Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Sénégal a frappé un grand coup, en s’imposant 3-2 au stade des Martyrs de Kinshasa, face à la RDC, au terme d’un match à rebondissements.
Menés par deux buts d’écart peu après la demi-heure de jeu, les Lions sont parvenus à renverser la Rdc, ce mardi, au stade des Martyrs de Kinshasa.
C’est la pause au Stade des Martyrs de Kinshasa où se joue le match entre la Rdc et le Sénégal comptant pour la 8e journée de la poule B des éliminatoires du mondial-2026.
Les journalistes et supporters sénégalais qui se sont rendus au Stade des Martyrs de Kinshasa, ce mardi, ont peur pour leur sécurité. Notre consœur, Fatima Sylla, qui est actuellement au stade, a lancé une alerte.
Dans quelques heures, à Kinshasa, les lions du Sénégal vont affronter le Congo, dans un match crucial pour la qualification à la prochaine coupe du monde de football. Le Président Diomaye Faye, qui est actuellement à Dakar, a joint l’équipe par téléphone dans la journée de ce mardi.
Le Sénégal affronte la RDC aux stade des Martyrs de Kinshasa, ce mardi, pour le compte de la 8e journée des qualifications du Mondial 2026
les Lions du Sénégal ont dominé le Soudan (2-0). Dès le premier quart d’heure (14e), Kalidou Koulibaly a ouvert le score et montré la voie du succès a ses partenaires
La société d'investissement qatarie Al Mansour Holding souhaite investir 21 milliards de dollars en République démocratique du Congo (RDC), où Doha intervient comme médiateur dans le conflit dans l'est du pays, a annoncé mercredi le gouvernement congolais.
La Cour de cassation de Kinshasa (Congo) a rendu son verdict ce 2 septembre : Constant Mutamba, ancien ministre congolais de la Justice, a été condamné à trois (3) ans de travaux forcés, assortis de cinq (5) ans d’inéligibilité et d’interdiction de droit de vote.
Dans quelques jours, le sélectionneur national Pape Thiaw dévoilera la liste des joueurs retenus pour affronter le Soudan, le 4 septembre à Dakar, et la RD Congo, le 8 septembre à Kinshasa.
À Kinshasa, le ministère public a requis la peine de mort contre l’ancien président Joseph Kabila, poursuivi par contumace pour crimes de guerre, trahison et organisation d’un mouvement insurrectionnel.
Sur les plateaux de télévision comme dans les fils de discussion sur les réseaux sociaux, un mot s’est imposé ces derniers mois dans le vocabulaire public sénégalais : « Kuluna ».
Le procès pour "crime contre la paix" de l'ex-président de la République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila, accusé de complicité avec le groupe armé M23 soutenu par le Rwanda, s'est ouvert vendredi à Kinshasa en son absence, a constaté une journaliste de l'AFP.
Dans un discours prononcé ce soir, l'ancien président congolais Joseph Kabila annonce qu'il se rendra à Goma «dans les prochains jours». Au lendemain de la levée de son immunité parlementaire, il dénonce «des décisions arbitraires" prises par Kinshasa à son encontre. Et critique sans détours le pouvoir de son successeur : «la dictature doit prendre fin», a-t-il notamment déclaré.
Le président du Congo-Brazzaville Denis Sassou-Nguesso a dit craindre une "guerre régionale" dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où des combattants du M23 et des troupes rwandaises sont à l'offensive, prônant le "dialogue" entre Kinshasa et Kigali, dans un entretien à la chaîne France 24 lundi.
Depuis Munich, où il assistait à une conférence sur la sécurité, il a pointé du doigt l’implication supposée de Kabila, tandis que Kinshasa attribue le soutien du M23 au Rwanda.
Le groupe armé antigouvernemental M23, qui a pris avec l'armée rwandaise le contrôle de la grande ville congolaise de Goma et déclaré vouloir "marcher" sur Kinshasa, a progressé jeudi dans l'est de la République démocratique du Congo, l'ONU se disant "très inquiète".
Le groupe armé antigouvernemental M23 a annoncé jeudi vouloir "rester" à Goma, la grande ville de l'est de la République démocratique du Congo (RDC) qu'il a conquise ces derniers jours avec les forces rwandaises, et "continuer la marche de libération" jusqu'à la capitale Kinshasa.
Après une nuit relativement calme, Goma s'est réveillée mardi 28 janvier avec des fortes détonations et des échanges de tirs, notamment dans l'est de la ville, avec l'entrée dans plusieurs quartiers de combattants du groupe armé M23, soutenus par les forces rwandaises.
Le mardi 28 janvier 2025, des manifestants ont incendié l’ambassade de France et plusieurs autres représentations diplomatiques à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC).