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Ziguinchor : 1re région en termes de dossiers validés et 2e en termes d'immatriculation des deux-roues

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Malgré les remous d'il y a quelques semaines, les opérations d'immatriculations des deux-roues se déroulent bien à Ziguinchor. Selon le directeur général des Transports routiers Valdiodio Ndiaye, "il y avait du bruit à Ziguinchor. Pourtant, Ziguinchor est la deuxième région en termes d'immatriculation et la première en termes de dossiers validés, avec 2 % de rejet par rapport aux autres régions où l'on a une moyenne de 35 à 40 %". 
Cependant, sur 1 224 dossiers  enrôlés pour la première semaine,  seules 170 cartes grises ont été produites, a renseigné le directeur général des Transports routiers. Valdiodio Ndiaye précise que ces cartes seront  disponibles si la taxe finale est payée. 
"On peut enrôler 1 000, 15 000, mais tant que le propriétaire de la moto ne paie pas la carte grise...", souligne le directeur général des Transports routiers dans cette vidéo.
Auteur: Max Euclide KANFANY Correspondant à Ziguinchor.
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Comments

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    il y a 3 mois

    Filles chaudes vous attendent sur - - www.Hot4.eu

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    reply_author il y a 3 mois

    Remboursement à la DER aussi ziguinchor est toujours en tête depuis toujours.

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    reply_author il y a 3 mois

    Remboursement à la DER aussi ziguinchor est toujours en tête depuis toujours.

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    il y a 3 mois

    Filles chaudes vous attendent sur - - www.Hot4.eu

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    il y a 3 mois

    Après l'immatriculation il faudra former ces jeunes conducteurs insouciants et ignorants qui dépassent à droite. C'est bien d'avoir une moto en règle mais c'est plus important d'avoir un permis de conduire pour circuler. Il faut dire la vérité aux jeunes.

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    il y a 3 mois

    Après l'immatriculation il faudra former ces jeunes conducteurs insouciants et ignorants qui dépassent à droite. C'est bien d'avoir une moto en règle mais c'est plus important d'avoir un permis de conduire pour circuler. Il faut dire la vérité aux jeunes.

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    Loi il y a 3 mois

    La mafia ethniciste pastef raquête le contribuable pour son oligarchie

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    Remarque il y a 3 mois

    Favoritisme pour le nord remplacé par favoritisme pour le sud?

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    PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... il y a 3 mois

    PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ......PLAN DIOMAYE EN MARCHE ......PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ...... PLAN DIOMAYE EN MARCHE ......

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    Syndicat des deux roues le sad il y a 3 mois

    Vous avez r aison de souligner cet aspect. La formation des conducteurs avant leur immatriculation aurait été une démarche plus stratégique et responsable de la part de l'État. Cela aurait permis : 1. Une meilleure sécurité routière : Des conducteurs bien formés comprennent mieux le code de la route et les bonnes pratiques de conduite, réduisant ainsi les accidents. 2. Une professionnalisation du secteur : La formation aurait contribué à élever le statut des conducteurs, en leur fournissant des compétences nécessaires pour exercer leur activité dans le respect des normes. 3. Une adhésion plus large au processus de régularisation : En formant les conducteurs, l'État aurait pu les sensibiliser aux avantages de l'immatriculation et de l'identification, favorisant leur adhésion au projet. 4. Une réduction des tensions : Une approche progressive, débutant par la formation, aurait pu minimiser les frustrations et éviter les arrestations jugées arbitraires par certains. L'erreur ici semble être une inversion de priorités : l'immatriculation a été mise en avant sans préparer suffisamment les conducteurs à répondre aux exigences réglementaires. Cela peut freiner leur intégration et nuire à l'acceptation des mesures mises en place.

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    Syndicat des deux roues le sad il y a 3 mois

    Vous avez r aison de souligner cet aspect. La formation des conducteurs avant leur immatriculation aurait été une démarche plus stratégique et responsable de la part de l'État. Cela aurait permis : 1. Une meilleure sécurité routière : Des conducteurs bien formés comprennent mieux le code de la route et les bonnes pratiques de conduite, réduisant ainsi les accidents. 2. Une professionnalisation du secteur : La formation aurait contribué à élever le statut des conducteurs, en leur fournissant des compétences nécessaires pour exercer leur activité dans le respect des normes. 3. Une adhésion plus large au processus de régularisation : En formant les conducteurs, l'État aurait pu les sensibiliser aux avantages de l'immatriculation et de l'identification, favorisant leur adhésion au projet. 4. Une réduction des tensions : Une approche progressive, débutant par la formation, aurait pu minimiser les frustrations et éviter les arrestations jugées arbitraires par certains. L'erreur ici semble être une inversion de priorités : l'immatriculation a été mise en avant sans préparer suffisamment les conducteurs à répondre aux exigences réglementaires. Cela peut freiner leur intégration et nuire à l'acceptation des mesures mises en place.

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    reply_author il y a 3 mois

    Vous avez r aison de souligner cet aspect. La formation des conducteurs avant leur immatriculation aurait été une démarche plus stratégique et responsable de la part de l'État. Cela aurait permis : 1. Une meilleure sécurité routière : Des conducteurs bien formés comprennent mieux le code de la route et les bonnes pratiques de conduite, réduisant ainsi les accidents. 2. Une professionnalisation du secteur : La formation aurait contribué à élever le statut des conducteurs, en leur fournissant des compétences nécessaires pour exercer leur activité dans le respect des normes. 3. Une adhésion plus large au processus de régularisation : En formant les conducteurs, l'État aurait pu les sensibiliser aux avantages de l'immatriculation et de l'identification, favorisant leur adhésion au projet. 4. Une réduction des tensions : Une approche progressive, débutant par la formation, aurait pu minimiser les frustrations et éviter les arrestations jugées arbitraires par certains. L'erreur ici semble être une inversion de priorités : l'immatriculation a été mise en avant sans préparer suffisamment les conducteurs à répondre aux exigences réglementaires. Cela peut freiner leur intégration et nuire à l'acceptation des mesures mises en place.

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    Syndicat des deux roues le sad il y a 3 mois

    Vous avez r aison de souligner cet aspect. La formation des conducteurs avant leur immatriculation aurait été une démarche plus stratégique et responsable de la part de l'État. Cela aurait permis : 1. Une meilleure sécurité routière : Des conducteurs bien formés comprennent mieux le code de la route et les bonnes pratiques de conduite, réduisant ainsi les accidents. 2. Une professionnalisation du secteur : La formation aurait contribué à élever le statut des conducteurs, en leur fournissant des compétences nécessaires pour exercer leur activité dans le respect des normes. 3. Une adhésion plus large au processus de régularisation : En formant les conducteurs, l'État aurait pu les sensibiliser aux avantages de l'immatriculation et de l'identification, favorisant leur adhésion au projet. 4. Une réduction des tensions : Une approche progressive, débutant par la formation, aurait pu minimiser les frustrations et éviter les arrestations jugées arbitraires par certains. L'erreur ici semble être une inversion de priorités : l'immatriculation a été mise en avant sans préparer suffisamment les conducteurs à répondre aux exigences réglementaires. Cela peut freiner leur intégration et nuire à l'acceptation des mesures mises en place.

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