Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige.
Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette.
Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle !
Les prémisses ?
- le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1)
- le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2)
- la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3)
- son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4)
- l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5)
- les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6)
- la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7)
- et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins.
Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8)
Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora)
L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ?
Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY.
Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle.
Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ».
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait !
Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique !
Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru !
Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique.
Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012.
Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall.
Cherchez l’erreur !
N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire.
Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe.
Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques !
Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ?
Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ?
Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines.
Combien d’autres ?
S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment.
Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”.
C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps.
À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine.
Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique !
L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali…
Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup !
À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays.
(A suivre)
Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le profil du violeur et ses caractéristiques
Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants.
1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange
Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail.
2. Le pouvoir, pas le sexe
Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché.
3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles
En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter.
Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. .
4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale
Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence.
Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle .
5. Peu de capacité d'empathie
l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation.
6. Aucune anticipation des conséquences
Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres.
7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive
Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille.
Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte.
8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression
Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres.
9. Il ne s'agit pas de malades mentaux
Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font.
10. Ils sont pour la plupart totalement imputables
Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables .
11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte .
12. Blâmer la victime
Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation
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Je suis Sénégalais vivant au Canada... Mais cette dame ne me représente pas et je ne veux rien venant de ce genre d'individus... Wasalam !!!
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l' APR est aallé ramassé dans les poubelles pour nous servir de députés. on pensait que cette législature allais faire mieux mais c la pire
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Cette femme ne me représente pas, désolée je mérite mieux quand même. Doyna seuk.
Vu le peu que je suis, la moitié des députés n'ont pas leur place dans l'hémicycle, c'est pour du khawaré ou se bagarrer
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pas belle et bête ! Macky moniou togne ! doff bi assemblée tchimmmm
mom rek la diépiiii. Elle en me représente pas di doul ! lamigne bou reuy bi chimmmmmm
une vraie bitch poubelle
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Representante des Magetou khouboudass, khessal , vulgaire, stupide et sans cervelle.. Je suis une FEMME ET CETTE IMBECILE ne me represente pas.. TROP VULGAIRE..
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donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
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davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le profil du violeur et ses caractéristiques
Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants.
1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange
Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail.
2. Le pouvoir, pas le sexe
Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché.
3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles
En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter.
Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. .
4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale
Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence.
Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle .
5. Peu de capacité d'empathie
l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation.
6. Aucune anticipation des conséquences
Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres.
7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive
Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille.
Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte.
8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression
Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres.
9. Il ne s'agit pas de malades mentaux
Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font.
10. Ils sont pour la plupart totalement imputables
Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables .
11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte .
12. Blâmer la victime
Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation
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Tous ceux qui critiquent sont juste des aigri.e.s jaloux de cette dame Coura Macky raw n'a lén dem leen fowi mom téral n'a ay mbokam ndjitou reew mi mo ko worlou def sagal KO ngir mou nek la représentante du peuple tok len fofou rek di mbéléléli elle fait partie des plus valeureuses militantes de l'Apr si xam xam si pass ak si diar diar c'est pourquoi Macky Sall fonk ko ba fou fonk yem ba tek KO si kaw yenen militantes yi
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Sincerement le Grand Frere Macky s'est trompé!!!!! Cette femme qui pretend parler Anglais (Dieu sait que Gadio se moquerait d'elle sachant qu'elle ne parle ni Anglais ni En glais!!!!). Celle-ci ne peut pas representer la Diaspora remplie de vrais travailleurs et d'intellectuels de premiere classe.
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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Sincerement le Grand Frere Macky s'est trompé!!!!! Cette femme qui pretend parler Anglais (Dieu sait que Gadio se moquerait d'elle sachant qu'elle ne parle ni Anglais ni En glais!!!!). Celle-ci ne peut pas representer la Diaspora remplie de vrais travailleurs et d'intellectuels de premiere classe.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige.
Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette.
Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle !
Les prémisses ?
- le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1)
- le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2)
- la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3)
- son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4)
- l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5)
- les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6)
- la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7)
- et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins.
Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8)
Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora)
L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ?
Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY.
Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle.
Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ».
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait !
Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique !
Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru !
Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique.
Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012.
Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall.
Cherchez l’erreur !
N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire.
Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe.
Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques !
Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ?
Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ?
Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines.
Combien d’autres ?
S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment.
Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”.
C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps.
À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine.
Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique !
L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali…
Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup !
À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays.
