L’Afrique monte au créneau pour refaçonner le monde à l’ONU
At the UN General Assembly, several African heads of state forcefully reiterated the need for a profound reform of the multilateral system. While recognizing the importance of the organization, they emphasized that it remains too distant from the continent's realities and the concerns of its populations. These interventions highlighted an Africa determined to exert greater influence on the decisions that shape the global order.
Denis Sassou-Nguesso stressed the urgent need for a UN capable of getting closer to citizens, better understanding their needs, and acting more responsively. In the same vein, Bassirou Diomaye Faye advocated for equitable representation of Africa on the Security Council and called for a fairer global fiscal framework, allowing the continent's countries to fully benefit from the resources and wealth they generate. Faustin-Archange Touadéra warned of the scale of the conflicts that continue to destabilize Africa and called for sustainable funding for peace operations, recalling that regional security is a global issue.
Furthermore, Azali Assoumani revived the issue of Mayotte, which he described as the last wound of decolonization, highlighting the historical tensions still unresolved in the Indian Ocean.
These interventions reflect Africa's collective ambition to transform its role on the international stage, make its priorities heard, and exert significant influence on global governance. They also illustrate the desire of African leaders to combine political legitimacy with strategic responsibility by proposing concrete solutions to ensure that the UN does not remain merely a forum for discussion, but becomes a true instrument of justice and global solidarity.
By asserting these positions, Africa is sending a clear signal to global powers and international institutions. The continent demands that it no longer be considered peripheral and demonstrates its ability to structure an agenda that reflects its economic, social, and security interests. This collective mobilization suggests a reinvented multilateralism, where justice, equity, and shared responsibility would finally be at the heart of international decisions.
Commentaires (5)
L Afrique n accepte plus de servir de darde-manger pour la France des gigolos,pd ,pervers sexuels,drogués et workistes.
Soit on se respecte mutuellement,soit chacun vaque librement a ses affaires,mais fini ce paternalisme et cette propension maladive de Paris de continuer a nous considérer comme de sous hommes et des régimes politiques a déstabiliser.
Y en a marre des mercenaires français,comme ceux de la DGSE qui foutent le bordel en Afrique.
C est toute l Afrique qui a envie de niquer la France : de l Algerie a Madagascar en passant par le Sahel qu elle a destabilisé via la Lybie.
Les esclavagistes- imperialistes-colons-genocidaires-sionistes,nous n en avons plus rien a foutre .
Domaram you bon yi
Il est imperative que l'Afrique doit avoit son veto
L'Afrique n'est pas un pays mais un Continent de 54 pays.
Alors reclamons ce qui est notre droit ou claquons la porte.
Cette veto doit être sous la tutelle de L'UA
Veto sous la tutelle de l'AU épaulé par un vote 🗳 des Président de chaque pays membre pour chaque session
Que l Afrique balaie tous ses corrompus dirigeants et élire des guerriers prêts à dire MERDE à la France
Désormais,rien ne sera plus comme avant.
L Afrique,mon Afrique s est reveillée
L Afrique mon Afrique a pris conscience de sa force : sa population jeune et instruite+ses ressources stratégiques indispensables que les occidentaux lorgnent ,comme le cobalt,le coltan dont ils ont vachement besoin pour leurs industries technologiques.
Vive l Afrique libre et prospère.
A mort les colons prédateurs,leurs Trolls et médias mainstream
"Refaçonner"! Devant une salle vide aux 3/4! Commençons par nous refaçonner nous-mêmes. En arrêtant avec le vol des deniers publics, en arrêtant de nous remplir les poches qd nous sommes au pouvoir. En travaillant sans relâche, en allant chercher le savoir là où il se trouve. En construisant écoles et hôpitaux. En arrêtant d'exploiter les enfants et la misère de nos populations! En stoppant toutes les mafias y compris religieuses
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