L’ancien ministre Bassolma Bazié a été officiellement installé, lundi, comme président de la commission nationale de la Confédération des États du Sahel.
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L’ancien ministre Bassolma Bazié a été officiellement installé, lundi, comme président de la commission nationale de la Confédération des États du Sahel.
Le régime de transition au Burkina Faso a rendu hommage dimanche à Ouagadougou
Le représentant du Burkina Faso, Bassolma Bazié, a tenu un discours offensif
La 78ème Assemblée générale des Nations Unies s'est déroulée la semaine dernière au siège de l’ONU à New York. Le Burkina Faso
Le ministre burkinabé de la Fonction publique Bassolma Bazié a participé à une manifestation politique, samedi dernier dans la ville de Koudougou.
Au Burkina Faso, le ministre du travail et de la fonction publique a rencontré le 23 juin dernier,
Un gouvernement de 23 ministres, dont trois militaires, a été nommé mardi soir par le président de la transition pour diriger le Burkina Faso jusqu'à juillet 2024. Cette équipe sera dirigée par le Premier ministre Apollinaire Joachim Kyelem de Tembela.
Le président par intérim du Burkina Faso, Paul-Henri Damiba, a approuvé, samedi, un nouveau gouvernement composé de 25 ministres. Le ministre de la Défense, ayant servi sous l'ancien président Roch Marc Kaboré, en fait partie.
L’ancien ministre Bassolma Bazié a été officiellement installé, lundi, comme président de la commission nationale de la Confédération des États du Sahel.
Le représentant du Burkina Faso, Bassolma Bazié, a tenu un discours offensif
Le ministre burkinabé de la Fonction publique Bassolma Bazié a participé à une manifestation politique, samedi dernier dans la ville de Koudougou.
Au Burkina Faso, plusieurs organisations de la société civile se sont rassemblées à la Bourse du Travail pour dénoncer la présence de forces étrangères en Afrique.
La police a dispersé une marche de la coalition de syndicats et d’organisations de la société civile à Ouagadougou, qui visait à dénoncer les crimes économiques, la mauvaise gestion de la crise sécuritaire et exiger le départ des forces armées étrangères du territoire burkinabè.
Le désarmement du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), l'unité d'élite auteur du coup d'Etat du 17 septembre au Burkina Faso, dissoute par le gouvernement, causait samedi incertitudes et tension à Ouagadougou.