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Seydi Gassama défend Alioune Tine : "Ce n'est pas l'argent qui le fait courir"

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"Qu'on le veuille ou non, c'est Ousmane Sonko qui gouverne le pays". Par cette déclaration, Alioune Tine a agité les fervents défenseurs de Pastef et attiré plusieurs critiques. Seydi Gassama, secrétaire exécutif d'Amnesty International/Sénégal, a volé à son secours. 
"Ce n'est pas l'argent qui fait courir Alioune Tine. Quelqu'un qui aime l'argent ne quitte pas une brillante carrière de professeur d'université pour diriger une association qui peinait à payer le loyer de son siège. Il vit et travaille dans la maison acquise grâce à l'université", a d'abord publié Seydi Gassama pour répondre aux accusateurs du fondateur d’Afrikajom Center.
"Alioune Tine est un homme foncièrement engagé en faveur des droits humains, de la démocratie et de l'émancipation politique, économique et culturelle de l'Afrique. Cette boutade dont les médias et les réseaux sociaux ont fait leurs choux gras ne reflète pas sa personnalité", a ajouté Seydi Gassama.
Auteur: Mouhamed CAMARA
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Comments

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    il y a 7 mois

    Alioune TINE franc-maçon la. Il sabote pour le retour des francs-maçons au pouvoir. Lii moy deug

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    Alioune perdu il y a 7 mois

    Partage magique écrit par un citoyen vertueux et véridique : " Grand Alioune, vous avez presque tort. J'ai lu avec une toute petite indignation votre post relatif au refus du Directeur des Moyens Généraux de la Présidence de la République du Sénégal de donner une suite favorable à la demande des responsables de l'organisation du Grand Magal de Touba pour l'hébergement de leurs hôtes par l'État du Sénégal. Comment peut-on ʺregretterʺ la réponse fort appropriée de Monsieur Oumar DIAGNE à Monsieur Cheikhouna MBACKÉ, Président du Comité d’Organisation du Grand Magal de Touba avec ampliation à Monsieur le Président de la République, Bassirou Diomaye FAYE, en date du 31.07.2024 qui dit ne pas être en mesure d'héberger les délégations étrangères conviées au Grand Magal de Touba surtout quand on s'appelle Alioune TINE, ardent défenseur de la démocratie, de la bonne gouvernance, adepte infatigable des ruptures, des cassures systémiques après toutes les pagailles vécues sous les régimes d'Abdoulaye WADE, de Macky SALL et bien avant les leurs ? Rien à regretter ! Absolument rien, Grand Alioune ! Monsieur DIAGNE est dans son rôle d’exécutant d’une infime partie de la politique de la nation définie par le Chef de l’Etat à partir d’une lettre de mission qui lui a été servie dès sa nomination à ce poste. Monsieur DIAGNE que nous ne connaissons pas est dans le Jub – Jubal – Jubanti qui constitue un engagement fort du candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE tout au long de la campagne électorale de 2024 avec son balai du pays des diolas. Et nous revient en mémoire un poème de Xavier PRIVAS, «Une petite ménagère», que nous avions appris au CE² ou au CM¹. Tous les sénégalais doivent emprunter à la petite ménagère de