L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a lancé la semaine de l’assainissement ce mercredi 08 octobre à la Médina, après ses interventions à Grand-Yoff et aux Maristes lundi dernier.
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L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a lancé la semaine de l’assainissement ce mercredi 08 octobre à la Médina, après ses interventions à Grand-Yoff et aux Maristes lundi dernier.
Qu’il me soit permis, dans la solennité grave de ce jour qui n’appartient ni au tumulte des foules ni aux murmures des courtisans, de m’adresser à Vous non comme on harangue un roi, mais comme on parle à l’homme chargé d’une destinée, à l’âme qui se sait dépositaire d’un peuple tout entier.
L’Association nationale des femmes de l’ONAS (ANFO) a sensibilisé les ‘’Badiénou Gokh’’ sur les bonnes pratiques en matière de préservation des ouvrages d’assainissement
Les vandales sont finalement parvenus à leur fin.
Des plaques des regards des réseaux de l’Office National de l’Assainissement (ONAS) endommagées ou volées seront renouvelées
Le rejet des déchets dans le réseau d’assainissement, le coût du raccordement au réseau et leur extension ont été au cœur des échanges entre les services de l’ONAS et...
Un camion hydro-cureur de 4 m3, trois électropompes, 50 plaques de fontes, 40 tenues, 40 autres tenues de pluie entre autres équipements ont été remis aux équipes de l’ONAS par le Directeur Général de l’institution.
L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), déploie de gros moyens dans la gestion des inondations. En présence du Gouverneur, Alioune Badara Samb, du Maire, Mansour Faye...
L’Amicale des agents de l’ONAS en collaboration avec sa Direction Générale a organisé une journée de sensibilisation suivie de ‘’ Ndougou "...
Les opérations pré-hivernage lancées par le Directeur Général de l’ONAS, Mamadou Mamour Diallo le 13 mars se poursuivent à Dakar
Couturier autodidacte, visionnaire et excentrique, Paco Rabanne est mort à 88 ans
Encore un week-end de désolation à Dakar.
Des plaques des regards des réseaux de l’Office National de l’Assainissement (ONAS) endommagées ou volées seront renouvelées
A chaque époque, son architecture entend-on souvent dire. A Dakar, ville dans le rythme, la grande Ecole des arts et celle consacrée à l’urbanisme et à l’architecture ont laissé place à de nouveaux collèges et instituts d’enseignement spécialisés dans les beaux arts, le génie civil et les sciences du bâti dans la cité. La capitale change et en son sein, ses normes d’urbanisme et d’architecture qui vont avec son évolution. Pour preuve, tous ces terrains vendus dans le centre ville ont vu sortir de terre, de véritables œuvres architecturales depuis quelques années. Pour le plaisir des yeux ; mais surtout pour exposer le talent des inventeurs et designers que sont devenus, depuis bien des années, les architectes, autres artistes décorateurs et plasticiens qui pensent la vie dans la cité tous les jours.
Le dispositif de sécurité mis en place par les autorités sénégalaises, en parfaite intelligence avec les populations, les hôteliers, les établissements publics...installe une certaine sérénité dans la capitale sénégalaise. Dakar, carrefour dense et vivant, point de convergence stratégique de l’Afrique et du monde, place son « pare-étincelles » pour se prémunir contre l’incertitude. La psychose du terrorisme et les « pépiements » sur la sécurité en général ont créé un « décor » nouveau qui a accru la vigilance des autorités et de simples particuliers accueillant du public. Une petite balade dans Dakar, le jour et la nuit, en donne une large idée.
Pour se faire de l’argent, sans suer, certaines personnes sont prêtes à toutes les bassesses du monde. Même à mettre la vie de leurs concitoyens en danger. Les infrastructures d’assainissement qui ont couté à l’Etat plusieurs milliards sont dérobées par des quidams malintentionnés et partisans du moindre effort.
On n’a pas besoin des conclusions d’une étude ou d’un séminaire pour faire le constat, car il saute aux yeux depuis quelques années. Certains Sénégalais ne respectent pas le bien public. Ils n’hésitent pas à uriner dans la rue, saccager les bus Dakar Dem Dikk, utiliser abusivement dans leurs bureaux ou à la cité universitaire l’eau, le téléphone et l’électricité, refuser d’emprunter les passerelles pour traverser la route, voler les lampadaires de l’autoroute et des grandes artères de la capitale, subtiliser les avaloirs et les plaques...
Au Sénégal, les véhicules de luxe ont toujours la côte, malgré la crise qui secoue l’économie. Sur les routes du pays, les bolides rivalisent. Et, il devient de plus en plus apparent que le niveau de vie est étroitement lié à la marque de sa voiture. Les personnalités de tous bords s’offrent le luxe de se taper des véhicules hors de portée des simples citoyens. Dans les garages, dorment tranquillement des Cadillacs, des Limousines, des Porsches Cayenne, des Mercedes dernier cri, des Hummers, des Lincolns ou encore des 4x4. Des religieux aux sportifs, en passant par les hommes politiques ou hommes d’affaires sans oublier les artistes, on conduit un véhicule qui reflète son standing.
Quelque temps après les grands travaux de l’Etat consistant à construire des infrastructures modernes, le vol des bouches d’égout communément appelées « regard de chaussée » fait rage dans la ville de Dakar. Des gens mal intentionnés dérobent sans pour autant se soucier des conséquences écologiques que cela pourrait causer. Et pourtant, ce bien public règle en grande partie le problème de l’assainissement de la ville surtout en cette période d’hivernage. Mais quoi qu’on puisse dire, ce vol des bouches d’égout est encouragé par les travailleurs de la ferraille.
Samedi d’opposition. Pour la première fois depuis sept ans, l’opposition sénégalaise brave l’autorité étatique. Flanquée de l’étiquette d’une opposition molle, poltronne, l’expérience a été assez tentante pour ses responsables de défier les lacrymogènes et se faire entendre. Enfin ! Au bout d’une journée de contestations, après avoir été tous arrêtés, ses leaders ont obtenu, tout compte fait, plus que la marche qui leur a été refusée au départ. Amath Dansokho, Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily… sont partis du grand rond-point de la Médina où ils ont, d’ailleurs, été tous interpellés par les éléments de la police. Derrière eux, la manifestation prendra diverses formes à travers les artères de la capitale, jusqu’à leur libération aux environs de 16 heures, quand une marche spontanée s’est révélée au-delà de leurs espérances. Chronique d’une marche interdite, finalement promue…