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Affaire Juan Branco : un lutteur et un agent des Impôts arrêtés

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Deux nouvelles arrestations enregistrées dans l’affaire Juan Branco. Selon Libération, qui donne l’information, il s’agit du Alioune Diouf dit Usine Doolé et du contrôleur des Impôts et Domaines, Mamadou Diop. Ils ont été interpellés par la Sûreté urbaine (Su), précise le journal. Lequel confie qu’il est reproché au premier d’avoir assuré la sécurité de l’avocat français lorsque ce dernier avait débarqué par surprise lors de la conférence de presse du pool de défense de l’opposant Ousmane Sonko. Selon Libé, le second a pris le relais et récupéré Juan Branco chez Djamil Sané, le maire des Parcelles Assainies, déjà écroué pour associations de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, participation à un mouvement insurrectionnel, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à causer des troubles politiques graves mais aussi provocation directe d’un attroupement armé. Le journal rappelle que Ndiogou Lô, suspecté d’avoir hébergé Juan Branco, et le maire de Sangalkam, Pape Sow, qu’il avait sollicité pour organiser son exfiltration à bord d’une pirogue partie du quai de pêche de Rufisque, ont été aussi arrêtés. Rappeler que Juan Branco a été interpellé par la police mauritanienne à Rosso, avant d’être extradé en France. D’après les premiers éléments de l’enquête, c’est l’agent des Impôts qui aurait confié Juan Branco à Ndiogou Lô avant que l’édile de Sangalkam n’entre en scène. Extrait de prison dans le cadre de cette procédure, le maire des Parcelles Assainies a été déféré, en compagnie du lutteur Usine Doolé, de Mamadou Diop et de Ndiogou Lô, pour “recel et transport de malfaiteurs”.
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    il y a 1 an

    Bon le lutteur mom , liberez le , in ne doit même pas savoir louye landat d'arrêt international.On l'a surement proposédes sous et il a accepté contre un travail.Ce sont les têtes pensantes qu'il faut capturer pour haute trahison.

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    Krimo il y a 1 an

    Patience patience, dans 7 mois insha'Allah tout ceci s'arrêtera et la roue tournera. Tous les donneurs d'ordres et leurs exécutants seront pourchassés et châtiés 

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    Amsa il y a 1 an

    Le ridicule ne tue pas dans cette affaire, c'est le ministre de l'interieur et des affaires etrangeres qui devraient demissionner et ensuite les agents des securites dans le domaine du voyage. Une ridiculite a tous azimuts, maintenant ils veulent nous divertir en s'offrant de ceux qu'ils pensent sont de l'autre cote du pouvoir.

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    il y a 1 an

    THIEYY SUNUGAL GUI🙄

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    reply_author il y a 1 an

    C est beau ceux qui veulent le pouvoir pour se venger

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    Yade il y a 1 an

    Faites ce que vous voulez. Walahi un jour viendra vous rendrez compte de tous vos actes.

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    il y a 1 an

    Chuttt vraiment mollah morgan a raison il faut trouver une autre nationalité 

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    Manam il y a 1 an

    Ces gens là ne sont plus des sénégalais, ils sont la 5ème colonne de la République. Ils sont prêts à s'allier avec l'ennemi pour détruire ce pays.

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    reply_author il y a 1 an

    Qu'attend tu pour trouver un nationalité autre que sénégalaise ????? tiens le Mali est à coté , par contre ils viennent de perdre leur chef d'état mahor génégal de leur armée suite à une explosion de son avion au dessus de la crimée ................. tiens gier aussi leur mentor Vlad a présenter ses "condoleances" à sa famille et à ses proches.... Bayilen sen xeel yi guen di foyé !!!!

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    il y a 1 an

    Ces gens travaillent contre leur pays. Ce qui est effrayant,ce sont les méthodes utilisées par les militants du PASTEF. On a l'impression de voir agir des militants d'un parti clandestin. Aujourd'hui,c'est Juan Branco et on en rigole. Imaginez si c'était des djihadistes. Ces gens-là sont capables de tout par haine pour ce pays et ses dirigeants. La  plupart de ces gens  mesurent- ils  la gravité de ce qu'ils font endurer à ce pays et les conséquences qui pourraient en découler ultérieurement pour sa sécurité .? Tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse. Bakhna rek.

