Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde.
Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination.
Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux.
C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction.
Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable.
Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue?
Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde.
Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination.
Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux.
C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction.
Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable.
Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue?
Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde.
Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination.
Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux.
C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction.
Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable.
Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue?
Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
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donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
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Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde. Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination. Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux. C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction. Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable. Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue? Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde. Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination. Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux. C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction. Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable. Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue? Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les vaccins du covid 19 administrés en pleine période de pandémie sont responsables de l'émergence des nouvelles vagues de la maladie (2ème, 3ème, et bientôt 4ème, 5ème etc.?). Ces vaccins conduisent simplement le virus à muter perpétuellement en opérant des changements génétiques pour devenir à la fois plus virulent et plus infectieux, d'où le nombre de plus en plus élevé de jeunes qui sont touchés par la maladie alors que cette frange de la population était au départ totalement épargnée par la maladie. Mais ils rendent aussi la maladie beaucoup plus transmissible, d'où sa propagation fulminante qui lui permet de se répandre désormais comme une trainée de poudre à travers le monde. Il est clair que ces variants, au nombre d'une vingtaine actuellement à travers le monde, ont tous fait leur apparition dans les foyers où la vaccination a été pratiquée massivement sur des populations, peu de temps après, voire concomitamment à la période de vaccination. C'est ainsi par exemple que nous sommes présentement confrontés au variant indien dit variant Delta, lequel a été identifié pour la première fois en Inde, et qu'on garde fraichement en mémoire le variant britanique dit Alpha, le variant Béta (sud-africain), le variant Gamma (brésilien), le variant Epsilon (californien), le variant Lamda (péruvien), tous identifiés pour la première fois au plus fort des campagnes de vaccination. Malheureusement, l'OMS continue de demander aux gens d'aller se faire vacciner et elle mène en même temps une campagne de sensibilisation mondiale qui essaie d'imputer l'apparition des variants au fait que tout le monde ou bien une masse critique de personnes ne s'est pas fait vacciner. Ce qui est évidemment faux et fallacieux. C'est le contraire qui se passe, en vérité. Car il est clair et évident maintenant, ne serait-ce qu’au regard des données statistiques relatives à la propagation de la maladie et à la vaccination, que le fait de vacciner est la seule et unique cause de l'apparition des variants. Il est tout aussi clair que pour mettre un terme définitif à la pandémie, pour l'éradiquer du monde, il n y a pas deux solutions : la solution consiste simplement à délaisser la vaccination, à y renoncer, à y mettre urgemment un terme définitif pour ne plus recourir qu'aux thérapies curatives. En effet, il est difficile, voire impossible de prévenir une épidémie ou pandémie de grippe virale par le recours à la vaccination des personnes durant la période même de la pandémie, comme l'a si bien dit le professeur Didier Raoult qui a fait savoir que l'affaire des vaccins lui ressemble à de la pure utopie, voire à de la science-fiction. Pour résumer, disons que la vaccination contre le covid est une aberration scientifique, une abomination au plan humain si on sait qu'elle va bientôt conduire le monde au bout d'une catastrophe sanitaire, un gouffre macabre. A moins de la freiner maintenant et tout de suite, avant que la situation ne dégénère pour devenir totalement incontrôlable. Dans un entretien sur la radio 103 FM au sujet de la reprise du coronavirus en Israël, l'ancien directeur général de la santé d'Israel, le professeur Gabi Barbash, notant une recrudescence forte et une présence de « 40% des nouveaux cas parmi les personnes déjà vaccinées », a crié son désarroi et a demandé « si on allait arrêter avec le tout vaccinal, marquer une pause pour réfléchir et recourir aux thérapies curatives » ou bien si on comptait poursuivre dans cette voie aberrante sans issue? Ainsi, l'OMS est devant une responsabilité historique, celle de prendre les bonnes décisions pour la préservation de l'espèce humaine dont la survie est gravement menacée, non pas par l'existence du Covid-19, mais par le recours à la vaccination pour soi-disant le prévenir. Elle qui a gagné la confiance aveugle des populations en matière d'orientations de politiques de santé publique, sait pertinemment que ses décisions impacteront sans nul doute l'avenir de l'humanité, notamment sa survie.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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