Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Les 177 soldats égyptiens capturés par les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) au Soudan ont été "évacués vers l'Egypte"...
Trois-cent-vingt militaires soudanais fuyant les combats meurtriers dans leur pays entre les paramilitaires des Forces
Wagner, implanté au Soudan depuis des années, bénéficie d'un accès privilégié aux mines d'or du pays, mais le groupe paramilitaire russe se fait discret depuis le début samedi des affrontements qui opposent l'armée régulière aux très redoutées Forces de soutien rapide (FRS).
Le Japon a annoncé mercredi qu'il s'apprêtait à évacuer ses ressortissants au Soudan, devenant le premier pays à prendre une telle mesure dans le pays où les violences durent depuis samedi malgré les appels à la trêve.
Des milliers de civils fuient Khartoum sous les bombes mercredi alors que les combats entre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) et l'armée régulière ont fait près de 200 morts au Soudan en quatre jours.
La capitale soudanaise tremble mardi soir sous les tirs et les explosions
Des explosions ont secoué Khartoum mardi au quatrième jour du conflit au Soudan où la situation reste chaotique, en dépit des appels internationaux de plus en plus nombreux à cesser les hostilités qui ont déjà fait près de 200 morts.
Plus de 185 personnes ont été tuées au Soudan où la lutte pour le pouvoir des deux généraux
Abdel Fattah al-Burhane incarne le visage du pouvoir militaire au Soudan, un pays quasiment toujours sous la coupe de l'armée depuis son indépendance en 1956.
Venu des milices qui ont semé la terreur au Darfour, le général Mohammed Hamdane Daglo dit "Hemedti" s'est imposé comme un acteur incontournable de la politique et de l'économie au Soudan.
Une centaine de civils ont été tués au Soudan où tirs et explosions ont gagné en intensité lundi à Khartoum, au troisième jour de combats entre l'armée et une puissante force paramilitaire, dirigées par deux généraux rivaux qui se disputent le pouvoir.
Une centaine de civils ont été tués dans la guerre désormais ouverte entre les deux généraux aux commandes du Soudan depuis leur putsch d'octobre 2021.
Les affrontements font rage dans la nuit de dimanche à lundi au Soudan
Le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, va se rendre "immédiatement" au Soudan "pour engager les parties vers un cessez-le-feu", a annoncé dimanche l'organisation panafricaine, au deuxième jour de violents affrontements dans le pays.
Trois humanitaires du Programme alimentaire mondial (PAM) ont été tués...
Des combats opposent dimanche pour la deuxième journée consécutive l'armée soudanaise à une puissante force paramilitaire, sur fond de lutte de pouvoir entre les deux généraux aux commandes depuis le putsch de 2021, faisant au moins 56 morts parmi les civils en 24 heures.
Ils s'aventurent timidement dehors, achètent quelques victuailles et rentrent au plus vite en tentant de ne plus sursauter à chaque explosion: sans eau ni électricité, les habitants de Khartoum vivent sous les tirs croisés depuis 24 heures.
Les affrontements en cours au Soudan entre armée et paramilitaires ont causé la mort d'au moins 56 civils, ont rapporté des médecins pro-démocratie dimanche matin.
Le syndicat a également dénombré environ 170 blessés.
La capitale soudanaise a été secouée par des tirs et explosions samedi soir après une journée de combats de rue meurtriers, de raids aériens et de menaces par médias et réseaux sociaux interposés des deux généraux aux commandes du Soudan depuis le putsch de 2021.