Le dialogue est encore possible entre les autorités maliennes et la Cedeao. Le rejet, par le médiateur Goodluck Jonathan, du chronogramme de 24 mois de transition proposé par le gouvernement du Mali, n’est pas de nature à rompre les négociations. Le médiateur, qui a quitté Bamako sans le compromis tant souhaité, ne ferme pas la fenêtre du dialogue.
Dans un communiqué, Goodluck Jonathan a réaffirmé sa « volonté de continuer à discuter avec les autorités maliennes, afin de convenir d’un calendrier de transition acceptable ».
Ainsi, il a demandé au comité local de suivi et aux experts de poursuivre leur travail avec les autorités maliennes.
Goodluck Jonathan a également « réaffirmé la volonté de la Cedeao de soutenir le Mali dans la réalisation des aspirations de son peuple à la paix, à la bonne gouvernance et au progrès ».
Pour rappel, la délégation de la Cedeao a rejeté le calendrier de transition de 24 mois proposé par la junte et campe sur sa position qui milite pour une transition de 12 à 16 mois.
Auteur: Thiebeu Ndiaye
Comments (6)
Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante --> WWW.X21.FUN id01181118
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Vraiment entre 16 mois que souhaite la CEDEAO et 24 mois que propose le Mali, solution est vraiment possible. Demande à la CEDEAO de considérer les 24 mois que la Mali propose et surtout les appuyer aux respects des délais car sera pas facile
La CEDEAO doit avancer maintenant. Elle a fait tout son possible. Il faut lever les sanctions économiques et financières et garder les sanctions politiques jusqu'au rétablissement d'une situation normale. Les maliens entre-eux vont certainement trouver une solution à la malienne. On ne peut indéfiniment sanctionner le peuple malien. Il faut s'arrêter aux sanctions politiques
24 mois, c'est court. D'ailleurs, Pourquoi ne reproche t-on rien aux "putschistes" burkinabé qui eux ont annoncé 3 ans ? Et les militaires guinéens qui ne calculent même pas la cdeao
Parce que la France n'est pas fâchée contre les petits frères burkinabés et guinéens. Et la France dirige la cdeao
Mais qu'attend le Mali pour quitter cette cedeao dont macron est le président et alassane dramane ouattara le premier ministre, cette cedeao est là que pour obéir aux intérêts français, sinon pourquoi s'acharner sur le Mali, quand à situation égale, Paris adoube le fils Deby, et la Guinée et le Burkina sont épargnés par les sanctions, plutôt selectives, car la France a fait imposé les sanctions avec fermeture des frontières, tout en allant négocier près des militaires maliens la reprise des vols d'Air France depuis Bamako jusqu'à Paris; donc ce sont nos couillons de laquais qui se sont faits avoir puisque leurs avions ne peuvent plus se poser à Bamako.
Cher frères du mali, SVP, ne perdez pas votre temps avec ces marionnettes de la CEDEAO. Vous êtes sous embargo, et vous êtes en train de vous battre pour aller de l'avant. Nous aussi on sera bientot sous embargo avec cette guerre en ukraine. En effet : - le prix du pétrole va s'envoler - on ne pourra même plus acheter du blé ou des engrais - les produits manufacturés n'en parlons pas - l'europe va se bruler les ailes sur le plan financier, le CFA dans le foulée idem Regardez, le nigéria est sous ambargo, il n'y a plus d'essence. Mettez le paquet sur la productiona animale et céréalière, et vous ne ferz pas partie de cette partie de l'afrique qui va mourir de faim. Wassalam.
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