(A suivre)
Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
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Comments
Doyna seuk ak barkė.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige. Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette. Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle ! Les prémisses ? - le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1) - le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2) - la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3) - son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4) - l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5) - les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6) - la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7) - et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins. Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8) Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora) L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ? Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY. Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle. Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ». Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait ! Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique ! Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique. Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012. Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall. Cherchez l’erreur ! N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire. Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe. Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ? Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ? Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines. Combien d’autres ? S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment. Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”. C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps. À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine. Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique ! L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali… Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup ! À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays. (A suivre) Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Elle n'a qu'a s'occupee de son mari .Porte Parole mon VIEUX
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le profil du violeur et ses caractéristiques Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants. 1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail. 2. Le pouvoir, pas le sexe Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché. 3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter. Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. . 4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence. Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle . 5. Peu de capacité d'empathie l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation. 6. Aucune anticipation des conséquences Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres. 7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille. Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte. 8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres. 9. Il ne s'agit pas de malades mentaux Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font. 10. Ils sont pour la plupart totalement imputables Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables . 11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte . 12. Blâmer la victime Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Porte parole des folles oui
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Je suis Sénégalais vivant au Canada... Mais cette dame ne me représente pas et je ne veux rien venant de ce genre d'individus... Wasalam !!!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
l' APR est aallé ramassé dans les poubelles pour nous servir de députés. on pensait que cette législature allais faire mieux mais c la pire
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Cette femme ne me représente pas, désolée je mérite mieux quand même. Doyna seuk. Vu le peu que je suis, la moitié des députés n'ont pas leur place dans l'hémicycle, c'est pour du khawaré ou se bagarrer
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pas belle et bête ! Macky moniou togne ! doff bi assemblée tchimmmm mom rek la diépiiii. Elle en me représente pas di doul ! lamigne bou reuy bi chimmmmmm une vraie bitch poubelle
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La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
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La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
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La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
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La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
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La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La diaspora ne veut pas d'une devergondée comme porte parole.
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Representante des Magetou khouboudass, khessal , vulgaire, stupide et sans cervelle.. Je suis une FEMME ET CETTE IMBECILE ne me represente pas.. TROP VULGAIRE..
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Non sincèrement parlé macky sall ne nous respecte pas
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
No comment.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Mon Dieu que Faire avec cellle l L faut redoubler de prieres
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
macky méprise les sénégalais
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le profil du violeur et ses caractéristiques Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants. 1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail. 2. Le pouvoir, pas le sexe Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché. 3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter. Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. . 4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence. Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle . 5. Peu de capacité d'empathie l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation. 6. Aucune anticipation des conséquences Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres. 7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille. Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte. 8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres. 9. Il ne s'agit pas de malades mentaux Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font. 10. Ils sont pour la plupart totalement imputables Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables . 11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte . 12. Blâmer la victime Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Tous ceux qui critiquent sont juste des aigri.e.s jaloux de cette dame Coura Macky raw n'a lén dem leen fowi mom téral n'a ay mbokam ndjitou reew mi mo ko worlou def sagal KO ngir mou nek la représentante du peuple tok len fofou rek di mbéléléli elle fait partie des plus valeureuses militantes de l'Apr si xam xam si pass ak si diar diar c'est pourquoi Macky Sall fonk ko ba fou fonk yem ba tek KO si kaw yenen militantes yi
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Sincerement le Grand Frere Macky s'est trompé!!!!! Cette femme qui pretend parler Anglais (Dieu sait que Gadio se moquerait d'elle sachant qu'elle ne parle ni Anglais ni En glais!!!!). Celle-ci ne peut pas representer la Diaspora remplie de vrais travailleurs et d'intellectuels de premiere classe.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Sincerement le Grand Frere Macky s'est trompé!!!!! Cette femme qui pretend parler Anglais (Dieu sait que Gadio se moquerait d'elle sachant qu'elle ne parle ni Anglais ni En glais!!!!). Celle-ci ne peut pas representer la Diaspora remplie de vrais travailleurs et d'intellectuels de premiere classe.