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    reply_author il y a 1 an

    Personne ne rendra compte parce que vous êtes des voyous et ennemis du Sénégal avec votre mentalité sataniste d attardés mentaux. Vous êtes capables f hébergér des terroristes ( et vous le faites) pour vos funestes entreprises de destructions salafistes. Vous serez traqués et traduits devant la loi. Vous n aimez pas le Sénégal, donc quittez-le. Basta.

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    il y a 1 an

    Sénégal sous Macky est comme un jeu de Ludo diap rek.En vérité Macky a toujours eu l'intention de faire un 3e mandat,ce n'était pas pour rien qu'il n'a jamais eu de dauphins et a toujours renvoyé tous ceux qui étaient contre les 3e mandat et promu ceux qui défendaient le contraire.Si c'est à sept mois  du fin de sa règne qu'il a officialisé sa volonté de ne pas faire un 3e mandat c'est parce qu'il en avait toujours l'intention.Maintenant la seule et unique personne qui l'a en empêchée  de l'être c'est Sonko et le Pastef.Il est en train de déverser sa haine sur Sonko et ses souteneurs.Macky a toujours pensé qu'il pouvait réussir un 3e mandat à l'image de l'autre marionnette française Ouattara malheureusement pour lui sa cote de popularité est trop basse.Si Macky était candidat il n'était même pas assuré d'avoir 30%..

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    il y a 1 an

    Rappel historique , en Afrique du sud dans les années 60, l'ANC de Nelson Mandela qui etait a son apogée a subi tous les brimades que l'on ne peut imaginer de la part du gouvernement sud africain a l'epoque dirigé par les blancs, les responsables du parti les militants les sympathisans etaient tous traqué en plein jour par le regime ,ils etaient arretés et mis en prison. L'ANC etait obligé de se tourner vers la clandestinité pour tenir leur reunion.En 1962 tous les leaders de l'ANC sont arretés et mis en prison , en premier Nelson Mandela ,s'en suit Govan Mbeki le pére de Thabo Mbeki grand ami de nelson mandela  Raymond Mhlaba, Ahmed Kathrada w,walter sissulu et tant d'autres , seul olivier Tambo qui etait vice president a fuit en preferant s'exiler..Par la suite la bande a Mandela ont été condamné a perpetuité pour haute trahision , le parti decapité et dissout...La suite on la connait c'est de l'exterieur que l'ANC s'est reconstitué avec olivier Tambo qui a su mener la lutte...On connait l'histoire Mandela est devenu president et depuis tous les presidents qui se sont succédés en Afrique du sud sont issu de l'ANC ,Thabo Mbeki dont son pére a participé a la lutte , jacob Zuma et le dernier Cyril Ramaphosa...Pour dire un gouvernement peut mettre tous ses plans pour disloquer,decapiter , mettre en prison tous les membres d'un parti , mais a coté il y'a un plan divin...Personne n'aurait cru avec tout ce qu'ils ont subi que l'ANC serait le premier parti d'Afrique du Sud....Je ne ferais pas le parallele avec le senegal  avec Ousmane Sonko et son parti PASTEF , Ousmane Sonko n'est pas Mandela, Pastef n'est pas l'ANC mais il y'a des similitudes..bref wait and see

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    reply_author il y a 1 an

    Mollah lui-même n a pas la nationalité canadienne et une autre. C est un soi-disant asylie politique de mes... Et c'est lui qui est ton exemple? Vraiment pitié de toi.

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    Et le pse on en parle il y a 1 an

    L'état du Sénégal ne fait qu'aggraver son lourd passif à la cour pénale internationale CPI dont deux procureurs sont passés par Dakar pour les besoins d'un complément d'enquête.  Juan Branco est craint du gouvernement français qui ne demande qu'il ferme sa gueule dans cette relation sombre entre états colonisés et la France son pays si protecteur malgré tout ce que l'on peut lui reprocher 

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    Patriote il y a 1 an

    Des vrais lâches pour de l'argent ils ont attaqué la République.

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    reply_author il y a 1 an

    Le régime le plus RIDICULE et INCOHÉRENT.  Torturé ces citoyens et libéré le Toubab.