X. PRIVAS son balai à l’heure de l’exigence de ruptures pour assainir les mœurs et les vieilles habitudes nocives à la bonne marche du pays à tous les niveaux de responsabilités, dans tous les coins et recoins du pays. Oui, Grand Alioune, vous avez manqué un peu de cohérence, juste un peu, en jetant en pâture un homme de mission à la vindicte populaire plutôt à la vindicte communautaire. ʺLe Magal a une dimension spirituelle, politique, économique nationale et internationale qui appelle une implication conséquente de l'État sénégalaisʺ, dites-vous. C’est du déjà su et bien au-delà de nos frontières puisque tous les médias du monde en parlent jusqu’au pays où l’on célèbre avec ferveur le ʺBamba-dayʺ. Ce que tout le monde sait aussi, de science certaine, c’est, comme vous le dites, ʺl’implication conséquente de l’État du Sénégalʺ depuis les CRD consacrés aux préparatifs du Grand Magal, mobilisant tout l’état sénégalais (sociétés et agences nationales, commandement territorial, ministères techniques ou pas, Primature, PR), de tous les moyens matériels et financiers indiqués. Voilà donc que vous vous demandez : ʺqu'est-ce qui a bien pu expliquer cet impair bien regrettable ?". Où est l’ «impair» ? Où est l’erreur … «regrettable», devrait-on se demander ? Grand Alioune, voulez-vous dire que Monsieur DIAGNE a tout faux d’exécuter la nécessaire politique de ruptures systémiques, immanquablement, que le peuple sénégalais a votée le 24 mars 2024 ? Où est l’«impair» dans la posture de Monsieur DIAGNE ? Que faut-il ʺregretterʺ dans la décision de Monsieur DIAGNE qui l’a prise avec l’assentiment de son patron, le Président Bassirou Diomaye FAYE, le premier des employés du peuple sénégalais ? Sincèrement, vous deviez applaudir à tout rompre la décision de Monsieur Oumar DIAGNE et que d’autres femmes et hommes de la société civile donnent de la voix en chantant l’hymne des gens propres, probes. Hélas, même les grands intellectuels et les grands commis de l’État oublient cette relation de servitude quinquennale entre le Président de la République du Sénégal et le Peuple de Sénégal ! Rappelons-nous, le Président du PASTEF avait promis qu’une fois au pouvoir un budget serait voté et dédié à la couverture matérielle et financière des manifestations religieuses, de toutes les manifestations religieuses, dans la plus grande transparence. Nous ne sommes trop pressés de voir se réaliser cet autre engagement mais nous ne sommes pas non plus trop patients pour attendre que cela arrive dans trois ou quatre ans. Où est, véritablement, l’«impair» regrettable dans cette affaire ? Il est dans cet échange de courriers entre Monsieur Cheickhouna MBACKÉ et les services de la Présidence de la République qui se retrouvent dans les réseaux sociaux comme s’il s’agissait d’un appel à candidatures pour le recrutement des chefs d’organes exécutifs des entités du secteur parapublic (un engagement électoral sous le coude ou sous le genou ?) comme l’APDA, le Grand Théâtre et le FDCU, entre autres. La circulation des informations et documents officiels est dramatiquement banalisée dans ce pays et personne ne dénonce cet «impair» pour emprunter, à nouveau, le mot de l’illustre fondateur d’AfrikaJom Center. Ruptures ?

