Concours ENA : Les arabophones réclament la réouverture du concours professionnel et l'augmentation de leur quota
Following the unanswered letters and the grace period granted to the new government, the Movement of Arabophones of Senegal (MAS), during a meeting, reiterated its commitment to the harmonious development of Senegal and called for the organization of national Arab-Islamic conferences, similar to those of the Daaras. According to coordinator Souleymane Gadiaga, these conferences aim to evaluate Arab-Islamic education in order to better understand the problems and propose appropriate solutions.
While waiting for an Arab-Islamic university, which is a long-standing complaint, the MAS insists on the need to open Arabic departments in all public universities in Senegal to promote the Arabic language and Islamic culture, the opening of an Arabic department at the SEFS/UGB, following the example of FASTEF.
Souleymane Gadiaga and his colleagues also call on the authorities to allow Arabic speakers access to qualifying professional training, in order to serve the State with transparency, competence and a sense of responsibility.
They also demand an increase in the quota of Arabic speakers in the National School of Administration (ENA) competition and the reopening of the professional competition to Arabic speakers.
The MAS, which renews its commitment to promoting the rights and interests of Arabic speakers, denounces the failure of relevant institutions to address their concerns. It launches a solemn appeal to all Arabic speakers, both inside and outside the country, to unite and strengthen their cohesion around essential causes, in the greater interest of the community and for the dignity, intellectual and moral sovereignty of Senegal.
As a reminder, the MAS is a framework that campaigns to address the problems of Arabic speakers and works for their professional integration, the improvement of their living conditions, etc.
Commentaires (13)
La langue officielle, c'est pas l'arabe. Point barre. Vous ne pouvez pas aller faire la langue de votre choix et venir l'imposer à l'administration. Pourquoi pas aussi au anglophones, wolofophones, sonikephones ? Ils leurs locuteurs sont aussi Sénégalais.
On voit bien que ces arabophones non pas le soucis l'utilité du service public en esprit comment des gens qui ne peuvent pas lire les documents officiels, les contrats entre particuliers et les décisions des tribunaux et autres réclament une sélection parmi eux pour servir l'administration centrale. Ils ont opté pour une langue étrangère qui n'est pas utilisée aux Sénégal qu'ils mesurent avec humilité les conséquences de leurs choix.
Malheureusement vous faites la confusion entre la langue et des compétences être un arabophone n'es pas synonyme d'ignorer les sciences humaines. Pour ton information la connaissance n'es pas du tout Hélène et considère les arabophone comme des illettrés où des hommes religieux c'est une véritable déforestation intellectuelle. Rendez vous dans les années à venir.
Qu'est-ce qu'un arabisant va faire dans notre administration ? Passez son temps à prier? Demander une petite mosquée dans chaque bureau de l'administration pour qu'il puisse y diriger les prières quotidiennes ? Soyons sérieux avec ls nation. Quand on opte pour les langues étrangères (excluant le français langue officielle) on peut faire de l'enseignement dans les écoles et universités, de l'interprétation, de la communication dans les ambassades et autres organismes internationaux. Juste ça, la vie ce sont des choix qu'on assume.
leur vocation première c'est de s'occuper des questions religieuses et de l'enseignement de l'arabe dans les écoles pas d'entrer dans l'administration. Même dans la diplomatie ils ont de sérieux problèmes. Je me rappelle de l'ambassadeur cheikh tidiane sy dabakh qui a été nommé par complaisance au qatar, à part parler un arabe primaire il ne savait rien faire d'autre. Macky s'en est rendu compte au cours d'une visite et l'a limogé.
Comprendre l rabe seulement comme langue ne suffit pas. Il faut d'abord comprendre le français. Il y a beaucoup d'arabisants qui parlent bien le français.
Docteur Djim Drame en est un exemple.
Allez apprendre le français.
La langue officielle du Sénégal est toujours le français.
Ces gens se fichent du monde avec le populisme ils ont de beaux jours devant eux
COMME SI LES HISPANIQUES AUX USA .... VOULAIENT TRAVAILLER DES DOCS OFFICIELS DANS LEUR LANGUE
A lire les commentaires on se rend compte que vous ignorez a quel point l'administration est large. Des arabisan l'administration a en a besoin pour le corps diplomatique dans nos nombreuses représentations dans les pays arabes. Nous avons besoin de conseiller diplomatique et chancelier dans nos ambassades se trouvant dans les pays de langue arabes.