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    il y a 1 an

    Macky sall est une punition de DIEU CONTRE LE NAFEHK des sénégalais. Tous ceux qui le soutenanient en 2012 contre Wade en dépit de tous les mensonges et manipulations flagrantes sont entrain de le payer, lui meme payera tout ce mal aprés sa chute en 2024. Tous les comploteurs de 2012 qui ont menti brulé le pays payeront tous. 

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    Constat il y a 1 an

    Les condamnations sont trop sévéres au Sénégal.  Le mandat de dépôt doit être  exceptionnel, comme en France. Pourquoi ne pas faire plus de comparution immédiate, plus de condamnation avec sursis et amendes pour les personnes qui travaillent. Les prisons seront désengorgées et moins de travail pour le personnel judiciaire et surtout les dossiers seront traités plus rapidement. Car attendre 3 ans pour un dossier de correctionnel cest vraiment trop long. Ce n'est que mon avis.

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    Sophie il y a 1 an

    L'ex pastef était composé que des agents des impôts et domaine qui sont immensément riches.  Ils ont beaucoup d'argent  à  cause des parcelles. Y a pas un inspecteur pauvre 

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    reply_author il y a 1 an

    Ah oui, merci cette lucidité. Vouloir le pouvoir pour se venger dénote l'état d'esprit auquel nous avons affaire...

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    reply_author il y a 1 an

    Esprit criminel et maléfique. Le sabre vous tombera dessus.Allah ne vous aime pas et votre njaalookat est maudit.

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    il y a 1 an

    On laisse Juan Branco partir librement et on met en prison ceux qui l'ont aidé dit on. Les arrestations n'ont qu'un seul est unique but empêcher à l'opposition de se mobiliser et battre le bby lors  de l'élection présidentielle de 2024. Ils ciblent les maires et responsables politiques qui peuvent mobiliser. Tout le monde même dans leur camps savent que cette comédie va s'arrêter en 2024. Personne ne répondra à la provocation, on attend tranquillement 2024 qui n'est pas loin.

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    il y a 1 an

    Plus de 60 morts depuis mars 2021 Des milliers de blessés Un passeport pour exiler à Londres Adji  Sarr la pute du complot aux frais du contribuable Un autre passeport à Penda  qui a insulté les wolofs à londres aux frais du contribuable Un passeport pour exiler karim wade au Qatar pour le faire revnir bientôt pour contrer sonko et tenter de conserver le pouvoir Des milliers de prisonniers politiques, le sénégal devient une prison à ciel ouvert Internet coupé, Walf fermé, des journalistes emprisonnés Des boutiques, commerces, entreprises rasées , des centaines de milliards perdus Finalement pas de viol, la pute du complot est entretenue comme ses avocats avec nos impots Trop c est trop Le maquis en éternel comploteur qui manipule liquider des adversaires qu il  n a pas le courage d affronter démocratiquement Maquis n organise pas des élections mais des séléctions avec des candidats khoussmaniappes de son choix Maquis empeche le vote des jeunes Maquis sabote le vote à touba , en casamance et en zone wolof Maquis par fraude industrielle fait voter des mauritaniens à matam et à podor qui deviennent bizarrement les plus grands bassins électoraux du sénégal Maky se fait battre dans toutes les grandes villes lors des législatives par sonko Maky se fait battre par la liste des remplaçants de sonko lors des législatives Posez la grille ethnique pour lire le maquis ethnicisme émergent APR alliance des poulars de la république Amadou ba en roue de secours du maquis au cas où Des nominations et recrutements politiques engendrant toucoulorisation de le république, néddo bandoum partout Maquis  a cassé la nation Sonko ou  rien Sonko ou le chaos Karim emprisonné par maky pour vol de 3000 milliards, Khalifa vole 3 milliards pour vol, Maky l emprisonne Maky les réhabilite pour tenter de liquider SONKO qu n a jamais volé Le peuple défendra  l’ange SONKO face au monstre maquis Maky pire que le nazisme qui assassine la démocratie par des arrestations, dissolutions de partis, Maky n a jamais organisé d election , mais des selections Maky manipule pour se faire remplacer par néddo banddoum à un halpoular qui va gagner la présidentielle de 2024 avec 70% au premier tour avec des candidats khoussmaniappe de son choix comme d’habitude Maky défait avec les manifestations de mars 2021 Maky défait encore lors des elections locales Maky défait encore avec législatives, battu par les remplaçants de SONKO Maky humilié avec les manifestations de juin 2023 Maky capitule sans gloire ni honneur mais le combat continue Maquis ne pas dissoudre le PASTEF Maquis ne peut pas détruire les sénégalais Maquis ne peut pas dissoudre la colère volcanique dans le cœur du peuple Maquis champion du monde des coups d’état politique, électoraux, constitutionnels Wékki Maky, kaala SONKO Président en 2024 SONKO s’est sacrifié pour le Sénégal, sacrifions-nous pour SONKO§  