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    L'extrémiste il y a 7 mois

    Aliou Tine est indéfendable dans ses conneries..... Son jeux de vouloir diviser sonko et Diomaye est visible. Seulement il ne pourra absolument rien réussir. De la même façon que faites tout pour les diviser ,nous allons tout faire pour qu'ils restent unis. Sur tous les plans, mystique et autres. Même parmi nous patriotes ceux qui pensent que évincer sonko fera leur affaire nous leur ferons face... Le projet dépend de l'unité du Tandem et on ne joue pas avec.... On a élu Sonko et Diomaye pour qu'ils gouvernent et ils gouvernent....

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    reply_author il y a 7 mois

    faut reflechir! est ce que c est equitable d heberger melenchon a king fahd et de le refuser à d autres??? un etat c est aussi ca si on refuse c est pour des principes et les principes s appliquent à tous

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    il y a 7 mois

    😂franchement avec tout le respect ... il parle un peu trop, expert en tout et donneur de lecons🤣

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    Docteur Vérité il y a 7 mois

    Partage magique écrit par un citoyen vertueux et véridique : " Grand Alioune, vous avez presque tort. J'ai lu avec une toute petite indignation votre post relatif au refus du Directeur des Moyens Généraux de la Présidence de la République du Sénégal de donner une suite favorable à la demande des responsables de l'organisation du Grand Magal de Touba pour l'hébergement de leurs hôtes par l'État du Sénégal. Comment peut-on ʺregretterʺ la réponse fort appropriée de Monsieur Oumar DIAGNE à Monsieur Cheikhouna MBACKÉ, Président du Comité d’Organisation du Grand Magal de Touba avec ampliation à Monsieur le Président de la République, Bassirou Diomaye FAYE, en date du 31.07.2024 qui dit ne pas être en mesure d'héberger les délégations étrangères conviées au Grand Magal de Touba surtout quand on s'appelle Alioune TINE, ardent défenseur de la démocratie, de la bonne gouvernance, adepte infatigable des ruptures, des cassures systémiques après toutes les pagailles vécues sous les régimes d'Abdoulaye WADE, de Macky SALL et bien avant les leurs ? Rien à regretter ! Absolument rien, Grand Alioune ! Monsieur DIAGNE est dans son rôle d’exécutant d’une infime partie de la politique de la nation définie par le Chef de l’Etat à partir d’une lettre de mission qui lui a été servie dès sa nomination à ce poste. Monsieur DIAGNE que nous ne connaissons pas est dans le Jub – Jubal – Jubanti qui constitue un engagement fort du candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE tout au long de la campagne électorale de 2024 avec son balai du pays des diolas. Et nous revient en mémoire un poème de Xavier PRIVAS, «Une petite ménagère», que nous avions appris au CE² ou au CM¹. Tous les sénégalais doivent emprunter à la petite ménagère de X. PRIVAS son balai à l’heure de l’exigence de ruptures pour assainir les mœurs et les vieilles habitudes nocives à la bonne marche du pays à tous les niveaux de responsabilités, dans tous les coins et recoins du pays. Oui, Grand Alioune, vous avez manqué un peu de cohérence, juste un peu, en jetant en pâture un homme de mission à la vindicte populaire plutôt à la vindicte communautaire. ʺLe Magal a une dimension spirituelle, politique, économique nationale et internationale qui appelle une implication conséquente de l'État sénégalaisʺ, dites-vous. C’est du déjà su et bien au-delà de nos frontières puisque tous les médias du monde en parlent jusqu’au pays où l’on célèbre avec ferveur le ʺBamba-dayʺ. Ce que tout le monde sait aussi, de science certaine, c’est, comme vous le dites, ʺl’implication conséquente de l’État du Sénégalʺ depuis les CRD consacrés aux préparatifs du Grand Magal, mobilisant tout l’état sénégalais (sociétés et agences nationales, commandement territorial, ministères techniques ou pas, Primature, PR), de tous les moyens matériels et financiers indiqués. Voilà donc que vous vous demandez : ʺqu'est-ce qui a bien pu expliquer cet impair bien regrettable ?". Où est l’ «impair» ? Où est l’erreur … «regrettable», devrait-on se demander ? Grand Alioune, voulez-vous dire que Monsieur DIAGNE a tout faux d’exécuter la nécessaire politique de ruptures systémiques, immanquablement, que le peuple sénégalais a votée le 24 mars 2024 ? Où est l’«impair» dans la posture de Monsieur DIAGNE ? Que faut-il ʺregretterʺ dans la décision de Monsieur DIAGNE qui l’a prise avec l’assentiment de son patron, le Président Bassirou Diomaye FAYE, le premier des employés du peuple sénégalais ? Sincèrement, vous deviez applaudir à tout rompre la décision de Monsieur Oumar DIAGNE et que d’autres femmes et hommes de la société civile donnent de la voix en chantant l’hymne des gens propres, probes. Hélas, même les grands intellectuels et les grands commis de l’État oublient cette relation de servitude quinquennale entre le Président de la République du Sénégal et le Peuple de Sénégal ! Rappelons-nous, le Président du PASTEF avait promis qu’une fois au pouvoir un budget serait voté et dédié à la couverture matérielle et financière des manifestations religieuses, de toutes les manifestations religieuses, dans la plus grande transparence. Nous ne sommes trop pressés de voir se réaliser cet autre engagement mais nous ne sommes pas non plus trop patients pour attendre que cela arrive dans trois ou quatre ans. Où est, véritablement, l’«impair» regrettable dans cette affaire ? Il est dans cet échange de courriers entre Monsieur Cheickhouna MBACKÉ et les services de la Présidence de la République qui se retrouvent dans les réseaux sociaux comme s’il s’agissait d’un appel à candidatures pour le recrutement des chefs d’organes exécutifs des entités du secteur parapublic (un engagement électoral sous le coude ou sous le genou ?) comme l’APDA, le Grand Théâtre et le FDCU, entre autres. La circulation des informations et documents officiels est dramatiquement banalisée dans ce pays et personne ne dénonce cet «impair» pour emprunter, à nouveau, le mot de l’illustre fondateur d’AfrikaJom Center. Ruptures ?

