Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
C’est un scénario digne d’un film hollywoodien que les forces de l’ordre ont procédé, hier nuit, pour interpeler des éléments de la sécurité Barthélemy Dias et de la coalition Sàmm Sa Kçddu.
"L'État a failli". Ces propos n'ont pas été tenus par des opposants du pouvoir de Bassirou Diomaye Faye, mais bien par les tenants de ce même pouvoir.
À la suite des scènes de violence notées hier à Saint-Louis, entre les militants de Barthélemy Dias et ceux du Pastef, la coalition Sàmm Sa Kàddu accuse Ousmane Sonko d'être "responsable"
La société civile s'inquiète, après les violences électorales constatées ces derniers jours, qui ont suivi les piques interposées entre Ousmane Sonko et Barthélémy Dias.
Le journaliste Mamoudou Ibra Kane invite le Général Jean Baptiste Tine, ministre de l'intérieur à prendre ses responsabilités.
Si plusieurs autres leaders de Pastef ont directement interpellé Barthélémy Dias avec un discours offensif après la publication d'Ousmane Sonko, Amadou Ba de Pastef, lui, se montre beaucoup plus prudent.
A 5 jours des élections législatives, la campagne électorale prend un tournant inquiétant, avec des violences et des déclarations qui risquent de mettre de l'huile sur le feu.
L’ancien premier ministre Abdoul Mbaye accuse Ousmane Sonko d’inciter à la violence contre Barthélémy Dias et ses partisans, en défiant ainsi l’appel du Président de la République à une campagne apaisée.
C'est le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui a lancé la mèche pour dénoncer l'agression de ses militants et directement accusé Barthélémy Dias d'en être l'instigateur.
De l'électricité dans l'air.
Les scènes de violence qui ont émaillé la caravane de l’inter-coalition Takku-Wallu à Saint-Louis a suscité une sortie incendiaire d’Ousmane Sonko et certains membres de son parti.
La virulente sortie du leader de Pastef, Ousmane Sonko suite aux attaques sanguinaires dont ont été victimes ses militants dans la région de Saint-Louis , ce lundi 11 novembre, contre les autorités étatiques, a fait effet.
Accusé par le leader du Pastef d’être à l’origine des attaques subies par son camp, le maire de Dakar n’a pas tardé à réagir.
La coalition Sàmm Sa Kàddu affirme que son convoi national a été la cible de multiples attaques depuis le lancement de sa campagne électorale.
Une dernière ligne droite électrique. Ce lundi 11 novembre, des scènes de violences électorales ont, à nouveau, été enregistrées.
C’est à Saint-Louis que la coalition Sàmm sa Kàddu a démarré, ce lundi, sa campagne électorale avec une caravane, avant de se rendre à Louga.
Le passage de la caravane de Samm sa Kaddu à Diourbel, la semaine dernière, a été émaillé par des scènes de violences entre les partisans de la coalition dirigée par Barthélémy Dias et ceux de Pastef.
Le déroulement de la campagne électorale permet aux différents candidats en lice de proposer des programmes à l’appréciation des électeurs.
Après dix jours de campagne à l’intérieur du pays, la tête de liste nationale de la coalition Samm sa kaddu était à Dakar ce samedi. Barthélemy Dias a profité d’un meeting à la Médina pour revenir sur les scènes de violences survenues à Diourbel et à l’origine d’une plainte de Pastef contre Anta Babacar Ngom.
Après dix jours de campagne à l’intérieur du pays, la tête de liste nationale de la coalition Samm sa kaddu était à Dakar ce samedi.