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    reply_author il y a 1 an

    Ya pas de mot assez fort pour décrire la médiocrité du système judiciaire du sénégal 

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    reply_author il y a 1 an

    Toi tu es marrant de cautionner ces inepties tu ne réfléchis même pas c'est toi qu'il faut mettre même pas en prison mais sans un égout et les délits reprochés ça fait rigoler Le monde doit bien nous haïr et nous prendre pour des rigolos

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    il y a 1 an

    Le silence assourdissant des sénégalais actuellement est synonyme de dégoût du régime de Macky et de son entourage.C'est pourquoi Macky ne veut pas d'un plan B de Sonko ou que Sonko soutienne un candidat crédible de l'opposition.Cette acharnement sur Sonko et son parti c'est juste pour l'obliger à boycotter afin de faciliter l'élection du candidat choisi par Macky et la France.C'est pourquoi il veut choisir lui même cinq candidats qu'il va parrainer

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    reply_author il y a 1 an

    Salam mais le problème en est que ont dit "Nul n'est censé ignorer la loi" c'est ça qui m'intrigue pour le cas du lutteur sinon un peu d'indulgence de son côté si évidemment il n'est pas "Politicien".

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    il y a 1 an

    ET LES AGENTS DE LA POLICE DES FRONTIERES QUI NE L'ONT PAS ARRÊTE ? 

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    il y a 1 an

    l'avocat est un bandit hahahahhahahah du grand ridicule. seuls les non circoncis comprennent

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    Nianthio il y a 1 an

    Créez votre propre histoire car vous savez que tout ce que vous créez se détruit. Vous avez comparé  Sonko à Sankara, Malcom X, Nelson, Trump, Mamadou Dia, Wade,..... Sauf que ces gens ne sont pas des pervers sexuel.  Vous dites 7 mois? C n est pas une 1ere car depuis 2019 vus êtes dans vos délires.  Rêvez! Rêvez ! Rêvez !

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    Mister T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.   Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges.   À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée.   Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.   Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité.   Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre.   Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde.   Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation.   Tout cela visait à le neutraliser politiquement.   Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour.   Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international.   Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .   Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.   La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations.   En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes.   Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.   Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.   Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.   Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    Mister T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.   Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges.   À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée.   Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.   Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité.   Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre.   Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde.   Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation.   Tout cela visait à le neutraliser politiquement.   Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour.   Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international.   Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .   Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.   La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations.   En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes.   Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.   Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.   Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.   Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    Mister T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité.   Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges.   À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée.   Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée.   Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité.   Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre.   Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde.   Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation.   Tout cela visait à le neutraliser politiquement.   Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour.   Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international.   Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe .   Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie.   La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations.   En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes.   Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats.   Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections.   Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique.   Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    reply_author il y a 1 an

    Allah est au contrôle. Tout ce que tu feras du poids d'un atome de bien te le seras rendu et tout que tu feras de mal du poids d'un atome de mal te le seras rendu. Alhamdoulilah Dieux existe

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    Sonko le Diable incarné il y a 1 an

