Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Ainsi donc voici venu le temps des catacombes pour la presse sénégalaise ? Utopie ne peut être plus absurde. La presse est accusée de tous les péchés d’Israël. « Qu’elle rende gorge ! » s’époumonent les militants fanatisés. « Qu’elle paye rubis sur l’ongle ! » feule la tutelle, chargée de porter l’estocade. « À l’échafaud ! » vomissent les haters les plus venimeux. De Bara Diouf à nos jours, ce tsunami de haine passionnelle et pestilentielle est sans précédent. Se pose alors, la question simple en journalisme.
Le Sénégal entame sa qualification pour la CAN-2025, contre le Burkina Faso, le 6 septembre à domicile, avant de se rendre au Burundi le 11 septembre 2024.
La presse sénégalaise, jadis admirée pour son indépendance et sa rigueur, est aujourd’hui confrontée à une crise qui menace son intégrité.
La publication des chiffres de l'aide à la presse a provoqué de nombreux commentaires.
Ce 14 août, le Président Bassirou Diomaye Faye était annoncé à Paris, pour la commémoration du débarquement de Provence.
Entre une grande majorité de la presse sénégalaise et le nouveau gouvernement, on ne parle plus le même langage.
La France a exprimé son intention de travailler à la reconnaissance de tous les tirailleurs sénégalais tués lors du massacre de Thiaroye en 1944. Pour le moment, seuls six tirailleurs sont officiellement reconnus par Paris comme des « soldats tombés pour la France ».
Le patron de la SEN TV, Bougane Guèye Dany, a profité de la journée sans presse pour attaquer le Premier ministre Ousmane Sonko.
"Le monstre se réfugie derrière l’impôt". C'est le titre de la dernière contribution de Thierno Bocoum qui, après son post polémique de ce lundi, est revenu à la charge.
Les mois passent et les tensions entre les acteurs des médias privés et les nouvelles autorités ne s’apaisent pas.
La tourmente dans laquelle la presse sénégalaise vit inquiète au plus haut point Thierno Bocoum.
Le Premier Ministre Ousmane Sonko est au Mali.
Lorsqu’au soir de l’élection présidentielle, dimanche 24 mars 2024, au moment où les stations FM, les télévisions et les médias en ligne relayaient les données et chiffres, les résultats qui ont porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, pas un seul citoyen sénégalais, homme politique de l’actuelle équipe à la tête du Sénégal, ne pouvait médire la presse. Journaux, radios, télévisions, sites d’informations, d’un seul élan, ont transmis les résultats rassemblés aux quatre coins du Sénégal.
« La presse sénégalaise a favorisé des alternances politiques. Parce qu’elle était républicaine, libre et indépendante, viable économiquement.
Le chanteur compositeur panafricaniste de la Guinée, Élie Kamano communément appelé le Maréchal Kamano est en tournée dans certains pays de l'Afrique de l'Ouest.
Le groupe Walfadjiri perd trois figures féminines de la presse sénégalaise.
Les nouvelles autorités doivent dialoguer avec les acteurs des médias, pour trouver un terrain d’entente. C’est du moins l’avis du fondateur d’Afrikajom Center.
Après la Coordination des associations de presse (CAP), le Forum du justiciable se dit préoccupé par la situation difficile que vit la presse sénégalaise.
"Parfois ça me fait mal".
L’actualité sur la presse a été marquée ces derniers jours par deux tristes faits majeurs.