Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
L'ancien Premier ministre civil du Mali, Choguel Kokalla Maïga, limogé en novembre par les militaires au pouvoir depuis 2020, a été inculpé mardi pour "atteinte aux biens publics" et placé sous mandat de dépôt, a appris l'AFP de sources judiciaires.
Au Mali, la junte a bloqué les exportations de la mine d’or de Loulo-Gounkoto, administrée par Barrick Gold Corporation, une entreprise canadienne qui n’est actuellement pas en odeur de sainteté avec les militaires au pouvoir à Bamako.
Le Mali a franchi une étape décisive dans la lutte contre la corruption, un fléau qui a longtemps freiné le développement économique et sapé la confiance des citoyens envers les institutions publiques.
La justice malienne a confirmé lundi en appel la peine de deux ans de prison dont un ferme contre un universitaire auteur d'un livre critiquant la junte au pouvoir, a indiqué à l'AFP son avocat Me Ibrahim Marouf Sacko.
Le Mali, l’un des plus grands producteurs d’or d’Afrique, se classe actuellement parmi les trois premiers producteurs du continent, après l’Afrique du Sud et le Ghana.
La justice malienne a accordé jeudi la liberté provisoire à 11 opposants à la junte, arrêtés en juin pour "complot contre les autorités légales et réunion illégale" après avoir appelé à un retour des civils au pouvoir, a-t-on appris de l'un d'eux et de source judiciaire.
La justice malienne a émis un mandat d'arrêt contre le PDG de la compagnie canadienne Barrick Gold, propriétaire avec l’État malien de l'un des plus importants complexes aurifères au monde, a-t-on appris jeudi de sources proches du dossier.
La justice malienne a rejeté mardi une demande de remise en liberté de onze opposants à la junte, arrêtés en juin pour "complot contre les autorités légales et réunion illégale" après avoir appelé à un retour des civils au pouvoir, a-t-on appris de source judiciaire.
La justice malienne a à nouveau maintenu en détention lundi un universitaire auteur d'un livre critiquant la junte au pouvoir, après avoir renvoyé son procès en appel, ont rapporté des correspondants de l'AFP.
Le 14 octobre 2024, la cour d'appel de Bamako devait examiner la demande de mise en liberté provisoire d’Étienne Fakaba Sissoko, économiste et ancien conseiller à la présidence, actuellement incarcéré depuis plusieurs mois. Sa situation, devenue emblématique des tensions politiques au Mali, soulève des questions cruciales sur la liberté d'expression et l'indépendance de la justice.
Quatre employés de la compagnie minière canadienne Barrick Gold, qui possède avec l'Etat malien l'un des plus importants complexes aurifères au monde
Le 24 septembre dernier, un procès retentissant a été rouvert à Bamako, secouant la scène politique malienne. D’anciens ministres, des directeurs de services étatiques et plusieurs officiers de haut rang se retrouvent sur le banc des accusés pour répondre de leur implication présumée dans des affaires de surfacturation de contrats d’armement et de l’acquisition controversée d’un avion présidentiel. Les montants évoqués dans ces scandales atteignent des sommets : plus de 20 milliards de Francs CFA auraient été détournés, suscitant une vague d’indignation au sein de la population malienne.
La justice malienne a ouvert une enquête sur l’attaque terroriste de Tinzaouatene.
Une grève des banques très suivie au Mali à l'approche de la fête musulmane de la Tabaski a pris fin lundi après la libération d'un responsable syndical arrêté il y a cinq jours, a indiqué le Syndicat national des banques, des assurances, des établissements financiers et des entreprises du Mali (Synabef).
Une coalition d'opposants a appelé mercredi dans un communiqué à manifester contre les coupures d'électricité récurrentes qui plombent l'économie du Mali, où la junte au pouvoir a réduit au silence les voix critiques.
La justice malienne a condamné lundi à deux ans de prison, dont un ferme, un universitaire et militant politique connu auteur d'un livre critiquant la communication de la junte au pouvoir, a indiqué son avocat.
C’est un secret de polichinelle.
La justice malienne a écroué mardi l'un des soutiens publics les plus connus jusqu'alors des militaires au pouvoir,
La justice malienne est saisie d'une action engagée par la junte au pouvoir contre la mission de l'ONU dans le pays (Minusma), accusée d'espionnage après la publication d'un rapport accablant pour l'armée nationale, a indiqué le parquet général dans un communiqué.
« Je l’ai tué pour ce qu’il me faisait subir dans le foyer ». Ces propos sont d’une Malienne qui a froidement assassiné son mari avant de le découper en morceaux. Elle a été reconnue coupable d’assassinat par une Cour d’assises malienne et condamnée à la peine de mort le jeudi 19 janvier dernier.