Après 70 ans d'existence, le Conseil national de la Jeunesse du Sénégal s'engage vers une refondation
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités du secteur jeunesse, emploi et migration, à travers le Programme d’appui à la société Civile (PASC), soutenu par le Gouvernement du Sénégal avec le financement de l’Union européenne, le Conseil national de la jeunesse (CNJS) a entrepris une mission indépendante pour évaluer son organisation.
Des travaux menés sur le terrain en collaboration avec toutes les parties prenantes, ainsi que des examens de documents et des échanges directs avec les jeunes, ont abouti à un rapport. Celui-ci a été présenté aux membres du comité ad hoc, composé du Ministère de la Jeunesse, du Réseau des Think Tank, de la Coordination du PASC et des membres du bureau exécutif national du CNJS.
Dans cette optique, le bureau du Conseil national de la jeunesse du Sénégal a organisé un atelier visant à formuler des propositions de réformes pour le CNJS, suite aux recommandations du consultant indépendant. Cet atelier a impliqué la participation du Ministère de la Jeunesse, de l’Assemblée Nationale, du Conseil Économique Social et Environnemental, de l’Association des Départements du Sénégal ainsi que de l’Association des Maires du Sénégal, dans un souci d'inclusion.
L'objectif de cet atelier était de partager ces recommandations avec les parties prenantes afin de définir un modèle de réforme approprié pour la refondation d'un CNJS solide, capable de répondre aux besoins et aux aspirations de la jeunesse sénégalaise.
Auteur: Seneweb
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Un jeune de 70 ANS... Pendant ce temps les ados périssent en haute mer !!!!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Peu après l’annonce de la victoire d’Ali Bongo pour un troisième mandat ce mercredi matin, des militaires ont affirmé à la télévision prendre le pouvoir. Des tirs ont été entendus à Libreville. Entre l’annonce de la victoire d’Ali Bongo Ondimba ce mercredi 30 août pour un troisième mandat et la déclaration de militaires à la télévision affirmant prendre le pouvoir, seules quelques minutes se seront écoulées. Alors que le président au pouvoir depuis 14 ans a remporté l’élection présidentielle de samedi avec 64,27% des suffrages exprimés, un groupe d'une douzaine de militaires gabonais a annoncé, dans un communiqué lu sur la chaîne de télévision Gabon 24 abritée au sein de la présidence, l'annulation des élections et la dissolution de «toutes les institutions de la République». Après avoir constaté «une gouvernance irresponsable, imprévisible qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos (...) nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place», a déclaré un de ces militaires disant s'exprimer au nom d'un «Comité de transition et de restauration des institutions». Ils ont également annoncé que les frontières étaient «fermées jusqu’à nouvel ordre». Pendant cette déclaration, des journalistes de l'AFP ont entendu des tirs d'armes automatiques à Libreville, la capitale.
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Ndeysane ma yeurame ndawi senegal amouniou ndjite Dou ministre d'où koulene di représenter motax niongui des si gal gui reQ renouveler le conseil mo geune réforme d'abord
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