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Cojer de la Biscuiterie en ordre de bataille pour la présidentielle : Abdou Karim Fofana encourage l’élargissement des bases de l’APR

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Cojer de la Biscuiterie en ordre de bataille pour la présidentielle : Abdou Karim Fofana encourage l’élargissement des bases de l’APR

Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises, Abdou Karim Fofana, par ailleurs porte-parole du Gouvernement a procédé, le dimanche 15 mai 2023, au lancement « un jeune, un comité » initié par Cojer Dakar. Le coordonnateur de Cojer Biscuiterie, Amadou Niang a eu a monté des comités. L’objectif fixé, c’est de monter 5 comités de 50 personnes.  Le Maire de la commune de Biscuiterie et le coordonnateur national de Cojer, Moussa Sow étaient présents à cette rencontre.
« C’est le parti qui a demandé qu’on monte des comités. Ces gens qui sont-là, ne sont pas des militants mais des sympathisants. Nous avons réussi à tout organiser en l’espace de trois jours », a notifié Amadou Niang. Ce dernier a félicité la démarche du Ministre du Commerce de la Consommations et des Petites et Moyennes Entreprises, Abdou Karim Fofana qui a joué un rôle clé dans la concrétisation de cette initiative. « Notre mission en tant que jeunes du parti, c’est de descendre sur le terrain, élargir nos bases. La jeunesse a dit oui au Président de la République Macky Sall. Le Président doit avoir un deuxième quinquennat au regard de ses réalisations », a défendu Amadou Niang. Au juste, il a lancé un appel à l’unité et aussi à mobiliser pour la réélection du Président de la République.  « Que tous les jeunes se réunissent autour de l’essentiel, c'est-à-dire, la réélection du Président de la République », a convié Amadou Niang.  
Le Ministre du Commerce, Abdou Karim Fofana, a abondé dans le même sens. Il a lancé un appel à la paix et à l’unité. Il n’a pas manqué d’encourager les jeunes à maintenir ce rythme de la mobilisation.  Il  les a exhortés à multiplier ces actions, c'est-à-dire, à occuper le terrain.  « Nous devons connaître les enjeux du moment et du futur », s’est exprimé le Ministre Abdou Karim Fofana qui a saisi cette occasion pour parler du rapport de Reporters sans Frontières.
« Le Sénégal respecte le principe de liberté d’expression non pas pour des classements, mais par principe. Nous sommes un pays ouvert, un pays de pluralité médiatique. Il est difficile d’accepter de voir des médias internationaux comme Reporters sans Frontières classer le Sénégal dernier comme un pays qui expulse les médias. Nous accueillons à bras ouverts les journalistes des organes internationaux. Il y a toujours des émissions politiques, sociales et économiques qui sont diffusées et nous n’avons jamais eu de problèmes », objecte le Ministre.  
Toutefois, il précise qu’il y a : « une ligne à ne pas dépasser. La liberté d’expression est un principe mais aussi le droit à ne pas être diffamer, à ne pas subir d’injustice des autres. C’est un droit pour les citoyens ».
Le paradoxe Ousmane Sonko
Le porte-parole du Gouvernement s’est prononcé sur la dernière sortie de F24. Il a relevé la divergence qui s’est révélée au grand jour.  « La dernière manifestation du F24 a laissé apparaître les caractéristiques anti-démocratiques et antirépublicaines de cette organisation. Une organisation ou les gens n’acceptent pas les pluralités. Vous voyez, ce qui s’est passé à la manifestation. Certains leaders ne pouvaient pas prendre la parole à cause des huées et des injures. " regrette-t-il. Toutefois, il a remercié les hommes qui ont eu le courage de répondre au dialogue. « Le dialogue, c’est la base de la paix et de la stabilité. Il y a des moments de politique et des moments d’échanges sur l’essentiel », a constaté le Ministre.
Abdou Karim Fofana relève le paradoxe le comportement du leader de Pastef qui ne s’est pas présenté au tribunal lors de son procès l’opposant à Mame Mbaye Niang. « Nous avons des institutions qui fonctionnent, il est étrange de voir des hommes politiques comme Ousmane Sonko qui critique la justice le matin et le soir faire des recours en cassation. Soit on a confiance en la justice soit on ne lui fait pas confiance » a-t-il conclu. 
Auteur: Ndèye Astou KONATÉ
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Comments

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    il y a 1 an

    son adresse?

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    LE PROFIL DU VIOLEUR il y a 1 an

    Le profil du violeur et ses caractéristiques Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants. 1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail. 2. Le pouvoir, pas le sexe Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché. 3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter. Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. . 4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence. Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle . 5. Peu de capacité d'empathie  l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation. 6. Aucune anticipation des conséquences Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres. 7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille. Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte. 8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres. 9. Il ne s'agit pas de malades mentaux Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font. 10. Ils sont pour la plupart totalement imputables Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables . 11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte . 12. Blâmer la victime Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation  

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    reply_author il y a 1 an

    yaw doule

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    . Do il y a 1 an

    Le président de la République Macky Sall serait pris par une sorte d’ivresse du pouvoir.  La figure de proue de la société civile sénégalaise, sur la question du mandat, juge « irrationnelle » la posture de Macky Sall. Il a dit, répété et écrit qu’il était à son second et dernier mandat. La constitution est claire dans l’esprit comme dans la lettre : ‘Nul ne peut faire plus de deux mandat consécutifs’. Alors vouloir nous faire croire qu’il a droit à un deuxième quinquennat, c’est nous prendre pour des demeurés. C’est inacceptable. C’est totalement irrationnel. Du point de vue de l’interprétation, on pourrait dire que monsieur Macky Sall est tombé sous l’effet de la drogue qu’est l’exercice du pouvoir. Le pouvoir est une drogue très dangereuse qui rend fou.  Cette ivresse du pouvoir est,  la résultante de ce qu’il qualifie « d’hyper-présidentialisme monarchisant » dans lequel, celui qui exerce le pouvoir se prend pour la « projection de Dieu sur terre.  « Macky Sall a, lui-même, dit que les textes sont très clairs sur la question du 3e mandat et qu’il suffit d’être démocrate pour les respecter. Donc, la situation actuelle prouve qu’on est dans une démocratie sans démocrates. (…) Macky Sall se prend pour la projection orthogonale de Dieu sur terre, avec des pouvoirs de vie et de mort sur tout le monde. C’est un hyper-présidentialisme monarchisant qui est en train de s’ériger dans notre pays et ça a des conséquences négatives »,   

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    Koro il y a 1 an

    The rich boy une fortune subite et un bien immobilier à plusieurs centaines de millions dans un quartier chic de Dakar 

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    il y a 1 an

    Impopulaires que vous êtes, safoulene soukeur ni khorom.Wasalam 

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