Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Pape Amadou Sarr, ancien délégué général de la DER/FJ et actuel directeur exécutif à l’Agence française de développement (AFD), s’est exprimé sur la dette publique sénégalaise, estimée à environ 118 % du PIB, lors de l’émission Grand Jury du dimanche 31 août 2025.
Une équipe du Fonds Monétaire International (FMI), dirigée par M. Edward Gemayel, a séjourné au Sénégal du 19 au 26 août 2025 pour discuter de mesures correctives suite au rapport de la Cour des comptes publié le 12 février 2025
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
La Turkish EximBank est disposée à accompagner le Sénégal dans le financement de projets structurants sans augmenter la dette publique, a annoncé vendredi Abdourahmane Sarr...
La Turkish EximBank est disposée à accompagner le Sénégal dans le financement de projets structurants sans augmenter la dette publique, a annoncé vendredi Abdourahmane Sarr, ministre sénégalais de l’Économie, du Plan et de la Coopération, lors d’un entretien avec l’APS et la RTS…
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
La dette publique sénégalaise a littéralement explosé. La Direction de la Prévision des études économiques (Dpee) vient de livrer ses chiffres sur l’endettement pour 2024. Elle a surtout dévoilé les estimations pour l’année 2025.
La Banque mondiale a annoncé ce mardi l’approbation d’un financement concessionnel de 115 millions de dollars pour accompagner le Sénégal dans l’amélioration de la viabilité de sa dette publique, le renforcement de la gestion des finances publiques et l’accroissement de la mobilisation des ressources intérieures. Ce soutien, fourni via l’Association internationale de développement (IDA), s’inscrit dans le cadre du Programme pour la transparence dans la gestion des finances publiques et l’assainissement des finances publiques (SEN-FINTRAC) 2025-2029, aligné sur la Vision 2050 du pays.
Selon des informations de Jeune Afrique, le Fonds monétaire international (FMI) a dépêché une mission « technique » à Dakar, ce 18 mars, pour y rencontrer le ministre de l’Économie, Abdourahmane Sarr, et son homologue du Budget, Cheikh Diba.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
De mal en pis. S&P Global Ratings vient d’abaisser la note de crédit à long terme du pays, tant en devises étrangères qu’en monnaie locale. La donnée passe de B à B-. L’agence conserve par ailleurs une perspective négative.
L’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD propose une histoire accessible pour expliquer la dette publique sénégalaise.
Selon l’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, la dette publique sénégalaise, bien que ne plaçant pas le pays comme le plus endetté d’Afrique, suscite une vive inquiétude. Avec un ratio dette/PIB de 119 % en 2024, « ce niveau dépasse très largement les seuils de prudence admis dans les pays en développement : 60 % selon le FMI et 70 % selon les critères UEMOA », alerte l’expert. Seuls le Ghana, le Soudan ou l’Érythrée affichent des ratios supérieurs, reflétant une accumulation rapide liée à des « déficits jumeaux (budgétaire et courant) et d’accès limité aux financements concessionnels ».
Un récent rapport de la banque britannique Barclays a provoqué une vive controverse en évaluant la dette publique du Sénégal à 119 % du produit intérieur brut (PIB) pour l’année 2024
Le Sénégal fait face à une situation économique préoccupante, avec une dette publique réévaluée à 119 % du PIB à fin 2024, selon un rapport de Barclays .
Alors que le Sénégal fait face à une chute de ses obligations en dollars sur les marchés internationaux en 2025, et avec un ratio de dette publique approchant les 100 % du PIB – aggravé par un rapport de Barclays situant ce taux à 119 % en 2024 – l’inquiétude grandit parmi les experts économiques. Dans cet entretien accordé à Seneweb ce 1er juillet, Moubarack Lô, analyste économique, décrypte les enjeux et propose des pistes pour surmonter cette crise.
Alors que les infrastructures du Sénégal s’étendent et que les ambitions de développement s’affichent avec fierté, les moyens de financement suscitent de vives interrogations. Eurobonds, crédits bilatéraux, emprunts multilatéraux… Derrière les projets du Plan Sénégal Émergent se cache une mécanique financière complexe. En 2025, la dette publique du pays avoisine les 100 % du PIB, avec un service de la dette qui absorbe près d’un tiers des recettes budgétaires de l’État. À l’heure où les échéances s’accumulent, une question s’impose : dans quelle mesure ces flux d’endettement servent-ils réellement l’économie productive et le bien-être collectif ?
Dr Ba rappelle que les actions du régime s’inscrivent dans deux directives de l’UEMOA de 2009.
Pape Malick Ndour, ancien ministre et membre de l’APR (ex-parti au pouvoir), a vivement alerté sur la gestion budgétaire et l’endettement public au Sénégal
Cfa et Eco, dette publique, FMI...: le cours magistral de l'Economiste Papa Oumar Seck...