Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
"Tentative insidieuse de museler la presse" : Le CDEPS sonne l'alerte contre le CNRA
Seneweb n'a pas été le seul média sénégalais victime d'attaques informatiques massives. Ces derniers jours, les cybercriminels ont également visé Dakaractu.
Lors de sa dernière Assemblée Générale tenue à son siège il y a quelques jours, le Club Sénégal Émergent (CSE) s’est penché sur la situation actuelle du Sénégal.
DÉCLARATION SUR LA SITUATION DU SÉNÉGAL : PRIVILÉGIER L’HUMILITÉ, L’OUVERTURE, LA CONCERTATION ET LE DIALOGUE INCLUSIF !
Donald Trump a indiqué mardi qu'il maintiendrait les restrictions d'accès, à la Maison Blanche ou à Air Force One, visant l'Associated Press, tant que l'agence de presse américaine refusera d'utiliser l'appellation "golfe d'Amérique".
Le retour au Mali d'un influent imam critique de la junte a été "ajourné" ont indiqué ses proches alors qu'il était attendu ce vendredi à Bamako et que les autorités avaient déployé un important dispositif sécuritaire autour de l'aéroport.
Affaire El Hadji Ibrahima Thiam contre Amadou Kane (Oncav): Le Soleil se mobilise !
Le monde médiatique sénégalais, déjà mis à l’épreuve par les défis économiques et les enjeux de régulation, connaît un nouvel épisode pour le moins troublant.
Le média Dakaractu.com n'a pas été reconnu par le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique.
Un collectif pour la liberté de la presse en Guinée a exprimé sa "profonde inquiétude" deux mois après la disparition d'un journaliste d'investigation critique de la junte au pouvoir.
L’Association des juristes africains publie « L’Afrique rend hommage au président Abdou Diouf », un ouvrage collectif célébrant l’héritage de l’ancien président du Sénégal à l’occasion de son 90e anniversaire.
Maison de la presse ou maison de Pastef ?
La Coordination des Associations de Presse (CAP) s'insurge contre l'interdiction infligée au Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) de tenir sa confère de presse à la Maison de la Presse Babacar Touré.
Un total de 361 journalistes étaient emprisonnés dans le monde fin 2024, selon un décompte du Comité de protection des journalistes (CPJ), classant pour la première fois Israël dans le haut du classement des pays qui enferment le plus, derrière la Chine.
Ce jeudi 16 janvier, le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) va publier son recensement annuel des journalistes emprisonnés dans le monde pour 2024. Un rapport spécial sur le Sénégal sera également dévoilé, selon le journaliste Moussa Ngom qui occupe actuellement le poste de Représentant pour l'Afrique francophone du Comité pour la Protection des Journalistes. Ce, après deux années comme correspondant.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) dénonce une « entorse » du régime dans la nomination des membres du CNRA. Selon son président Mamadou Ibra Kane, le décret portant nomination des membres recèle des manquements. « Le secteur des médias au Sénégal est de nouveau secoué par les agissements du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, avec la publication du décret 2024-3401 portant nomination des membres du Conseil national de régulation de l'audiovisuel (CNRA), en date du 11 décembre 2024 », souligne un communiqué parvenu à Seneweb.
La chaîne qatarie Al Jazeera a dénoncé jeudi la décision de l'Autorité palestinienne de suspendre sa diffusion et ses activités dans les Territoires palestiniens, affirmant qu'il s'agissait d'une "tentative de masquer la réalité" en Cisjordanie occupée.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
En quelques heures, les médias syriens qui vantaient la gloire de l'ancien maître de Damas se sont parés des couleurs de la "révolution"...
L'ONG dénonce aussi la participation de "différents groupes rebelles et factions armées" à "la répression des reporters dans la zone qu'ils contrôlaient". Parmi elles figure le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham.