Le président gambien Adama Barrow fait une incursion dans l’univers littéraire
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le président gambien Adama Barrow fait une incursion dans l’univers littéraire
Le réalisateur sénégalais, Moe Sow, retrace le parcours de l’écrivain et homme d’Etat Cheikh Hamidou Kane
Le président gambien Adama Barrow fait une incursion dans l’univers littéraire
Ce propos du « chantre » de l’existentialisme n’est pas une simple boutade colérique. Il pose la problématique essentielle de l’écriture. Si un romancier n’est pas forcément un écrivain, mais qu’est-ce qu’un écrivain ? Des monuments de la réflexion sur l’écriture comme Jacques Derrida et Maurice Blanchot se sont penchés sur le phénomène, et le résultat est étonnant. Nous pensons pour notre part, qu’il n’y a d’écriture véritable que lorsque la forme possède son propre contenu ; lorsque le texte contient une singularité, une tonalité, une « musique » qui n’a d’autre origine que le texte lui-même : voilà que débute l’écriture. Il ne suffit pas de tenir une belle histoire captivante pour être écrivain. La littérature n’est pas que Mimésis, quoi qu’en dise le monumental Erich Auerbach. Mais pouvons nous établir une relation de nécessité entre l’écriture et la politique ? Un écrivain n’est pas forcément politique. Mais là n’est pas la question.
Dakar, 20 avr (APS) – La personnalité complexe, le génie littéraire et le militantisme féministe de la romancière sénégalaise Mariama Bâ (17 avril 1929 – 17 août 1981) sont ressortis sous la plume de sa fille Mame Coumba Ndiaye, auteur du nouvel essai intitulé Mariama Bâ ou les allées d’un destin. Edité aux Nouvelles éditions africaines du Sénégal (NEAS), 2007, Mariama Bâ ou les allées d’un destin est le témoignage d’une fille à sa mère qui ne lui appartient plus, parce que tombée dans la postérité. Son auteur, troisième enfant du sujet de l’essai, elle est née du premier des trois ménages de l’icône du féminisme africain.