Au Sénégal, il existe une catégorie bien particulière de gens : les intellectuels qui, au lieu de chercher à comprendre, semblent prendre un plaisir étrange à semer la confusion là où il n'y a pourtant aucune place pour elle.
L’ensemble des exonérations fiscales accordées pendant la Covid vont sauter, sans compter l’augmentation des taxes sur le tabac, une retenue sur les prestations médicales et d’autres mesures.
Au Sénégal, l’actualité n’est jamais en pause. Le buzz, lui, ne dort jamais.
Faut-il rappeler ou bien apprendre tout bonnement au ministère du Commerce ce que démenti veut dire ?
Il y a quelques jours, je disais qu'il allait tout droit vers la "guillotine" politique.
"Lorsque nous parlons d’objectifs, le but de la révolution, c’est de renverser ce régime."
L’avenir politique de Barthélémy Dias, maire de Dakar et député récemment élu, semble de plus en plus incertain...
(Dans l’histoire du Sénégal, les premiers mots du plus jeune président président de l’ANS)
On peut tout lui reprocher, mais Guy Marius Sagna, lui, c’est un peu comme un vieux baobab au milieu d’une forêt politique trop jeune pour en apprécier l’ombre.
Au plus fort de la crise politico-judiciaire, Ousmane Sonko a révélé, dans une réponse à Idrissa Seck, qu’il mange du ‘’beignet dougoub’’ le matin...
Les enseignants du département d’Oussouye ont observé une grève de 48 heures les lundi 25 et mardi 26 novembre 2024.
Le 1er décembre 1944, le massacre des tirailleurs sénégalais au camp de Thiaroye demeure un épisode oublié de l’histoire coloniale, dont la mémoire reste floue, et les revendications de justice sans réponse. Le nombre de victimes et leur lieu de sépulture sont toujours incertains.
Les élections législatives 2024 n’ont pas été un camouflet que pour les leaders politiques que sont Macky Sall, Barthélemy Dias et Amadou Ba.
Le Sénégal, en tout cas, ne manque pas de rebondissements. Le Pastef, avec Ousmane Sonko en tête, s’est vu accorder par les électeurs un mandat fort, sur fond de promesses et de slogans. La légitimité populaire, c’est le trésor qu’il a en main, une légitimité qui se traduit par un président élu, Bassirou Diomaye Faye, et une majorité de députés (environ 130 sur 165) à l'Assemblée nationale. Le peuple a parlé, et il a placé son espoir entre les mains du leader de Pastef, un espoir qui se mesure à l’ampleur de la mission qui lui incombe désormais : gouverner et transformer.
Ce nouveau succès comme le précédent porte la marque de Ousmane Sonko, figure tutélaire de ce mouvement.
«Macky Sall se targuait d’avoir «réduit l’opposition à sa plus simple expression», quant à vous, Ousmane Sonko, vous avez réussi à «réduire l’opposition au plus simple balcon».
Voudrait-on écarter tout de suite l’artisan de la victoire électorale qu’on ne s’y prendrait autrement que d’envoyer Ousmane Sonko à l’Assemblée nationale.
Pape Djibril Fall restera-t-il à l’Assemblée nationale comme député de la 15e législature ?
En 2012, lorsqu’un Macky Sall fraîchement élu président de la République décidait d’écraser l’opposition et, par extension, d’affaiblir les anciennes figures du Pds, il imposait une politique de "réduction" des adversaires à une simple expression.
Bougane Guèye Dany en politique, c’est comme un acteur dans une salle de cinéma. Lorsque l’image est projetée, on dirait que la personne fait plus de deux mètres de long sur près d’un demi-mètre de large. Un géant au vrai sens du terme ! Mais dès que l’individu apparaît en chair et en os, le spectateur risque d’être déçu, il a un bout d’homme en face de lui.