    Vous qui soutenez le Gourou maléfique et sa diabolique secte l'ex PASTEF, vous ètes vraiment de la merde et des hypocrites au sein même de l'Islam. Vous savez très bien que le diable libertin nommé Ousmane Sonko est un malédiction dans ce pays et vous le soutenez même contre votre religion.  De la part du diable libertin Ousmane Sonko, il n'y a eu que mensonges, sweet beauté, manipulations, appel à la sédition et à l'insurrection, pourvoi de la mort dans la jeunesse, en plus de ses viles pulsions sexuelles  incontrôlables. Vous ètes tellement débiles et hypocrites que vous avez cru délibérément à sordide histoire d'une  ordonnance médicale de 13.000 frs cfa, dont il a dit qu'il n'avez les moyens de le payer en tant qu'inspecteur des impôts. Définitivement, vous ètes vraiment des suppôts du Diable. Que vous soyez instruits ou non, responsables dans sa maléfique secte et simples adeptes. Vous ètes le Malheur du Sénégal.  Alhamdoulillah, par le Seigneur Tout-Puissant dont la gloire est infinie, vous n'aurez jamais gain de cause. Partisans de Satan que vous ètes. Malheur à vous.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un État où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics. Les avocats qui se sont engagés dans cette affaire devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges.Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête à l'État en dénonçant sa gestion désastreuse, ses actes de prédation et ses mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une situation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à un procès parodique, où face à l'incapacité de prouver un viol, on avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à le neutraliser politiquement. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer au pays, et le gouvernement avait prétendu l'existence d'un faux mandat d'arrêt international. Malgré cela, il avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler sur un vol gratuit en première classe . Alors, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses partisans pour réprimer violemment les manifestations, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'a ouvert aucune enquête sur ces assasinats. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui colla plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts seront faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilise actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique avec sa propagande. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp, la guerre sera bientôt déclarée entre eux. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Rendez-vous dans les bureaux de vote dans quelques mois.

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    Ndiago il y a 1 an

    En tout cas, nous qui n'avons rien fait, nous sommes tranquilles Nous n'avons rien à craindre. Quand aux voyous et anarchistes, la justice va vous traquer jusqu'au dernier bandit. 

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    ff ff il y a 1 an

    on taccuse recel de malfaiteur !!!!! apres cest eu qui accompagne le malfaiteur jusqua laeroport pour le faire sortir du pays , Donc eu quest ce quon doit les accuser RECEL ++++?  

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    reply_author il y a 1 an

    Je me remercie le bon Dieu, je n'avais pas voté pour lui en 2012 encore moins 2019.

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    Jakson il y a 1 an

    S il y a delit, je pensé que c dabord branco et ensuite viennent ses supposes complices mais vouloir laisser partir branco et s en prendre aux senegalais est une injustice notoire.c.est comme a bango,quand quelqu un faute,tout le monde paye . Branco n aurait il Pas vraiment defié l etat ?et toutes ces charges retenues contre lui ?donc le liberer 24h apres son arrestation?ou c juste que lui il est europeen et les autres senegalais et africains? Dans cette affaire ,celui qui devrait etre en mandat de depot dabord c etait lui et apres Aller chercher Tous ses complices

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    reply_author il y a 1 an

    c'est du terrorisme. en france meme les femmes de djihadistes sont arretées 10 ans apres et mises en detention et les gamins dans des centres des qu'elles sont autorisées a rentrer en france venant de rakka. on ne badine pas avec du terrorisme. un maire qui aide un terroriste, c'est du jamais vu. si l'etat ne sevit pas tout de suite on risque de le regretter. les gens de l'ex pastef sont tout sauf democrates

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    il y a 1 an

    Ford Escape 2012 à vendre, voiture automatique essence, climatisée grand ecran tactile, caméra de recul. Prix 5 000 000 frs Cinq millions francs Contact  77 750 28 28 / 76 640 00 76

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    il y a 1 an

    Au total 5 attestations pour la défiance de Juan Branco à l'Etat du Sénégal.  Le malfaiteur principal étant libéré en 48 H, à quoi bon arrêter ses "complices". Il faut arrêter et classer cette affaire Juan Branco 2.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

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    reply_author il y a 1 an

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    reply_author il y a 1 an

    Vous etes des laches. Vous libérer le coupable en arretant ses soi-disants complices.

