Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Les soutiens de Bassirou Diomaye Faye, candidat d'opposition incarcéré à la présidentielle reportée au Sénégal, ont exigé sa "libération sans délai" au nom "de l'égalité de traitement", indique un communiqué transmis dimanche à Seneweb.
La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) se félicite de « la libération (selon des sources concordantes, 664 détenus auraient recouvré la liberté et rejoint leur famille entre le jeudi 15 et vendredi 16 février 2024) de nos concitoyens qui ont été arrêtés lors des évènements politiques que le pays connus depuis plus de deux ans et qui, depuis avaient injustement été maintenus dans les liens de prévention ».
Après un accouchement douloureux dans la polémique, la commission d’enquête parlementaire -devant lever le voile sur les soupçons de corruption contre...
Succession d'hommages à Alexeï Navalny, depuis l'annonce de la mort de l'opposant russe...
Mouhamadou Lamine Massaly a violé l'arrêté du ministre de l’Intérieur portant interdiction de port d'armes, de munitions et d'explosifs sur l'étendue du territoire national, de la période allant du 25 janvier au 14 février 2024.
Chahuté depuis des semaines pour une affaire de corruption de ses membres...
« Il ne faut pas que l’arbre cache la forêt », a pesté l’ancien Premier ministre et candidat retenu à la prochaine présidentielle dont le report, jugé ‘’illégal’’ par le conseil constitutionnel, vient d’être annulé.
Le membre de l’ex-Pastef et mandataire du candidat Bassirou Diomaye Faye, Amadou Ba a réagi à l’arrêt que vient prendre le Conseil Constitutionnel annulant le décret de report de l’élection présidentielle.
La décision a eu l’effet d’un séisme ! Le Conseil constitutionnel a jugé ‘’illégal’’ le décret du président Macky Sall reportant l’élection présidentielle initialement prévue le 25 février prochain.
Dans sa décision rendue ce jeudi 15 février, le conseil constitutionnel évoque "l'impossibilité d'organiser l'élection présidentielle...
La plateforme des forces vives de F24-Thiès initie une plainte populaire et citoyenne contre le président...
Le texte prévoit également d'autoriser la justice à retirer toutes les distinctions honorifiques d'État à des personnes condamnées pour «fausses informations».
Il se passe souvent au palais des scènes dignes d’un scénario à la Hollywood.
Pour justifier la décision unilatérale, inopportune et illégale de reporter l’élection présidentielle du 25 février 2024, certains redresseurs de tort de Macky Sall, à court d’arguments, évoquent la proposition de report consensuel formulée en octobre 2023 par Boubacar CAMARA Kamâh, aujourd’hui candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2023.
Dans une déclaration commune, la première du genre, les anciens chefs d’État sénégalais Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, se prononçant sur la situation du pays, ont appelé les Sénégalais, particulièrement les jeunes à arrêter les manifestations et les acteurs politiques au dialogue.
La réplique ne s’est pas fait attendre du coté du président de l’Union pour la nouvelle République (UNR) Mouhamadou Lamine Massaly...
Maitre Ousmane Diagne, maire de la commune de Thiès-Est, auxiliaire de justice, a déposé, ce lundi 12 février 2024, sur la table du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès, une plainte contre le nommé Mouhamadou Lamine Massaly, acteur politique, demeurant au quartier 10e (ex-Riaom), pour «tentative de meurtre sur de jeunes manifestants, détention illégale d'arme à feu, mise en danger de la vie d'autrui, violence et voie de fait, et trouble à l'ordre public ».
Suite au rétablissement du signal de Walf TV, la CAP et l’ensemble des soutiens engagés dans ce combat se réjouissent de l'heureux dénouement intervenu ce dimanche 11 février 2024
Les manifestations se poursuivent avec leur lot de morts à Dakar et dans les autres régions du pays, suite à la décision du président de la République Macky Sall de reporter l'élection présidentielle du 25 février au 15 décembre.
Aminata Touré dit avoir “entendu avec effarement l’évocation subliminale du Président Macky Sall de possibles bruits de bottes si les politiciens n’acceptaient pas sa rallonge illégale...