Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Cheikh Oumar Diagne: « Il faut punir sévèrement Macky Sall, ses ministres et ses DG»
Vers une nouvelle dévaluation du franc CFA ? : La menace qui hante le Sénégal et les pays de la zone UEMOA
Le rapport de la Cour des comptes continue de charrier des réactions, à la fois du côté des sachants que des non-initiés.
La clameur populaire soulevée par le rapport définitif de la Cour des comptes sur la situation des finances publiques de 2019 à mars 2024 a retenti jusqu’à la place Soweto de Dakar. Loin d’être insensibles aux ‘’manquements graves’’ révélés par le corps de contrôle, les députés de Pastef n’écartent pas la création d’une mission d’information afin de situer la responsabilité des uns et des autres dans le ‘’carnage financier’’ révélé par le rapport.
Nuancé est le sentiment d'Adji Mbergane Kanouté sur le dernier rapport de la Cour des comptes publié.
Le rapport de la Cour des Comptes sur l’état des finances publiques de 2019 à 2024 continue d’alimenter les débats. Celui-ci met en lumière des ‘’manquements graves’’ notamment une falsification des chiffres réels de la dette et du déficit budgétaire estimés respectivement à des ratios de 99% et 12% du PIB.
Le gouvernement a fait face à la presse pour parler de la situation économique du pays et des réformes à adopter pour les perspectives. Cela, après la publication du rapport sur la gestion des finances publiques de 2019 à 2023. I
La Cour des comptes a sorti un rapport accablant sur la gestion du régime du président Macky Sall, entre 2019 et 2024. Le rapport pointe des pratiques nébuleuses allant de prêts de centaines de milliards non déclarés à de faux chiffres sur la dette et le déficit budgétaire, en passant par des irrégularités comme de l’argent public à coups de milliards qui transitent dans des comptes personnels.
Les projets inscrits dorénavant dans le budget seront strictement ceux alignés sur la vision 2050 et compatibles avec les lois financières, a précisé le ministre de l'Économie, du Plan et de la Coopération.
Ce qu'il faut retenir, je le répète, c'est que ce rapport est une photographie fidèle de la situation financière du pays.
Comme beaucoup de Sénégalais, Abdoul Mbaye s'émeut devant le rapport accablant de la Cour des comptes publié ce mercredi.
Au-delà de mettre à nu un carnage financier sans précédent, le rapport de la Cour des Comptes sur la situation des finances publiques gestions de 2019 au 31 mars 2024 rendu public -ce mercredi 12 février 2025-
Les chiffres sont tombés, sans pitié, et ils font froid dans le dos.
Le Chef de l’État, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 12 février 2025, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres...
Le rapport de la Cour des comptes tant attendu est finalement disponible, ce mercredi 12 février. La cour, qui s’est penchée sur la gestion des finances publiques entre 2019 et 2023, a constaté beaucoup de manquements.
En exclusivité pour Seneweb, l’auteur de “Panser l'Afrique qui vient” explique les raisons de ce choix.
Le mouvement Demain c'est maintenant est préoccupé par le climat social et politique du pays.
Elon Musk, qui avait assuré pouvoir réduire la dépense publique fédérale de deux mille milliards de dollars, a estimé jeudi qu'économiser moitié moins serait déjà un "super résultat".
Au Sénégal, en 2023, la dette de l’État central a atteint 15 664 milliards de FCFA, soit l’équivalent de 83,7% du produit intérieur brut (PIB). C’était une révélation faite par le gouvernement le jeudi 26 décembre lors d’une présentation d’un rapport sur l’état des finances publiques du pays entre 2019 et 2023. Comment comprendre l’enjeu de la dette publique pour une économie d’un pays en développement comme le Sénégal? Dans cet entretien, Pr Magaye Gaye, économiste international revient sur l’impact et les mécanismes de remboursement de la dette publique d’un pays.
Réduire le déficit budgétaire de 11,6 % du PIB en 2024 à 7,08 % du PIB en 2025, un taux de croissance de 8,8 %, un taux d’inflation de 1,9 % du PIB…