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    il y a 1 an

    70% de jeunes et la majorité accepte de se faire humilier comme ça. Le gros travail à faire après ce régime c est l éveil des masses, complètement lobotomise par le système. Le sacré système et cette dure réalité qui nous ouvre les yeux sur comment les colons ont pu se frayer un chemin avec des troupes coloniales et la grande complicité de de certains chefs. Voilà que les héritiers de ces fumiers qui ont vendu le pays sont près à exterminer jusqu au derniers des résistants. Quant aux blakoros sur ce site qui défendent ce régime moribond mépris et desolation, ils ne sont que les produits de leurs devanciers. Ce pays a déjà bcp changé et les choses bougeront encore plus dans un avenir proche dans le sens du développement et une répartition équitable, juste et saine des ressources et fruits du travail de tt le monde

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    il y a 1 an

    70% de jeunes et la majorité accepte de se faire humilier comme ça. Le gros travail à faire après ce régime c est l éveil des masses, complètement lobotomise par le système. Le sacré système et cette dure réalité qui nous ouvre les yeux sur comment les colons ont pu se frayer un chemin avec des troupes coloniales et la grande complicité de de certains chefs. Voilà que les héritiers de ces fumiers qui ont vendu le pays sont près à exterminer jusqu au derniers des résistants. Quant aux blakoros sur ce site qui défendent ce régime moribond mépris et desolation, ils ne sont que les produits de leurs devanciers. Ce pays a déjà bcp changé et les choses bougeront encore plus dans un avenir proche dans le sens du développement et une répartition équitable, juste et saine des ressources et fruits du travail de tt le monde

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    GOKH il y a 1 an

    Le voleur rentre dans ma maison et prend tous mes biens, je l'attrape puis je le libère et je mets en prison le chauffeur qui l'a ramené devant ma maison, l'ami qui l'a accompagné juste devant la porte, les voisins qui l'ont vus rentrer. Mais est ce que ce pays est serieux ? 

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    il y a 1 an

    Ce sont des sénégalais qui ont comploté contre leur État. La libération de Branco est autre chose. C'est bien fait pour ces traîtres de la république avec le Gourou forniqueur.

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    FANTA il y a 1 an

    Vraiment .....c'est pathétique de ce pays.....et les nervis qui prenaient départ au siège de l'APR qui faisaient violence sur la population avec des armes à feu ........sûrement c'étaient des extra-terrestres...... Et le fameux N° 9 qui semble ne peut pas être entre dans les rangs de la police .....lui aussi la police a du mal à retrouver ......quelle COMEDIE.....lollllllll

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    il y a 1 an

    Quand le ridicule et le complexe d'infériorité envers l'homme blanc ne tuent pas!! on libère le principal concerné tout simplement parc qu'il est blanc, français!! et on s'acharne sur ses pauvres concitoyens parce qu'ils ne sont pas Blancs  et ne sont ni Français encore moins espagnols!! Les sénégalais se sentent très, très mal dans leur peau avec ectte affaire "Branco". Continuer à deshoner les sénégalais et à leur faire manquer de dignité doit arréter. Basta il faut savoir faire preuve d'humulité et de stopper cet acharnement sur ses propres concitoyens juste parce qu'on a failli lamentablement en s'affaissant et en se rabaissant devant la peau blanche comme d'antan nous sommes demeurés les cancres de services des colons, meme s'eils nous ont laissé une pseudo indépendant;  La servilité envers les colons demeure toujours et se vout revenir au grand jour avec ce dénouement honteux de l'affaire " Branco" Notre justice s'est vraiment affaissé et à coubé le dos et tous les énégalais se sentent trahis et meurtris. Continuer à vouloir se réhabiliter en persécutant nos concitoyens ne fait que mettre de l'huile dans le braisier. il faut savoir arréter pendant qu'il est encore temps. l'humuliation ne saurait perdurer. Arrétez!!!!!

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    Nafi Sy il y a 1 an

    yamana doul !

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    Republique il y a 1 an

    " Le mot « république » provient du latin res publica qui signifie au sens propre « chose publique » et désigne l’intérêt général puis le gouvernement, la politique et enfin l’État". Quand j'entends certaines personnes prôner que ceux de l'opposition sont des ennemis de la république ça me fait rigoler. ils oublient que l'intérêt général est au dessus de tout. En supposant que tel est le cas comment pouvons nous justifier pour un petit et pauvre pays comme le Sénégal les points suivants : - Le train de vie de l'état, - Les détournement  - Les investissement non nécessaires ou inutiles etc...... - Sans oublier le non respect du travail bien fait et de la mentalité de s'enrichir coût au coût. Au finish quand on parle de l'état on se réfère à la médiocrité et quand on parle du privée étranger on pense à l'excellence. Pourtant les travailleurs de l'état sont les plus formés mais ils ont la malchance d'être dans un système médiocre.

