Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Mali : Destruction d’une base terroriste par l’armée
Une vingtaine de civils ont été tuées lundi à l'aube dans le nord du Mali quand leurs véhicules ont été pris pour cible, ont affirmé à l'AFP des sources locales, accusant des mercenaires du groupe russe Wagner et des militaires maliens, l'armée malienne évoquant de son côté une "série d'accrochages" avec "des groupes armés terroristes".
Dans un communiqué publié le samedi 8 février dernier, l'État-major général des armées du Mali a annoncé la « neutralisation » de plusieurs terroristes auteurs de l’attaque d’un convoi sous escorte, la veille, sur l’axe Gao - Ansongo.
Des jihadistes présumés ont tué au moins 32 personnes après avoir ouvert le feu sur un convoi de plusieurs dizaines de véhicules civils escorté par l'armée et les mercenaires du groupe russe Wagner vendredi dans le nord du Mali...
Au moins dix personnes ont été tuées vendredi dans le nord du Mali lors de l'attaque par des jihadistes présumés d'un convoi de véhicules escorté par l'armée malienne et...
Le Tribunal Militaire de Bamako a ouvert ses portes le mardi 28 janvier 2025 pour une audience ordinaire correctionnelle sous la présidence du Procureur, le Magistrat Colonel Soumaïla Bagayogo. La session a traité deux affaires majeures, impliquant un total de 11 prévenus, dont des militaires de divers grades ainsi que des civils. Les accusations portées dans ces affaires, d’une grande sensibilité pour la sécurité nationale, concernent un trafic d’armes et de munitions de guerre ainsi qu’une affaire de détention et de consommation de stupéfiants.
Le 26 janvier 2025, l’armée malienne a annoncé la neutralisation d’Abou Azimane, un chef jihadiste local tristement célèbre pour ses exactions et attaques contre les populations et les positions militaires du pays. Cet important succès a eu lieu dans le secteur d’Echell, au nord de Niafunké, dans la région de Tombouctou, après une opération menée par les Forces armées maliennes (FAMA).
Limogé en novembre 2024, l’ancien Premier ministre malien Choguel Maïga reste très présent sur les réseaux sociaux.
L'État-Major Général des Armées maliennes a publié un communiqué faisant état d'une opération réussie menée par les Forces Armées Maliennes (FAMA) contre des groupes terroristes dans la région de Mopti, plus précisément à Diangassagou.
Le 6 janvier 2024, aux environs de 22h00, les Forces Armées Maliennes FAMA, ont brillamment repoussé une attaque terroriste d'envergure à Nioro du Sahel.
Au Mali, l’armée a capturé, le vendredi 3 janvier 2025, dans le secteur d’Amasarakad, Mahamad Ould Erkehile alias "Abou Rakia", alias "Abou Hach", un chef de premier plan de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) et plusieurs de ses combattants.
Au moins huit civils ont été tués dans le centre du Mali, a-t-on appris dimanche de source humanitaire, auprès d'élus locaux, d'un proche et d'une coalition indépendantiste du nord, le Front pour la libération de l'Azawad (FLA), qui accuse l'armée malienne et ses alliés russes de Wagner.
Les relations diplomatiques entre le Mali et l'Algérie connaissent une nouvelle escalade, marquée par des échanges tendus sur la lutte contre le terrorisme au Sahel. La dernière passe d'armes entre les deux pays est survenue après les déclarations du ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, qui a réaffirmé la position de son pays en faveur d'une solution politique au Mali, rejetant fermement l'option militaire.
Le Mali a dénoncé mercredi "la persistance des actes d'ingérence" de l'Algérie voisine, ancien pays médiateur pour la paix dans sa partie nord confrontée à une rébellion touareg, que Bamako accuse de soutenir les "groupes terroristes", dans un communiqué.
Les forces armées maliennes (FAMA) ont mené une opération décisive contre des groupes armés terroristes, (GAT) à Saye, dans la région de San, le 28 décembre 2024, où elles ont repoussé une attaque complexe lancée à l'aube.
L'armée malienne a affirmé lundi avoir capturé "un chef de premier plan" de l'organisation jihadiste Etat islamique au grand Sahara (EIGS) et tué plusieurs combattants lors d'une opération la veille dans l'est du pays.
Dans le contexte actuel du Mali, marqué par une crise sécuritaire, des tensions politiques internes et une instabilité économique, l’analyse des actions du gouvernement de transition et des perspectives pour l’avenir du pays revêt une importance cruciale.
Le dimanche 1er décembre 2024, l’armée malienne a mené une série de frappes aériennes ciblées sur la localité de Tinzaouatène, située à quelques centaines de mètres de la frontière algérienne. Utilisant des drones de précision, cette opération visait des membres du Front de Libération de l’Azawad (FLA), un nouveau mouvement politico-militaire formé la veille par d’anciens leaders rebelles. L’attaque a eu des conséquences dramatiques pour ce groupe récemment constitué, avec la mort de plusieurs de ses figures emblématiques.
Les principaux groupes séparatistes qui affrontent les forces gouvernementales dans le nord du Mali ont annoncé samedi se transformer en "Front de libération de l'Azawad (FLA)", dans un communiqué.
L'armée malienne a annoncé jeudi l'arrestation de six "terroristes" impliqués dans les attaques de la capitale Bamako, qui avaient fait plus de 70 morts mi-septembre, dans un communiqué.