À chaque mise en place d’un nouvel attelage, le Président Macky Sall fixe, à l’attention surtout des entrants, le cadre et les règles de fonctionnement du gouvernement. Celui monté le 8 mars ne fait pas exception. «La nouvelle équipe autour du nouveau Premier ministre, Me Sidiki Kaba, a reçu hier [mercredi] sa leçon inaugurale pour son premier Conseil des ministres», rapporte Le Témoin de ce jeudi.À la baguette, naturellement, le chef de l’État. Au menu, après les félicitations et les encouragements aux nouvelles têtes, certains principes qui doivent guider l’action gouvernementale. «Macky Sall a rappelé aux ministres l’importance institutionnelle du gouvernement, son rôle prépondérant dans la mise en œuvre de la politique de la Nation qu’il a déterminée», détaille le journal.Le Témoin de poursuivre : «En outre, le chef de l’État a rappelé aux ministres le caractère collégial et solidaire de l’institution gouvernementale avant de les inviter à cultiver, à chaque instant, les valeurs de la République, dont la loyauté reste le fondement.»
Auteur: Seneweb News
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Commence d'abord par respecter les institutions toi même avant de s'ériger en conseiller !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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La seule leçon c'est qu'ils ont juste 1 mois pour boucler les dossiers et nettoyer les bureaux afin que leurs remplaçants trouvent la place nette : et pas la peine de laisser du mystique car les arrivants seront "blindés" !!
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Macky Sall ne peut faire une leçon utile à personne. Il sort forcé par un petit trou
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On lui a demande d’organiser l’élection et de rendre le pouvoir mais, lui, ne veut pas de ça ! Il annule l’élection, tue 4 personne puis, il se fait plaisir en nommant un nouveau gouvernement et fait la leçon alors qu’il devrait libérer le pays après avoir tout raté en 12 ans de pouvoir ! Kou wakh ni nék nit kou nioul nékh na wala sééd na wakho deugue ! Être noir, c’est un danger et une colère permanents de la part d’autres noirs qui te mettent en danger et font de la vie des autres noirs et celle de la génération future un enfer sur terre. Encore un jeune Sénégalais tué par la police française hier. Il était ni délinquant ni vendeur de drogue, juste un simple migrant parce que son pays est pillé par le système de pillage Françafrique, en complicité d'autres noirs et que ceux qui voulaient changer le pays et libérer les noirs sont envoyés en prison pour leur politique trop avantageux pour le Sénégal qui pourrait mettre fin au néocolonialisme ! Mais soyez sûrs que nous voteront SONKO et Diomaye !
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Et pourtant sa coalition remportera ces élections haut la main et sans ambiguïté.
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Garde tes lecons pour toi meme et tes doungourous. Un vrai leaders n'en a pas besoins.
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Macky bakhneu,ON A TROP SOUFFERT,demal rek.
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Le président sénégalais, Macky Sall, a demandé à son gouvernement d’appliquer aussitôt après qu’elle aura été promulguée une récente loi d’amnistie susceptible de bénéficier à l’un des principaux candidats à l’élection présidentielle du 24 mars, emprisonné, selon un communiqué diffusé mercredi 13 mars au soir. La promulgation est attendue tout prochainement. Aucune information officielle n’a été fournie quant au moment de sa publication. Depuis l’adoption de cette loi, la semaine passée, Bassirou Diomaye Faye, candidat antisystème à la présidentielle, et son chef, Ousmane Sonko, également détenu, en sont présentés comme les principaux bénéficiaires potentiels. L’incertitude demeure quant au fait qu’ils entreraient dans le champ d’application de la loi, mais les informations non confirmées abondent sur une libération qui pourrait influer fortement sur la dynamique de la campagne. Le président actuel, Macky Sall, a demandé mercredi au gouvernement de « procéder sans délai à l’application de la loi portant amnistie dès sa promulgation », selon un communiqué du conseil des ministres publié dans la soirée. M. Sonko, acteur principal d’un bras de fer de trois ans avec le pouvoir et la justice, est emprisonné depuis juillet 2023. Candidat déclaré à la présidentielle, il en a été disqualifié par le Conseil constitutionnel en janvier. Son camp a désigné avec son assentiment son second, M. Faye, pourtant détenu depuis avril 2023, pour le remplacer à l’élection. M. Faye est empêché de défendre sa cause en personne auprès des électeurs depuis l’ouverture de la campagne le 9 mars.
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Pour celui qui dit que macky n'a rien fait pour ce pays , je te conseille d'aller faire un tour dans la sous region, on aura plus un president pareil il a eu une vision il l'a appliqué du mieux qu il pouvais et soyons honnete de le reconnaitre le pays a changé, et toute ces personnes qui dénigre ce travail remarquable je vous invite a prendre de la hauteur car il a vraiment travaillé. et si c juste le changement que vous voulez allez y via les urnes mais ne dites pas que macky a ete un mauvais president c 'est pas vrai
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