Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le brouillard plane sur l’avenir politique du Sénégal. Alors que le dialogue national a proposé le 2 juin pour la tenue de l’élection présidentielle, le chef de l’État sortant a juré, ce jeudi, qu’il va quitter ses fonctions le 2 avril.
L'ancienne Première ministre, Aminata Touré, a demandé au Conseil constitutionnel de prendre ses responsabilités, dans le cas où le président Macky Sall n'accepte pas d'organiser une élection présidentielle avant le 2 avril.
Lettre de Macky au conseil constitutionnel, Amnistie: Ultimatum pose le débat avec saa-wolof
Au terme du dialogue national initié par le président de la République Macky Sall, les commissions ont proposé la date du 2 juin pour la tenue de l’élection présidentielle et une réévaluation des dossiers des candidats écartés, pour leur probable réintégration dans la course. Ce qui suppose une reprise du processus électoral.
Invité de "Tolluway" ce jeudi sur Seneweb, Babacar Lo Ndiaye, président de la Convergence des forces républicaines (CFR), a fait une révélation qui risque de faire du bruit.
Après le tweet inattendu du président Macky Sall, ce jeudi matin, annonçant qu'il allait rendre le pouvoir le 2 avril...
Malgré l'absence de date pour la présidentielle, Macky Sall persiste dans son vœu de quitter le pouvoir à la fin de son mandat.
Lors de l’entretien accordé à la RTS, ITV, Le Soleil et Seneweb, jeudi dernier, le Président Macky Sall a déclaré qu’il quittera le pouvoir le 2 avril, martelant que sa décision est irrévocable.
Le Président Macky Sall estime qu’il est le seul détenteur de la prérogative de choisir la date de la présidentielle.
Le chef de l'Etat Macky Sall a fait adopter mercredi par son gouvernement un projet de loi d'amnistie générale en guise d'"apaisement" à la crise politique née de l'ajournement de la présidentielle qui devait se tenir dimanche.
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 28 février 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.
Le président Macky Sall semble rester dans sa stratégie de se donner du temps avant de fixer une nouvelle date pour la présidentielle.
Après son problème avec Serigne Mboup, Siré Sy atterrit dans la coalition du n°2 de l'ex-parti Pastef, Bassirou Diomaye Faye.
L’imbroglio juridique du brouillard de Diamniadio
Le dialogue national a livré ses recommandations après deux jours de travaux.
Les mesurettes (élection le 2 juin, reprise du processus) issues du dialogue national en mal de légitimité, vont davantage enfoncer le Sénégal dans le bourbier.
Au terme d'une petite journée de travaux, hier mardi, le dialogue national a proposé au chef de l’Etat sortant, Macky Sall, de fixer la date de l’élection présidentielle au 2 juin prochain.
Sur le plan économique, l’année 2024 était partie pour marquer un tournant décisif pour le Sénégal. Mais du fait d’une profonde crise politique qui dure depuis le 3 février dernier, les incertitudes persistent, même si elles laissent entrevoir des défis majeurs pour le prochain régime, après le départ de Macky Sall.
Le dialogue national convoqué par le Président Macky Sall, autour des questions relatives à l’organisation de l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, a vécu.
Plusieurs opposants sont montés au créneau pour rejeter la date du 2 juin proposée pour la tenue de la Présidentielle. Selon eux, le chef de l'État devrait organiser l'élection avant la fin de son mandat le 2 avril.