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    reply_author il y a 1 an

    Krimo, il ne passera rien du tout en 2024 et les voyous resteront en tôle. Voys voulez quoi? Que l'on laisse les bandits mettre le pays à feu et à sang pour que vôtre gourou violeur et menteur patenté accède au pouvoir? Mais vous dormez ! Tous ceux qui ont introduit frauduleusement, hébergé et participé à sa tentative de fuite seront identifiés et mis au gnouf, même s'il faut créer des fourrières. 

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    reply_author il y a 1 an

    Ridicule, le soit disant malfaiteur est libéré et vous emmerdez vos compatriotes.

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    Mais il y a 1 an

    Oh les menteurs de lapr , les répondeurs automatiques au prix d'un sandwich par jour , Mollah a la nationalité espagnole pour ton information sale p....

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    MISTER T il y a 1 an

    Quand on se trouve dans un pays où la grande majorité des citoyens est analphabète et inculte, et où la justice et la presse sont corrompues, on peut se permettre de travestir la vérité et de manipuler la population, surtout lorsque l'on détient le pouvoir et les fonds publics et qu'une partie de l'élite est pourrie et s'accapare tout. Les avocats qui se sont engagés dans la représentation du pouvoir devraient avoir honte, car ils viennent de participer à une manipulation basée sur des mensonges. Il est nécessaire de se poser les vraies questions concernant cette affaire : Le pouvoir avait en face de lui un opposant très populaire qui avait su redonner de l'espoir à la jeunesse en adoptant un discours de vérité. Son engagement avait débuté à l'assemblée nationale, où pendant toute une législature, il avait tenu tête aux gouvernants en dénonçant leur gestion désastreuse, leurs actes de prédation et leurs mensonges. À partir de ce moment, l'objectif de l'État était de neutraliser cet empêcheur de profiter des avantages de la république. Lors des élections pour le renouvellement des députés, avec l'aide d'une personne comme Khalifa Sall, tout avait été orchestré pour que ce défenseur de la vérité, ce "Robin des Bois", ne siège plus à l'assemblée. Sa liste de candidats avait été invalidée. Malgré cela, sous son leadership, un groupe important d'opposition avait réussi à entrer à l'assemblée. Malgré son absence à l'assemblée, ce défenseur de la vérité et de la jeunesse continuait de gagner en popularité. Le pouvoir, qui le surveillait de près, avait profité d'une fréquentation malheureuse dans un salon de massage pour soudoyer la masseuse et monter une affaire de viol à son encontre. Cette situation sentait le complot à des kilomètres. L'affaire avait été amplifiée de manière exagérée jusqu'à aboutir à une parodie de procès, où face à l'incapacité de prouver un viol, le juge avait ressorti un ancien texte relatif à un détournement de jeunesse, un délit qui n'existe nulle part ailleurs dans le monde. Parallèlement, pour maximiser les chances de le neutraliser, un ministre de la république, visé par un rapport sur des détournements de fonds, l'avait accusé de diffamation. Tout cela visait à neutraliser politiquement ce turbulant opposant. Pendant ce temps, de nombreuses plaintes de l'opposant étaient restées sans suite jusqu'à ce jour. Son avocat Juan Branco avait été empêché d'entrer dans le pays, et le gouvernement avait prétendu le dépôt d'un mandat d'arrêt international qui n'a jamais existé. Malgré cela, Branco avait eu le courage de revenir au Sénégal pour participer à une conférence de presse et défier le pouvoir. Lorsqu'il avait été remis aux autorités par la Mauritanie, le gouvernement avait reçu un cette patate chaude qu'il s'était empressé de refouler après une prétendu inculpation de plusieurs crimes.   Ainsi, lorsque les avocats de l'État évoquent son nom, c'est un véritable délire d'hypocrisie. La jeunesse, convaincue par les paroles de vérité d'Ousmane Sonko, s'était mobilisée lors de multiples manifestations. En réponse, l'État avait utilisé sa police, sa gendarmerie et ses nervis pour réprimer violemment, aboutissant à la mort de plusieurs dizaines de personnes. Jusqu'à ce jour, le procureur de la république n'avait ouvert aucune enquête sur ces meurtres. Pour neutraliser définitivement l'opposant, on lui avait attribué plusieurs chefs d'accusation criminels dans le but de le maintenir en détention provisoire pendant une période prolongée, au moins jusqu'après les élections. Durant cette période, tous les efforts sont faits pour l'empêcher de communiquer avec l'extérieur et d'apporter son soutien à un candidat de sa tendance politique. Pour renforcer davantage cette entreprise diabolique visant à neutraliser Ousmane Sonko, l'État mobilisait actuellement sa presse corrompue, ses mercenaires de la plume, des avocats peu scrupuleux à la recherche de profits faciles, ainsi que des répondeurs automatiques, afin de saturer l'espace public et médiatique de propagande anti-Sonko. De faux attentats et des attaques sont organiées par le pouvoir pour le coller sur le dos des partisants de Sonko. Le mot terrorisme est devenu leur argument passu pour emprisonner plus de milles citoyens inoncents. La terreur ayant pour but de museler tous ceux qui osaient donner leur opinion. A ce jour, en dehors de ceux de la diaspora, plus personne n'ose critiquer au Sénégal cette gouvernance mafieuse. Une armée de mercenaires de la plume est mobilisée pour soit disant répondre aux critiques des intellectuels  qui osent encore dénoncer ce vent d'injustice qui s'abat sur le Sénégal. Toutefois, comme le dit un proverbe sénégalais, "Kou Beuga Dé Wékhou", celui qui va mourir se débattra. Ce pouvoir est conscient de sa fin imminente. Dans quelques mois, il sera balayé. D'ici là, au sein de son camp compsé d'hyennes assoifées de pouvoir, la bataille sera bientôt déclarée ; on attend le début du spectacle pour compter les points. Ainsi, tous ces événements ne font que renforcer le destin inéluctable de la chute de ce pouvoir. Nous vous attendons dans les bureaux de vote dans quelques mois quoique conscient de votre chute, vous allez peut être nous sortir de votre chapeau un recul de deux ans ou un parainage de laissant concourir que votre poulain et quelques pantins à votre solde.

