Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Depuis le vendredi 9 février, de violentes manifestations ont éclaté un peu partout au Sénégal contre le report de la Présidentielle.
La décision du président sortant Macky Sall de reporter l’élection présidentielle n’est pas sans conséquence dans son entourage. Si certains continuent de justifier cette mesure, d’autres ont tout bonnement rompu avec leur camp. Ce qui augure un malaise profond.
Quelque 2.000 personnes, dont de nombreux Sénégalais, ont manifesté samedi à Paris contre le président Macky Sall, qualifié de "dictateur", dénonçant le report de l'élection présidentielle dans leur pays et la répression au Sénégal, qui a fait deux morts.
Pendant que beaucoup de responsables de la mouvance présidentielle se terrent dans leurs bureaux climatisés, laissant seul le Président Macky Sall subir des attaques venues de l’opposition...
La ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Victorine Anquediche Ndèye défend le Président Macky Sall dans un entretien accordé à L’AS.
La célèbre « Lettre au roi » que Cheikh A. Bamba avait jadis adressée au souverain du Djolof, Samba Laobé, s'inscrit dans une longue tradition de conseil (nasîha) prônée par l'Islam pour orienter et éclairer les actes du Prince. Une tradition qu'ont toujours perpétuée, de façon discrète ou publique, les illustres successeurs de Serigne Touba, dans leur noble mission d'assistance des croyants et des citoyens dans la gestion de la Cité, en fonction du contexte et de leurs personnalités propres.
Candidat de la mouvance présidentielle, Amadou Ba digère le report du scrutin acté par les députés du PDS soutenus par la majorité. Celui qui s'imaginait il y a quelques jours au Palais a été obligé de changer de priorités. Désormais, il souhaite se concentrer sur sa tâche de Premier ministre après avoir été confirmé par Macky Sall.
Dans un entretien accordé au média français Le Figaro, la ministre de la Justice, Aissata Tall Sall, a défendu le président Macky Sall, vivement critiqué après le report de la Présidentielle. Selon elle, Macky Sall n'y est pour rien. Mieux, ajoute-t-elle, le chef de l'Etat est lui-même victime des tirs croisés entre l'Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel.
Après la saisine en inconstitutionnalité contre la loi n°04/2024 portant dérogation aux dispositions de l'article 31 de la Constitution par Ayib Daffé et Cie du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi à l’Assemblée nationale...
Le président béninois Patrice Talon a animé une conférence de presse dans la matinée de ce jeudi 8 février...
Nathalie Yamb voit la main du président français Emmanuel Macron derrière le ...
C'est une saisine en inconstitutionnalité qui a été adressé au sept sages du Conseil Constitutionnel par les 39 députés de la coalition Yewwi Askan wi
Y a-t-il véritablement un malaise entre Amadou Ba et Macky Sall, au-delà de leurs discours ? Sur la place publique, nombreux sont ceux qui évoquent que les relations entre Macky Sall et Amadou Ba sont tendues, mais masquées aux yeux du public.
Depuis l’approbation du projet de loi portant report de l’élection présidentielle acté par l’Assemblée nationale, le climat préélectoral au Sénégal reste tendu.
Des mouvements citoyens et religieux, des organisations socio-professionnelles, et des personnalités de la société civile, réunis autour de la Plateforme "AAR SUNU ELECTION", sonnent la mobilisation contre le report de l'élection présidentielle, initialement prévue, le 25 février prochain.
Le Président Macky Sall a profité du Conseil des ministres pour se défendre contre ceux qui le soupçonnent d’avoir reporté la présidentielle pour prolonger son bail à la tête du Sénégal.
À la suite du communiqué du porte-parole du département d'État américain, les parlementaires du PDS ont sorti une déclaration pour...
La vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) a exposé, hier, sur la TFM, les «arguments» et les «fondements» du report de la Présidentielle...
L’histoire bégaie. Depuis sa formation en 1974 et durant la vingtaine d’années d’opposition au pouvoir socialiste, le modus operandi du PDS a toujours été d’instaurer un rapport de force pour espérer contraindre le pouvoir en place à négocier.
Le Sénégal traverse des moments troubles et est « la risée » du monde. Une situation que Mame Boye Diao décrit comme « une insulte pour toute la population ».