Le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) tire la sonnette d’alarme après la publication du décret n°2025-1431 portant répartition des services de l’État
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) tire la sonnette d’alarme après la publication du décret n°2025-1431 portant répartition des services de l’État
Le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) tire la sonnette d’alarme après la publication du décret n°2025-1431 portant répartition des services de l’État
Cures de pollen, compléments alimentaires : depuis quelques années, des entreprises et influenceurs vantent sur les réseaux sociaux les bienfaits de traitements "miracle" pour arriver à être enceinte, des solutions à l'efficacité douteuse qui profitent des failles de la médecine.
Les syndicalistes estiment que nommer un médecin en lieu et place d'un administrateur civil constitue «l'ultime acte inédit de trop qui fait jaser, que le Dr Marie Khémesse Ngom Ndiaye a pris pour parachever l'organigramme médical du ministère de la Santé et de l'Action sociale (MSAS) où les autres acteurs ne sont paradoxalement que des figurants et des étrangers chez eux»...
Face à la presse, le vice-président de l'Ong « Jamra », Mame Matar, s’est insurgé contre les annonces publicitaires encourageant l’avortement médicalisé...
Soixante-quinze pour cent des personnes enquêtées dans un sondage effectué au Sénégal par le cabinet Continuum et...
Depuis quelques semaines, une campagne a été lancée sur les réseaux sociaux sénégalais pour la légalisation de l’avortement médicalisé au Sénégal. Ce, en cas de viol, d’inceste, lorsque la vie et la santé de la mère sont en danger conformément au protocole de Maputo, ratifié par le Sénégal depuis 2005.
Le Quai d'Orsay s'interroge sur l'impact terrible que pourra avoir la crise du Covid-19 en Afrique. Le Centre d'analyse, de prévision et de stratégie évoque un possible effondrement des Etats en place et cherche d'ores et déjà des interlocuteurs fiables et légitimes.
Le Quai d'Orsay s'interroge sur l'impact terrible que pourra avoir la crise du Covid-19 en Afrique. Le Centre d'analyse, de prévision et de stratégie évoque un possible effondrement des Etats en place et cherche d'ores et déjà des interlocuteurs fiables et légitimes.
Le Sénégal renoue depuis quelques jours avec les épidémies, avec ses 27 cas confirmés de coronavirus. Des épisodes épidémiques meurtriers de peste, variole, fièvre jaune, choléra et grippe espagnole, ont rythmé l'histoire du pays, le siècle dernier. Retour sur ces douloureuses séquences du passé.
Les syndicalistes estiment que nommer un médecin en lieu et place d'un administrateur civil constitue «l'ultime acte inédit de trop qui fait jaser, que le Dr Marie Khémesse Ngom Ndiaye a pris pour parachever l'organigramme médical du ministère de la Santé et de l'Action sociale (MSAS) où les autres acteurs ne sont paradoxalement que des figurants et des étrangers chez eux»...
Face à la presse, le vice-président de l'Ong « Jamra », Mame Matar, s’est insurgé contre les annonces publicitaires encourageant l’avortement médicalisé...
Soixante-quinze pour cent des personnes enquêtées dans un sondage effectué au Sénégal par le cabinet Continuum et...
L'agence américaine du médicament a donné son autorisation pour la commercialisation du premier viagra féminin aux Etats-Unis. Les femmes non ménopausées à la libido défaillante ont désormais un équivalent à la petite pilule bleue. Le comprimé Addyi de la firme Sprout pharmaceutical est le premier viagra féminin à recevoir le feu vert de la Food and Drug Administration (FDA) pour une mise sur le marché américain.
En cas de catastrophe, les esprits se tournent vers les services de secours. Et, instinctivement, c’est le numéro 18 que les populations composent en cas d’accident. Mais, force est de constater, que les pompiers au Sénégal, arrivent généralement, avec beaucoup de retard. Mais en partie, cette situation s’explique par de nombreux facteurs. En effet, dans un document dénommé ‘‘Organisation de la Brigade Nationale des Sapeurs pompiers’’, publié sur le site web du ministère de l’Intérieur, il est expliqué que pour aider le Groupement national des Sapeurs-Pompiers à assurer la sécurité et la protection des populations ainsi que la préservation des biens, un vaste programme de restructuration s’étalant de 2001 à 2015, a été initié. «Le bilan à mi-parcours est satisfaisant.
Plus de 76% des populations interrogées pensent que les causes de l’augmentation de la pratique de l’excision à Dakar et sa persistance dans la région de Tambacounda sont d’ordre culturel, révèle une étude menée dans le cadre d’un programme conjoint UNICEF-UNFPA, pour le compte du ministère de la Famille.
Bourdonnements des oreilles, sensation de flou, maux de tête, vertiges, telles sont, entre autres, les principales manifestations de l’hypertension artérielle (Hta). Mais cette maladie, qui affecte 3 millions de Sénégalais (entre 25 à 30% de la population), peut être asymptomatique, c’est-à-dire sans symptômes observables. Bien que l’hérédité constitue un facteur de survenue de l’hypertension artérielle, les changements notés dans notre alimentation expliquent, en grande partie, sa montée en flèche.
Le sang se raréfie au Centre national de transfusion sanguine (Cnts) qui pourrait connaître une pénurie. Pour éviter d’en arriver à cette situation, les praticiens se déploient sur le terrain régulièrement y compris les jours de repos. Le professeur Saliou Diop, chef de service du sang au Cnts donne les raisons de la récurrence de la pénurie et les stratégies qui seront mises en œuvre pour disposer de stocks consistants. Le hall du Centre national de transfusion sanguine est bondé de monde. Des femmes, des hommes, des adolescents et adolescentes, des filles, ont pris place sur les bancs qui longe ce couloir qui s’étire. Certains n’ont pas de place. Ils sont debout. D’autres se bousculent devant le guichet de la facturation. Le hall est animé.