[En route pour la CAN] Grand Stade de Tanger : Une renaissance de classe mondiale, territoire des Lions du Sénégal
Le Grand Stade de Tanger va accueillir les matchs de poule des Lions du Sénégal, lors de la CAN-2025. Construit au début des années 2000, il a été repensé. Aujourd’hui, l’infrastructure sportive tangéroise a une capacité portée à 75 600 places, faisant de lui l’une des plus grandes infrastructures sportives d’Afrique. Cette modernisation, menée selon les standards les plus stricts du cahier des charges FIFA 2030, propulse Tanger dans le cercle des métropoles capables d’accueillir les plus prestigieuses compétitions internationales.
Au-delà de sa dimension sportive, le stade constitue le cœur battant de la cité des Sports de Tanger, un complexe de près de 74 ha. Cet espace, conçu pour intégrer le sport dans le quotidien des citoyens, combine installations modernes et vastes zones vertes dédiées aux activités de plein air.
Le Grand Stade de Tanger se distingue par ses trois niveaux de gradins. Il est doté d’une tribune VIP d’une capacité de 1 300 places et une autre de 210. Il possède aussi 142 loges réparties sur trois niveaux, pouvant accueillir de 10 à 20 personnes chacune.
Le stade est équipé d’une pelouse hybride. Il est doté de quatre vestiaires d’équipes, des salles de massage, de cryothérapie, des salles d’échauffement entièrement équipées, une zone mixte de plus de 500 m², et des bureaux dédiés aux staffs techniques.
Le Grand Stade de Tanger détient un centre d’opérations de surveillance (VOC) ultramoderne, doté de près de 900 caméras couvrant l’ensemble du site, ainsi que d’un système de reconnaissance faciale destiné à fluidifier les accès et renforcer la sûreté des spectateurs.
Sublimé par un éclairage nocturne, le Grand Stade de Tanger incarne désormais l’ambition internationale de la ville du détroit.







Commentaires (6)
C’est à dire ignitante, incompétente et traître ! DIOMAYE dégage ! La Fédération doit dégager aussi avant la fin de leur mandat !
Par contre chez nous notre stade /olympique/ ne sert à rien mais coûte une fortune pour son entretien et le remboursement des milliards qu'il a couté Seul endroit à faire visiter contre paiement , les toilettes en marbre...oui, oui ..dans lesquelles les gueux ont tout loisir de satisfaire leurs besoins naturels dans un décor des Mille et Une Nuit...c'est compris dans le prix du billet.
Notre cher président Diomaye Fall a été élu jusqu'en 2029, donc tu la ferme Karima du Qatar ?🪱🦍
Dégradation momentanée ou retour aux pires heures du blocus qui a asphyxié Bamako durant le mois de novembre ? Samedi 6 décembre, au moins 15 camions-citernes ont été attaqués et incendiés près de la localité de Bougouni, dans le sud du Mali, alors qu’ils faisaient route vers la capitale. Des vidéos des camions en flammes ont été publiées sur les réseaux sociaux, et des sources jointes ont confirmé l’information ainsi que l’authenticité des images
L’attaque, revendiquée par le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans (GSIM), ne suffit pas, pour l’heure, à remettre en cause l’amélioration ressentie par les habitants de Bamako. Alors que début novembre la ville était au bord de l’asphyxie, privée de carburant et d’électricité à la suite du blocus imposé par le groupe djihadiste affilié à Al-Qaida, la capitale malienne a pu être ravitaillée, d’abord fin novembre, puis le 3 décembre.
« Depuis la semaine dernière, le ravitaillement est normal. Il n’y a plus de files d’attente à Bamako, notamment sur la rive droite [du fleuve Niger]. A ce jour, lorsqu’on se rend à la station, on peut se faire servir sans difficulté », indiquait, le 4 décembre, un résident, qui n’a pas noté de nouvelle dégradation depuis l’attaque de samedi. Le même précise toutefois que sur « la rive gauche de la ville, où il y a moins de stations-service
Dégradation momentanée ou retour aux pires heures du blocus qui a asphyxié Bamako durant le mois de novembre ? Samedi 6 décembre, au moins 15 camions-citernes ont été attaqués et incendiés près de la localité de Bougouni, dans le sud du Mali, alors qu’ils faisaient route vers la capitale. Des vidéos des camions en flammes ont été publiées sur les réseaux sociaux, et des sources jointes ont confirmé l’information ainsi que l’authenticité des images
L’attaque, revendiquée par le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans (GSIM), ne suffit pas, pour l’heure, à remettre en cause l’amélioration ressentie par les habitants de Bamako. Alors que début novembre la ville était au bord de l’asphyxie, privée de carburant et d’électricité à la suite du blocus imposé par le groupe djihadiste affilié à Al-Qaida, la capitale malienne a pu être ravitaillée, d’abord fin novembre, puis le 3 décembre.
« Depuis la semaine dernière, le ravitaillement est normal. Il n’y a plus de files d’attente à Bamako, notamment sur la rive droite [du fleuve Niger]. A ce jour, lorsqu’on se rend à la station, on peut se faire servir sans difficulté », indiquait, le 4 décembre, un résident, qui n’a pas noté de nouvelle dégradation depuis l’attaque de samedi. Le même précise toutefois que sur « la rive gauche de la ville, où il y a moins de stations-service
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