Arrêtez de nous pomper l'air. Déjà le fait qu'un quota vous sois octroyé est une discrimination qui ne dit pas son nom.
Il faut surtout arrêter des profils seulement littéraires à l'ENA. Il faut recrutervdes ingénieurs dans tous les domaines et les former aux finances publiques. Si on veut une administration moderne.
@Lenseignant en vacances
Il y a (ou il y avait) un département (ou une UFR) d’arabe à l’Université de Dakar. Ceux qui y étudient ou y enseignent ont obtenu le même baccalauréat que celui délivré à l’issue d’un cursus dans n’importe quel lycée du Senegal. Ils possèdent le même niveau de maîtrise du français que n’importe quel étudiant ou enseignant des départements d’anglais, d’espagnol, d’histoire ou d’autres disciplines.
Eux, sont parfaitement capables de faire le travail dont tu parles, sans avoir besoin de ce passe-droit que réclament ces arabisants auteur de ce texte que publie Seneweb et qui sont dans le meilleur des cas, formés, entre guillemets, dans les “universités” du Caire ou d’Arabie Saoudite. Ces universités ne valent souvent rien.
J’ai moi-même enseigné les mathématiques en Arabie saoudite. Mes collègues étaient des Européens qui, pour la plupart, n’avaient même pas de doctorat. J’y suis resté un an avant de partir, car le niveau était beaucoup trop bas. C'est la seule raison qui m'a fait partir. Car plus j'y restais, plus je risquais de ne plus pouvoir me reinserer dans une vraie universite. Et pourtant, j’étais très bien payé, logé gratuitement et totalement exonéré d’impôts. C’était une “vraie” université, sur le papier du moins. Mais ca ne valait rien, a fortiori ces universites d'arabisants...
Je doute donc sérieusement de la qualité des institutions de ces pays où vont se former certains de nos arabisants. D’ailleurs, ils sont si peu rigoureux que lorsque j’ai démissionné, ils ont continué à me verser mon salaire pendant douze mois, en m’envoyant chaque mois un courriel : “Professeur, quand est-ce que vous revenez ?” Je ne répondais même pas.
Il serait tout simplement inimaginable dans un pays européen qu’on démissionne en bonne et due forme et qu’on continue de percevoir son salaire. C’est dire le manque de rigueur de ces gens… Si j'avais un pouvoir de decision au Senegal, je ne mettrais pas l'administration aux mains de jeunes formés dans ces soi-disant universités sans m'etre serieusement assure de leur niveau.
vraiment tu as l'imagination fertile ! Pourtant enseigner l'arabe au Sénégal serait un plus pour le pays
Qu'est-ce qui te prouve qu'il ment ?
En Arabie Saoudite, ce n’est pas comme aux Émirats ou au Qatar. Le niveau y est connu pour être faible. Beaucoup trop d’étudiants souhaitent faire un MBA, assurés ensuite d’obtenir de bons postes. Ils ne veulent pas se lancer dans les domaines comme les mathématiques, la physique, la biologie ou les technologies. Ces disciplines sont généralement confiées à des enseignants occidentaux ou asiatiques. Du moins, c’était le cas lorsque j’y enseignais, il y a plus de 15 ans. C’était le deuxième poste de ma carrière. Je n’ai aucun intérêt à enjoliver les choses ici. Personne ne me connaît, et je ne compte pas y retourner de sitôt.
Personne ne me connaît, et je ne compte pas y revenir ici de sitôt. C'etait juste un partage.
Il y a une filière arabe à l'université de Dakar, comme il y en a pour pas mal d'autres langues et ce, depuis toujours. C'est un vivier siffusant pour la diplomatie. Pas besoin de quota pour les Oustaz.
Quota des arabophones au concours de l'École nationale d'administration (ENA) . Non mais je reve ou quoi. La selection doit etre basee uniquement sur le merite intellectuel! Dans quel pays est on? Sheeeeuuuuu
Allez passer le concours comme tout le monde. Et je vous conseille de maitriser le Francais avant de vous y aventurer. Y'aura pas de questions en arabe. Voila.
oui je suis partant vous nous mépriser nous les arabisants et c'est pas surprenant cette mentalité de nos compatriotes qui nous considèrent comme des analphabètes.
Participer à la Discussion