Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le 1er mars 2025, la mission conjointe CEDEAO-UNOWAS, déployée en Guinée-Bissau pour apaiser les tensions politiques et favoriser un consensus autour des élections de 2025, a dû quitter le pays précipitamment.
Dans un paysage politique où l’opposition traditionnelle peine à s’organiser, Thierno Alassane Sall (TAS), leader de la République des Valeurs (RV), s’impose comme un électron libre.
Il fut un temps où Bougane Guèye Dani et Barthélemy Dias étaient les maestros de l’opposition.
Quatre Etats à prédominance musulmane dans le nord du Nigeria ont ordonné la fermeture des écoles pendant le ramadan, le mois de jeûne sacré en islam, suscitant l'indignation des chrétiens et des syndicats de l'enseignement.
Serigne Saliou Mbacké Ndiaye, plus connu sous le sobriquet de Lama Ndiaye, fait fureur actuellement dans les cérémonies
Le Collectif Non à l'Amnistie (CNA) a exprimé son indignation face à l'annonce du gouvernement d'opter pour une abrogation partielle de la loi d'amnistie adoptée le 6 mars 2023.
Après opposition du parquet financier, la requête aux fins de mise en liberté provisoire de Lat Diop a été rejetée.
L'administration Trump a annoncé mercredi tailler massivement dans l'aide internationale américaine, notamment par la suppression de 92% des financements de programmes à l'étranger par l'agence américaine de développement, l'USAID, se targuant de "faire économiser près de 60 milliards de dollars aux contribuables".
La capitale bissau-guinéenne, où un important dispositif de sécurité est déployé depuis mercredi, était calme jeudi matin alors que l'opposition a appelé à "la paralysie" du pays à partir de ce jeudi, jour où, selon elle, le mandat du président Embalo devrait prendre fin, cinq ans après sa prestation de serment.
L'opposition en Guinée-Bissau a appelé à "la paralysie totale" du pays à partir de jeudi, jour où, selon elle, le mandat du président Umaro Sissoco Embalo devrait prendre fin, cinq ans après sa prestation de serment.
Suite aux accusations du député Thierno Alassane Sall (TAS) concernant une tentative des parlementaires de Pastef d'écarter sa proposition de loi visant à abroger totalement l'amnistie, Waly Diouf Bodian, figure influente du parti au pouvoir, a réagi.
Le député du groupe parlementaire Takku Wallu (opposition), Abdou Mbow, demande la publication de l’accord signé entre le Sénégal et le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC). Selon lui, cet accord, qui semble être paraphé le dimanche 23 février 2025 en Guinée-Bissau, "est une suite de l'accord signé en août 2022 par le gouvernement sénégalais avec César Atoute Badiate, chef de la troisième faction (Front Sud), qui s'était engagé à déposer les armes", a rappelé le Bureau d'information et de la communication du gouvernement sénégalais (BIC-GOUV).
On est visiblement loin de l’époque où il affirmait que son départ du pouvoir ne serait effectif qu’après la mort de l'opposant Ousainou Darboe, son principal adversaire politique et leader de l’UDP.
Au Bénin, le Conseil des ministres du mercredi 19 février dernier, a décidé de mettre des ressources financières à la disposition du Comité de pilotage de l’audit du fichier électoral.
Face à la presse ce lundi, Thierno Alassane Sall, président du parti politique la République des valeurs, a exprimé de manière claire et ferme sa position sur la criminalisation de l'homosexualité au Sénégal.
Thierno Alassane Sall, leader du parti La République des Valeurs, a récemment relancé le débat sur les fonds politiques au Sénégal.
Le président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embalo, a fixé les élections présidentielle et législatives au 30 novembre 2025, alors que la fin de son mandat est contestée par l'opposition. Celle-ci affirme que son mandat expire le 27 février, tandis que la Cour suprême a statué qu'il se termine le 4 septembre 2025.
Le président Umaro Sissoco Embaló a annoncé que l’élection présidentielle se tiendra le 30 novembre 2025.
Donald Trump a déclaré samedi qu'il souhaitait "récupérer" le montant de l'aide fournie à l'Ukraine depuis le début il y a trois ans de la guerre contre la Russie mais Volodymyr Zelensky n'est toujours "pas prêt" à lui offrir un accès préférentiel aux minerais stratégiques que recèle son pays.
Incroyable mais vrai !