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    Docteur Vérité il y a 7 mois

    Partage magique écrit par un citoyen vertueux et véridique : " Grand Alioune, vous avez presque tort. J'ai lu avec une toute petite indignation votre post relatif au refus du Directeur des Moyens Généraux de la Présidence de la République du Sénégal de donner une suite favorable à la demande des responsables de l'organisation du Grand Magal de Touba pour l'hébergement de leurs hôtes par l'État du Sénégal. Comment peut-on ʺregretterʺ la réponse fort appropriée de Monsieur Oumar DIAGNE à Monsieur Cheikhouna MBACKÉ, Président du Comité d’Organisation du Grand Magal de Touba avec ampliation à Monsieur le Président de la République, Bassirou Diomaye FAYE, en date du 31.07.2024 qui dit ne pas être en mesure d'héberger les délégations étrangères conviées au Grand Magal de Touba surtout quand on s'appelle Alioune TINE, ardent défenseur de la démocratie, de la bonne gouvernance, adepte infatigable des ruptures, des cassures systémiques après toutes les pagailles vécues sous les régimes d'Abdoulaye WADE, de Macky SALL et bien avant les leurs ? Rien à regretter ! Absolument rien, Grand Alioune ! Monsieur DIAGNE est dans son rôle d’exécutant d’une infime partie de la politique de la nation définie par le Chef de l’Etat à partir d’une lettre de mission qui lui a été servie dès sa nomination à ce poste. Monsieur DIAGNE que nous ne connaissons pas est dans le Jub – Jubal – Jubanti qui constitue un engagement fort du candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE tout au long de la campagne électorale de 2024 avec son balai du pays des diolas. Et nous revient en mémoire un poème de Xavier PRIVAS, «Une petite ménagère», que nous avions appris au CE² ou au CM¹. Tous les sénégalais doivent emprunter à la petite ménagère de X. PRIVAS son balai à l’heure de l’exigence de ruptures pour assainir les mœurs et les vieilles habitudes nocives à la bonne marche du pays à tous les niveaux de responsabilités, dans tous les coins et recoins du pays. Oui, Grand Alioune, vous avez manqué un peu de cohérence, juste un peu, en jetant en pâture un homme de mission à la vindicte populaire plutôt à la vindicte communautaire. ʺLe Magal a une dimension spirituelle, politique, économique nationale et internationale qui appelle une implication conséquente de l'État sénégalaisʺ, dites-vous. C’est du déjà su et bien au-delà de nos frontières puisque tous les médias du monde en parlent jusqu’au pays où l’on célèbre avec ferveur le ʺBamba-dayʺ. Ce que tout le monde sait aussi, de science certaine, c’est, comme vous le dites, ʺl’implication conséquente de l’État du Sénégalʺ depuis les CRD consacrés aux préparatifs du Grand Magal, mobilisant tout l’état sénégalais (sociétés et agences nationales, commandement territorial, ministères techniques ou pas, Primature, PR), de tous les moyens matériels et financiers indiqués. Voilà donc que vous vous demandez : ʺqu'est-ce qui a bien pu expliquer cet impair bien regrettable ?". Où est l’ «impair» ? Où est l’erreur … «regrettable», devrait-on se demander ? Grand Alioune, voulez-vous dire que Monsieur DIAGNE a tout faux d’exécuter la nécessaire politique de ruptures systémiques, immanquablement, que le peuple sénégalais a votée le 24 mars 2024 ? Où est l’«impair» dans la posture de Monsieur DIAGNE ? Que faut-il ʺregretterʺ dans la décision de Monsieur DIAGNE qui l’a prise avec l’assentiment de son patron, le Président Bassirou Diomaye FAYE, le premier des employés du peuple sénégalais ? Sincèrement, vous deviez applaudir à tout rompre la décision de Monsieur Oumar DIAGNE et que d’autres femmes et hommes de la société civile donnent de la voix en chantant l’hymne des gens propres, probes. Hélas, même les grands intellectuels et les grands commis de l’État oublient cette relation de servitude quinquennale entre le Président de la République du Sénégal et le Peuple de Sénégal ! Rappelons-nous, le Président du PASTEF avait promis qu’une fois au pouvoir un budget serait voté et dédié à la couverture matérielle et financière des manifestations religieuses, de toutes les manifestations religieuses, dans la plus grande transparence. Nous ne sommes trop pressés de voir se réaliser cet autre engagement mais nous ne sommes pas non plus trop patients pour attendre que cela arrive dans trois ou quatre ans. Où est, véritablement, l’«impair» regrettable dans cette affaire ? Il est dans cet échange de courriers entre Monsieur Cheickhouna MBACKÉ et les services de la Présidence de la République qui se retrouvent dans les réseaux sociaux comme s’il s’agissait d’un appel à candidatures pour le recrutement des chefs d’organes exécutifs des entités du secteur parapublic (un engagement électoral sous le coude ou sous le genou ?) comme l’APDA, le Grand Théâtre et le FDCU, entre autres. La circulation des informations et documents officiels est dramatiquement banalisée dans ce pays et personne ne dénonce cet «impair» pour emprunter, à nouveau, le mot de l’illustre fondateur d’AfrikaJom Center. Ruptures ?

