faire référence il n’y avait pas à distinguer car s’agissant d’une disposition d’ordre public et d’autant plus que l’alinéa 1er du même l’article dispose en premier lieu que : Les concours professionnels du cycle A (et B) sont ouverts : - aux agents de l’Etat et des collectivités locales appartenant à la hiérarchie B au moins ; - aux agents de l’Etat membres des Forces armées, titulaires d’un diplôme classé au moins à la hiérarchie B par le ministre chargé de la Fonction publique ; - aux agents du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie par le ministre chargé de la Fonction publique. Votre Excellence, Je voudrais pour terminer avec les dispositions légales rappeler un extrait du rapport de présentation du Décret n°2018-1907 du 09 octobre 2018 portant modifiant de l’article 45 du décret 2011-1704 du 06 Octobre 2011 qui dit : « Au cours de son évolution, l’Ecole nationale d’Administration (ENA) du Sénégal a connu plusieurs réformes dont celle de 2011 qui a érigé l’ENA en établissement public à caractère administratif. Avec le décret 2011-1704 portant création de l’ENA et fixant ses règles d’organisation et de fonctionnement, les critères pour l’accès au concours de même que les épreuves ont été modifiés. S’agissant des critères à remplir, outre les agents de l’Etat, le concours professionnel est désormais ouvert aux agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic qui sont confondus dans le même quota de recrutement. » Si la motivation ultime de toute législation est de satisfaire les besoins et les nécessités du moment tout en préservant les aspirations des générations futures alors le décret de 2011, qui a ouvert le concours aux agents municipaux, des forces armées et des agents du secteur parapublic en modifiant le décret d’origine n°92-1614 du 20 novembre 1992 portant organisation et fonctionnement de l’Ecole nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM), doit à son tour être révisé pour parachever l’intention du législateur. Il faut aller jusqu’au bout de la logique et permettre à ces catégories d’agents de faire les concours professionnels comme le ferait n’importe quel autre agent de l’Etat. Sachant que Réformer un tel décret n’engage aucune dépense à gérer, monsieur le Président de la République, je vous prie de bien vouloir prendre en considération cette requête pour une éventuelle révision du décret portant création de l’ENA. Même s’il sera statiquement difficile de faire de tous ces travailleurs des agents de l'État à part entière (ce n’est d’ailleurs pas le but de l'exercice), il ne faut pas non plus en faire des agents de l'État entièrement à part. Bien sûr cette attente ne doit nullement cacher les nombreux efforts faits pour assurer l’effectivité du principe d’égal accès aux emplois publics. La volonté politique affirmée, dans ce cadre, et les nombreux textes de lois adoptés en la matière sont à saluer. Il est souhaitable que les avancées significatives ainsi obtenues soient maintenues et renforcées. Pour précision, cette demande n’est, en aucun cas, en contradiction avec la politique de décentralisation initié par l’Etat du Sénégal. Mais les évolutions actuelles et à venir appellent nécessairement à reconsidérer l’approche en matière de management public initiée dans les grandes écoles d’administration car la gestion publique actuelle requière de plus en plus de nouvelles compétences, pour une meilleure prise en charge des enjeux du moment. Et la nouvelle approche doit débuter par forger une excellente réputation de l’administration centrale et territoriale en ratissant large lors des périodes de concours. C’est ce qui est normal et c’est qui est juste en vertus du JUBB JUBBAL ET JUBBANTI. J'ai voulu renforcer la sensibilisation du public Sénégalais à cette situation et apporter ma modeste contribution sur une question centrale tout en espérant attirer au moins ne serait-ce que l’attention des autorités compétentes. Telle est l’économie du présent article. En vous remerciant à l’avance, Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute et respectueuse considération. AMPLIATIONS : Monsieur le Premier Ministre de la République du Sénégal Ousmane SONKO ; Monsieur le Ministre des Collectivités Territoriales du Sénégal ; Monsieur le Ministre de la Fonction Publique ; Monsieur le Directeur général de l’Ecole Nationale d’Administration ; Mesdames et Messieurs les Députés de la 15eme législature ; Mesdames et Messieurs les élus locaux ; UN AGENT MUNICIPAL SOUCIEUX DES NORMES

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