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    Ndoye il y a 1 an

    Je lance un appel aux forces de defense et de sucurite pour venger leurs freres d'armes Didier Badji et Fulbert Sambou qui ont ete lachement assassines par Macky Sall. Il faut en finir avec Macky et son regime et les ceux qui assurent sa protection rapprochee sont mieux places pour le faire et devenir ainsi des heros de la Nation pour l'eternite. Le Senegal est devenu un prison a ciel ouvert ou personne n'est libre de s'exprimer a haute voix. Les prisons de macky sont pires que les camps de concentration des nazis. l'administration senegalaise est transformee en un Ghestapo qui n'a plus qu'un seul role celui de traquer, de tuer ou de jetter en prison quiconque ose exprimer une pensee contraire a celle de macky sall. Les senegalais vivant a l'etranger n'osent plus aller rendre visite a leurs familles au Senegal parceque plusieurs d'entre eux ont disparu des qu'ils sont arrives a l'aeroport de Ndiass. Il faut sauver le Senegal!!!! c'est imperatif. Mais le peuple senegalais ne peut pas compter sur les chefs grades de l'armee de la police et de la gendarmerie. Le peuple compte sur les moins grades qui assurent la securite de macky et de sa famille.  La seule solution est au Senegal c'est l'assassinat de Macky Sall par les elemnts patriotes des forces de l'ordre Il faut sauver le Senegal!!!!!. Allah est avec les Patriotes, Vive le Senegal et qu'Allah benit le Senegal       

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    reply_author il y a 1 an

    Tu me pares d'un État de merde. Cet Etat ne mérite aucun respect....Un Etat se réduit à un seul homme de merde n'est pas un Etat. C'est une grosse merde, ton Etat.

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    reply_author il y a 1 an

    Ana Juan CPI ? Il ne peut même pas faire libérer ses Complices naane ay maa ngui dem CPI !! Fou plainte bi tolou ? Wala waa CPI daniou dieul vacances ?  Je déteste le sénégalais qui se déteste

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    reply_author il y a 1 an

    Ton argumentaire est trop simpliste. Que fais tu de l'assertion "Nulle n'est censée ignorer la loi". 

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    Francia il y a 1 an

    Juan Branco, l'une des personnalités admirables de France

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