En réunion hebdomadaire, ce mercredi 16 octobre, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a demandé au Premier ministre de vulgariser le référentiel «Sénégal 2050: Agenda National de Transformation» auprès de toutes les forces vives de la Nation et des populations en vue de l’appropriation collective et de l’implémentation participative rapide du master plan, défini sur dix ans, avec une phase d’amorçage quinquennale à partir de 2025.
«Au regard des urgences de redressement de la situation économique, le Chef de l’État a demandé au Gouvernement, sur la base de l’audit des finances publiques effectué, de poursuivre les efforts d’assainissement du train de vie de l’État ainsi que la consolidation budgétaire engagée afin d’améliorer significativement les marges de manœuvre des pouvoirs publics », a mentionné le porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Njekk Sarré.
Il signale : « Face aux enjeux et défis signalés, le Chef de l’État a rappelé au Premier ministre l’importance primordiale de la finalisation, en relation avec toutes les parties prenantes impliquées, du projet de loi sur la souveraineté économique et de la doctrine de financement de l’économie nationale.
Le Président de la République a relevé, renseigne-t-il, la priorité qu’il accorde à la maîtrise du secteur extractif, de l’agriculture et du numérique. De ce fait, il a appelé à la relance du secteur spécial du tourisme pour lequel notre pays détient des avantages comparatifs notables.
Dans cette perspective de promotion d’une économie endogène et ouverte au reste du monde, Bassirou Diomaye Faye a souligné l’importance d’asseoir une politique portuaire et maritime innovante, qui soutient la modernisation et la compétitivité indispensable des ports publics, notamment le Port autonome de Dakar.
Auteur: AWA FAYE
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Souveraineté, ce mot même maintenant pleure au Sénégal
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Finalement, il veut quoi quoi : la souveraineté alimentaire pour 2050, une réflexion sur le crédit, sur la crue du fleuve Sénéngal comme un enfant de 6 qu'on emmène au marché et qui chaque fois qu'il dépasse un étal dit "dama beugé beignet, dama beugué akara, dama beugue mango, dama beugue jouet, dama ballon, dama beugue égar (billes)". En fait, il n'y pas véritablement de cap et la document de politique Sénégal 2050, payé pour 2 milliards est un ensemble de voeux pieux tandis que le Projet et le livre Solutions étaient juste un miroir aux alouettes.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il faut : - interdire LA SOUS-TRAITANCE ENTRE SOCIÉTÉS ÉTRANGÈRES : réserver exclusivement la sous-traitance aux entrepreneurs sénégalais, - Pour les marchés publics, attribuer au moins les 50% aux ENTREPRISES LOCALES, - financer les professionnels expérimentés pour la mise en place de PME performantes, - etc. AC, ingénieur GC
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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