Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le secteur de l'éducation n'est pas épargné par les crues du fleuve Sénégal. À Matam et à Bakel, deux localités fortement touchées par les inondations, la rentrée des classes est perturbée.
L'affaire risque de faire beaucoup de bruit.
Le général de division Talla Niang invite les parents à inscrire leurs enfants à l'école afin de leur faciliter une bonne éducation ainsi qu'une meilleure insertion sociale.
«A Thiès, l'instauration illégale des frais d'inscription au niveau de l'élémentaire et du préscolaire», demeure un véritable casse-tête pour les parents d'élèves qui s'y opposent et invitent les autorités compétentes à sévir. Ces derniers fustigent «une première semaine de rentrée scolaire 2024-2025 caractérisée dans la ville aux-deux-gares par des tracasseries insoutenables, avec des montants qui varient entre 3000 et 12000 FCFA par élève».
Pour soutenir les parents d'élèves dans la lourde charge de l'achat des fournitures scolaires, en cette rentrée des classes, le ministre conseiller, porte-parole de la présidence de la République, Ousseynou Ly ,a offert 300 kits scolaires aux élèves de la commune de Médina. Ces kits scolaires comprennent le matériel nécessaire pour une rentrée sereine.
Une relation basée sur un dialogue franc. Tel est le fondement sur lequel le ministre de l’éducation nationale, Moustapha Mamba Guirassy, souhaite s’appuyer pour bâtir le renouveau de l’enseignement avec ses principaux acteurs.
Le Collectifs des amicales de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar hausse le ton
Même si le COUD traîne un déficit budgétaire de 10 milliards qui peut impacter considérablement la prise en charge des étudiants, l'Intersyndicale des travailleurs tient à rassurer les pensionnaires en ce qui concerne l'ouverture du campus social à la date du 19 octobre 2024.
L'ouverture du campus social de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, prévue le 19 octobre prochain, risque-t-elle d'être compromise ? Selon la Rfm, l'intersyndicale des travailleurs du Centre des Oeuvres Universitaires de Dakar (COUD) s'y opposent farouchement. Ces derniers affirment que rien n'est prêt pour accueillir les 100.000 étudiants.
Cheikh Oumar Diagne, ministre conseiller, Directeur des moyens généraux à la présidence de la République a soutenu sa thèse hier jeudi 10 octobre 2024. Les travaux portent sur le thème : ‘’Perspectives des monnaies souveraines face aux dynamiques géopolitique d’intégration et aux systèmes monétaires privés : le cas de la zone franc d’Afrique de l'ouest''. Le jury a eu comme président le Pr Babacar Guèye, agrégé en droit à l’Ucad.
Education : Bassirou Diomaye Faye opère des changements dans les Inspections d'académie
Le port du voile dans certaines écoles sénégalaises continue de faire polémique.
Un élève de 3e, MSB, dûment présélectionné pour la première édition du concours d’entrée au LYNAQUE (Lycée Nation-Armée pour la Qualité et l’Équité) n’a pu passer les épreuves de la matinée du 8 octobre 2024. Pour cause, sa mère avait été informée lundi 7 octobre, que son fils n’avait pas finalement été retenu pour passer le concours. Donc, aucune convocation n’était établie à son nom.
Le débat sur le port du voile dans les écoles catholiques refait surface.
Les élèves ont regagné les salles de classe, ce matin, après trois mois de vacances, au Sénégal. Mais dans la capitale méridionale du pays, plusieurs potaches étaient aux abonnés absents.
Les élèves du pays ont repris officiellement le chemin des classes, ce lundi 7 octobre.
Le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Guirassy, a beau éviter le sujet, celui-ci s’impose à chacune de ses sorties en vue de la rentrée des classes, qui se tient ce lundi 7 octobre.
Ce lundi marque le début de la rentrée scolaire.
La Division de l'action sociale de la gendarmerie nationale, en partenariat avec l'association Entente pour le devenir de l'enfance (EDEEN), qui regroupe les épouses des
Certains établissements scolaires de Matam sont occupés par des ménages sinistrés contraints de quitter chez eux à cause du débordement du fleuve.