Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le passage de la caravane de Samm sa Kaddu à Diourbel, la semaine dernière, a été émaillé par des scènes de violences entre les partisans de la coalition dirigée par Barthélémy Dias et ceux de Pastef.
Les autorités israéliennes ont appelé dimanche les supporters à éviter de se rendre jeudi prochain à Saint-Denis, une semaine après les violences d'Amsterdam, au match France-Israël, pourtant entouré d'un imposant dispositif policier et disputé en présence d'Emmanuel Macron.
Un total de 4.000 policiers et gendarmes seront mobilisés jeudi pour le match à "haut risque" France-Israël au Stade de France, à Saint-Denis, a annoncé dimanche le préfet de police de Paris Laurent Nuñez.
Sur le terrain depuis deux semaines, les hommes politiques et acteurs de la société civile investis sur les 41 listes en lice engagent la dernière ligne droite de la campagne. Une compétition verbale et programmatique qui ne semble pas satisfaire Me El Hadj Amadou Sall, membre de l’inter-coalition Takku Wallu Sénégal. Selon lui, le débat qui aurait pu permettre aux uns et aux autres d’éclairer les sénégalais sur leurs intentions une fois à l’hémicycle, est au ras des pâquerettes.
Après dix jours de campagne à l’intérieur du pays, la tête de liste nationale de la coalition Samm sa kaddu était à Dakar ce samedi. Barthélemy Dias a profité d’un meeting à la Médina pour revenir sur les scènes de violences survenues à Diourbel et à l’origine d’une plainte de Pastef contre Anta Babacar Ngom.
Après dix jours de campagne à l’intérieur du pays, la tête de liste nationale de la coalition Samm sa kaddu était à Dakar ce samedi.
La coalition Samm Sa Kaddu répond à la plainte du parti Pastef contre Anta Babacar Ngom pour destruction de biens appartenant à autrui, coups et blessures volontaires, violences et voies de fait.
Jeudi 14 novembre, l'équipe de France de football reçoit l'équipe d'Israël, au Stade de France, dans le cadre de la 5e journée de la Ligue des nations
Leader du mouvement Alternative pour la relève citoyenne (ARC), Anta Babacar Ngom, annonce une plainte contre la tête de liste de Pastef Ousmane Sonko
Plus de 33 millions de Nigérians auront faim l'an prochain, un chiffre en nette hausse alors que les prix de l'alimentation s'envolent et exacerbent l'effet de la guerre et du changement climatique, selon un rapport diffusé vendredi.
Les femmes et les enfants représentent "près de 70%" des morts dans la bande de Gaza sur la période novembre 2023 à avril 2024, affirme l'ONU vendredi après une minutieuse vérification d'un décompte partiel des
Ayeda Robert Kotchani, directeur régional AI du Haut-Commissariat des Nations Unies en Afrique de l'Ouest a présidé une rencontre pour un plaidoyer pour l'apaisement du climat politique au Sénégal.
Le Sénégal a l’obligation d'appuyer la démocratie et doit être un modèle pour le reste de l'Afrique.
Le match de football entre la France et Israël, programmé le 14 novembre au stade de France, ne sera pas délocalisé, a annoncé vendredi le ministre de l'Intérieur français Bruno Retailleau.
L'Alternative pour la relève citoyenne (ARC), mouvement politique en pleine campagne, a dénoncé avec force les tentatives de manipulation visant à ternir son image et celle de sa leader, Anta Babacar.
Suite aux violences électorales survenues à Diourbel lors du passage de la Caravane de la coalition Sàmm Sa Kàddu, le Pastef/ les patriotes par le biais de son responsable du pool juridique du directoire de campagne
Des supporteurs du Maccabi Tel-Aviv ont été agressés aux Pays-Bas jeudi 7 novembre au soir après le match du club israélien face à l’Ajax Amsterdam.
"La coordination de Pastef Ouest-Foire se dit confiante pour une majorité à l'Assemblée nationale, à l'issue des élections législatives anticipées du 17 novembre.
Alors que Macky Sall tente de justifier son retour sur la scène politique en se présentant comme tête de liste de la coalition Takku Wallu pour les Législatives du 17 novembre prochain, Ousseynou Ly, porte-parole de la présidence de la République, a dressé un bilan de violences, de « répressions et de dettes » qui pèse sur la gouvernance de l’ancien président.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a récemment évoqué un risque de «mexicanisation» du pays. Une affirmation à laquelle 71% des Français adhèrent, selon un sondage de l’Institut CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD dévoilé ce jeudi.