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    il y a 7 mois

    Seydi Gassama chacun a son tour chez pastef soit tu dis akassa au gourou sino les insultes sabbatrons sur toi li bétouma

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    reply_author il y a 7 mois

    Alioune Tine kou dioubadi la. Tapalé késsé ak nafekh. Il ne mérite aucun respect

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    Pape il y a 7 mois

    Alioune tine se prend pour le président du Senegal alors qu’il est tout sauf quelqu’un qui défend l’intérêt des sénégalais plutôt les intérêts des lobbys maçonniques. Nous nous sommes battu durement en hinalant du gaz lacrymogène pendant les manifestations on a besoin du congé politique et de faire focus sur l’essentiel qui de travailler correctement. Mais lui il vient distraire juste pour orienter le débat des traques des biens mal-acquis. Il parle trop ces temps ci comme si le Sénégal est sa propriété. Qu’il aille se reposer c’est mieux

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    il y a 7 mois

    Peut-être que tous les deux vous avez la conviction de vos engagement mais ce qui est sur est que vous faîte plus de mal a la sociétè sènègalaise que de bien

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    il y a 7 mois

    6 moy 9

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    Le sage il y a 7 mois

    Ces Droits-de -l Hommistes sont tous pareils ; ils se nourrissent de fonds venus de l extérieur en contrepartie,ils suivent un agenda bien particulier. Pour eux,il y a ,Homme et homme,ce double standard venu d Occident,comme leurs ressources financières et leur propension a diaboliser les autres.

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    Nit il y a 7 mois

    Il défend son camarade maintenant... Vous êtes les deux fervents partenaires du Pastef qui avaient créé beaucoup de désordre et de confusion dans ce pays sous le couvert de vos organismes de droit de l'homme.

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    l'Oeil de Cheikh il y a 7 mois