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Menteuse
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Alors que nos vaillants Lions se sont évertués avec abnégation à peaufiner l’image du Sénégal à l’international et à consolider le prestige de notre cher pays, monsieur Macky Sall s’emploie, quant à lui, à creuser une fosse oú il va enterrer image et prestige. Le président Donald Trump avait insulté tous les peuples africains en traitant nos pays de "fosses à merde" (shit-holes). Si au Sénégal on tourne délibérément le dos au progrès démocratique pour mettre en place une véritable autocratie (un pouvoir qui n'a d'autre justification et légitimité que lui-même), ne creusons nous pas une "fosse à merde" pour y enfouir les Sénégalais. Car voyez-vous, c’est précisément ce que Macky Sall s’apprête à faire en traitant la Constitution comme un vulgaire papier toilette. Il serait à l’affût et se préparerait à nous imposer un troisième mandat en dehors de toute légalité constitutionnelle ! Les prémisses ? - le blocage en catimini d’un amendement au Protocole de la CEDEAO visant à bannir le troisième mandat en Afrique de l’Ouest ; (1) - le honteux « ni oui ni non » quant à la dissimulation d’une intention criminelle ; (2) - la mise en place d’un gouvernement dit « de combat » qui l’installe dans une logique de guerre contre l’opposition ; (3) - son refus d’identifier un candidat à sa succession à 13 mois de l’élection présidentielle ; (4) - l’accumulation d’un fabuleux trésor de guerre à coup de malversations, de détournements et de caisses noires ; (5) - les attaques contre les lanceurs d’alerte et les journalistes ; (6) - la vassalisation des corps de contrôle du processus démocratique et du maintien de l’ordre ; (7) - et maintenant une prise de parole orchestrée par les inévitables pousses-au-crime accrochés comme des sangsues à leurs privilèges indus et à leurs butins. Tout cela nous incite à suspecter une intention malveillante et criminelle : celle de violer la Constitution en toute connaissance de cause. (8) Le fera-t-il ? Tentera-t-il le troisième mandat ? Sera-t-il candidat en février 2024 ? Et ce malgré les échecs chez nous (Abdoulaye Wade) et chez nos voisins (Alpha Condé) ? Sans compter une opinion publique nationale largement hostile à un tel projet ? (y compris dans la diaspora) L’histoire se répète sous forme de farce, nous a dit Karl Marx. Malheureusement, notre président n’a pas lu Marx. D’ailleurs qui a-t-il lu (à part Paulo Coelho) ? Mais en vérité, cela dépendra de nous Sénégalais : de ce que nous attendons et exigeons du président de la République vis-à-vis de notre Constitution et de ce qui, par contre, peut être anticipé du président de BBY. Une Constitution est avant tout un engagement solennel qui maille toute une nation, qui fait de nous des citoyens et nous assigne une responsabilité individuelle et collective de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tous. Au point où il nous est même exigé de dénoncer tout crime ou toute intention criminelle. Article 25-3 : « Tout citoyen est tenu de respecter scrupuleusement la Constitution, les lois et règlements, notamment, d’accomplir ses devoirs civiques et de respecter les droits d’autrui. Il doit veiller à s’acquitter de ses obligations fiscales et à participer à l’œuvre de développement économique et social de la nation ». Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, est un citoyen spécial car c’est à lui que nous avons confié la responsabilité suprême de protéger l’intégrité de notre Constitution, en notre nom à tous. Il n’en demeure pas moins un citoyen soumis comme nous tous aux édicts de la constitution et notamment en son article 25 précité. Et il le sait ! Le président de BBY par contre est un citoyen tout au plus ordinaire, certains diront même limité quant à sa capacité en tant que président de la République à comprehender les défis complexes liés au sous développement de notre pays et à son laxisme complice par rapport à la corruption éhontée de son régime. Il aspire néanmoins, et cela devient de plus en plus clair, à prolonger indûment son séjour au Palais de l’avenue Leopold Sedar Senghor. Pathétique ! Cela dit, le président de la République lui, sait pertinemment qu’il s’agit là d’un interdit absolu de notre Constitution comme il l’a écrit et comme il nous l’a dit lui-même à plusieurs reprises. Nous l’avons cru ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas mentir. Ni se complaire dans une litanie de promesses jamais tenues. La parole d’un président est sacrée. Surtout en Afrique. Nonobstant les gesticulations des comparses du président de BBY et les contorsions intellectuelles de ses affidés, nous savons tous que nous avons rejeté la possibilité d’un troisième mandat anticonstitutionnel au Sénégal lorsque nous l’avons signifié sans ambages au président Ablaye Wade en 2012. Et ce avec la mobilisation d’opposants de taille dont le président de l’APR de l’époque, Macky Sall. Cherchez l’erreur ! N’empêche, si nous devons recommencer soyons prêts à le faire. Monsieur Macky Sall, attention ! Un président de la République ne doit pas provoquer ses concitoyens et surtout sa jeunesse. Il leur doit respect et considération. Ce serait une erreur politique monumentale que de confondre patience et passivité. Qui plus est, nous avons par référendum en 2016, adopté des révisions à certains articles et alinéas de la Constitution dont la réduction de la durée du mandat, le nombre de mandats restant inchangé depuis 2001. Nous n’avons pas adopté une nouvelle Constitution qui prétendument remettrait les pendules à zéro. La Constitution de 2001 demeure donc toujours en vigueur avec l’interdiction d’exercer plus de deux mandats consécutifs quelque soient leurs durées. Nul n’est dupe. Que le président de BBY puisse estimer qu’il demeure l’homme indispensable pour mener le Sénégal vers « l’émergence », qu’il pense que son bilan doit lui valoir une exception à la règle, qu’il puisse s’inquiéter avec raison de son degré d’impunité après son second et dernier mandat, qu’il se soucie du sort futur de son entourage nous importent peu et je dirais même que ce sont des arguments irrecevables parce que hors sujet. Il ne peut tout simplement pas exercer de troisième mandat, sauf à violer l’esprit et la lettre de la Constitution et à commettre un crime contre la nation sénégalaise. Crime qui ne devra jamais rester impuni. Jamais ! Ni pour lui ni pour ses complices qui seront bien entendu les premiers à aller « brouter » ailleurs. Il nous faudra aller les débusquer dans leurs nouvelles prairies. Ils sont tout simplement toxiques ! Monsieur Macky Sall, un président de la République ne doit pas ramer à contre courant de l’histoire, surtout à un moment où les peuples se lèvent pour écrire leur propre histoire (Amérique latine, Sahel, Iran,…). N’ayez aucun doute, le Sénégal s’inscrit dans ce mouvement global. Arrêter la mer avec ses bras ? Ou avec des fusils ? Allons nous permettre au président de BBY d’installer notre pays dans une instabilité sociale économique et politique du fait d’un troisième mandat illégitime imposé par la ruse, la duplicité et la force ? La nation sénégalaise fait face là à l’un des plus grand défi de son histoire démocratique récente car en Afrique, troisième mandat veut dire présidence à vie et autoritarisme, surtout lorsque le pétrole et la corruption sont au rendez-vous. Ne nous berçons pas de certitudes et d’illusions : les démocraties sont fragiles et ne sont pas uniquement menacées par des hommes en uniformes mais souvent par des hommes dits « forts » issus du processus électoral et qui se croient plus “malins”que leurs pairs ou prédécesseurs. Plus malin que le peuple ? Nous sommes donc tous interpellés et nous devons tous nous dresser pour briser dans l’œuf cette intention criminelle afin de protéger notre futur. Et imposer une fois pour toutes une norme consensuelle dont le non-respect a déjà causé la perte d’une dizaine de vies humaines. Combien d’autres ? S’il y a une chose que nous pouvons et devons laisser en héritage à nos enfants et petits-enfants, c’est au moins de maintenir intact cette aspiration à la démocratie et aux libertés politiques. Allons-nous permettre au président de BBY de nous entraîner dans une régression historique et nous rabaisser au rang de régimes archaïques tels le Cameroun, le Gabon, le Tchad, le Congo, la Guinée Équatoriale…? Bien sûr que non. Nous nous devons donc de rappeler au président de la République l’essentiel de son serment. Le serment est prêté dans les termes suivants :“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine”. C’est tout simplement son devoir, car la Constitution est au dessus du président. Qu’il se dévêtisse donc de ses habits de chef de parti et revêtisse pour une fois ceux du président de la République. Il serait temps. À ce titre, je lui conseille plutôt de s’investir dans la résolution des conflits en Afrique comme s’y attellent les anciens présidents du Nigéria Olusegun Obasanjo (en Ethiopie), celui du Kenya Uhuru Kenyatta (en RDC) et tant d’autres avant eux après l’accomplissement de leurs deux mandats. Ou de s’emparer de la problématique de la liberté de circulation dans notre continent ou d’autres éléments du plan Afrique 2063 de l’Union Africaine. Monsieur Macky Sall, oui il y a des missions élevées et dignes pour un président de Republique après son second et dernier mandat : se mettre au service de l’Afrique ! L’alternative de forcer un troisième mandat le conduirait tôt ou tard à rejoindre la compagnie des "pestiférés" de l’histoire contemporaine de l’Afrique tels que Blaise Compaoré, Alpha Condé, Omar el Bechir, Hissen Habré, Hosni Moubarak, Idriss Deby, Ben Ali… Je répète : tôt ou tard. Vraiment, ça n’en vaut pas le coup ! À part ça, bravo à nos chers Lions dignes fils du pays. (A suivre) Pierre Sané est ancien SG d’Amnesty International.
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Yow Katar ndeye. Bitch fuck you.
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Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante --- WWW.X21.FUN
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