    Alioune Tine est-il un Pompier Pyromane? Une Critique objective ou une Tentative de Déstabilisation? Vous avez probablement remarqué, comme votre serviteur, que quelques mois seulement après l’accession au pouvoir de PASTEF, la scène politique est déjà en proie à des tensions internes, en grande partie alimentées par les critiques dont celles d'Alioune Tine, figure emblématique de la société civile. Monsieur Tine a récemment pointé du doigt une prétendue « confusion de rôles » entre le président Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Selon lui, Sonko semble prendre les rênes du pouvoir, reléguant Diomaye Faye à un second plan. Cette observation, qui pourrait passer pour une simple analyse politique, revêt en réalité une dimension plus insidieuse, celle d'une tentative délibérée de créer des dissensions au sommet de l'État. Mais Alioune Tine est-il vraiment en train de jouer les pompiers pyromanes? Est-il en train d'attiser un incendie politique qu'il prétend ensuite vouloir éteindre? La question mérite d'être posée. En agitant la menace d'une confusion des rôles entre le Président et son Premier ministre, Monsieur Tine semble chercher à semer la discorde au sein de l'exécutif, dans le but non avoué de fragiliser un duo qui incarne l'espoir de renouveau pour le Sénégal. Il est d'ailleurs pertinent de rappeler à M. Tine que Macky Sall n'est plus le président du Sénégal. Pendant son règne, il était omniprésent, au four et au moulin, centralisant toutes les décisions malgré la présence de ministres et de premier ministre qui, en théorie, auraient dû jouer un rôle significatif. Aujourd'hui, l'ère Sall est révolue, et avec elle, le modèle de gouvernance autoritaire et hyper-centralisé qui a marqué ses douze années au pouvoir. Le peuple sénégalais, en portant Diomaye Faye à la présidence, a choisi de tourner cette page, optant pour une gestion plus collégiale et partagée du pouvoir. Il faut aussi lui rappeler que si les Sénégalais ont voté massivement pour Diomaye, il doit reconnaître que c’est grâce à Sonko. Le Président Diomaye, par son humilité légendaire, est le premier à le reconnaître. N’oublions pas que 10 jours avant les échéances électorales, il y’a beaucoup de ses électeurs qui n’ont jamais entendu sa voix ou peut-être même voir son visage. Malgré tout, c’est lui notre président bien aimé qui est largement à la hauteur de la fonction présidentielle. Monsieur Tine et autres détracteurs devaient se réjouir d’avoir l’un des présidents le mieux élu au monde. Il est de coutume de voir des lobbies financiers et/ou religieux derrière l’élection de la plupart des présidents même dans les pays considérés comme des “grandes démocraties”. Ils doivent être heureux d’avoir à la tête de l’état un tandem qui ne s’écrase pas, qui a la même vision et les mêmes objectifs à la différence de ce que nous avons l’habitude de voir. Les critiques d'Alioune Tine semblent donc mal fondées, voire prématurées. Avant de tirer des conclusions hâtives sur la gouvernance du nouveau tandem président-premier ministre, Faye-Sonko, il serait sage de laisser le temps à ces derniers de prouver leur capacité à diriger le pays ensemble, sans pour autant tomber dans les travers de leurs prédécesseurs. Enfin, il est difficile de ne pas voir dans les attaques de Monsieur Tine une forme de nostalgie d’un passé où lui et d’autres avaient peut-être des privilèges aujourd’hui menacés. En cherchant à raviver des tensions, il espère peut-être redevenir un acteur incontournable de la scène politique sénégalaise, mais ce jeu est dangereux et pourrait compromettre la stabilité si chèrement acquise. Les patriotes du Sénégal doivent rester concentrés sur l'objectif principal : redresser un pays affaibli par douze années de mauvaise gouvernance. Les critiques infondées et les manœuvres politiciennes ne doivent pas nous détourner de cette mission. M. Tine et autres opposants peuvent continuer à allumer des feux, mais les Sénégalais ne se laisseront pas tromper par des manœuvres destinées à diviser. Le Sénégal a besoin d'unité, pas de pyromanes déguisés en pompiers. Signé: L’Oeil du Cheikh https://www.facebook.com/oeil.de.cheikh

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    il y a 7 mois

    Alors c'est quoi son probleme. A son age, il devrait plutot oeuvrer à pacifier l'espace politique. En lieu et place, il ment éhontement avec, visiblement, un agenda caché. Triste.

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    il y a 7 mois

    Gass il n'a pas démissionné, il a été démissionné pour des absences injustifiées. Il percevait un salaire, pendant ce temps il s'occupait plus de la Raddho avec de nombreux voyages de représentation que dispenser des cours à des étudiants. A l'époque il a fait l'objet de critiques virulentes. Les mauvaises langues disaient à l'époque qu'il avait un business en Guinée Bissau sur ce point il y erreur. Cela ne remet pas en cause les contributions faites dans les droits de l'homme.

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    cc il y a 7 mois

    tu as sure de ca?

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    dame il y a 7 mois

    C'est l'argent facil e qui vous fait tous courir....Les ONG sont une grande escroquerie.

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    il y a 7 mois

    Gassama doit se taire. C'est un fervent militant pastef et recevait certainement sa part du gâteau distribuée par la mafia kacc kacc. Rien n'explique le fait de vouloir vivre seul à la tête Amnesty. Sans jamais penser à passer le flambeau. Gassama prêche pour sa paroisse. Il fait partie des membres de la société dite civile

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    il y a 7 mois

    C'est ça pastef, ils l'adulaient quand ça les arrangeait et maintenant ils l'insultent.

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    reply_author il y a 7 mois

    Tu mens

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