Affaire du jeune joueur qui accuse son coach d'arnaque et d'abus sexuels : La Cour a rendu son verdict
D. Faye, director of the Bandia football center, was finally acquitted by the Mbour High Court. He was charged with indecent assault, unnatural acts, and fraud, following accusations by one of his 18-year-old residents. The latter accused him of having sexual relations with him on two occasions. Upon hearing the verdict, D. Faye shouted to his accusers: "Bayi nalen ak Yalla."
As a reminder, S. Camara, the young complainant's father, had registered his son for a training camp at the football center located in Sindia. The young man, full of football talent, was registered as a boarder at the end of his one-month training camp. Having heard about a trip planned by the center, S. Camara wanted his son to participate to increase his chances of being spotted by a club. He paid the accused 400,000 FCFA out of a total amount of 500,000 FCFA for participation fees.
Having waited too long for a trip that never came, SM Camara, the young resident, decided to leave the center. He explained to his father that the managers were not serious. He went further by telling his father that he had been sexually abused by the center's director. The young resident recounts that one night, around 4 a.m., his supervisor asked him to rub shea butter on his penis, claiming to want to treat a sore adductor.
He claims to have had contact with him twice before refusing a third time. S. Camara, who went to the center, demanded his money back without raising the issue of his son's abuse. It was only days later that he decided to file a complaint.
D. Faye's Defense
For his part, D. Faye categorically rejects the accusations and speaks of a plot orchestrated by S. Camara and his son to harm his reputation. He maintains that the facts are fabricated and that it is a settling of scores linked to the 400,000 FCFA paid. According to him, the Camara family is trying to recover the money owed to the center while he owed them two monthly payments in return. The accused points out that he has worked at the academy since 2014 without ever having been the subject of a similar complaint. His lawyer, Aboubacry Deh, denounced a "legal insecurity" where, according to him, "at any time, one can go to prison for false accusations."
He believes that the father's behavior, remaining silent despite the alleged facts, and the lack of a medical certificate make the plaintiffs' version of events implausible. For the defense, this case is based on obvious bad faith. "The father and son invented a false story to avoid paying the amount owed to the center," argued Mr. Deh. The prosecutor requested that the law be applied. This Tuesday, D. Faye was acquitted by the court.
Commentaires (6)
au moins la on est rassure il y a pas eu de corruption de jeunesse
Dans une affaire de ce genre, on ne peut pas demander des preuves matérielles, parce tout est circonstancielle et se passe dans l'intimité sous une domination par ascendance. La « preuve circonstancielle » est une preuve indirecte qui ne prouve pas directement un fait, mais qui permet d'en déduire l'existence par inférence logique, elle est courante en droit.
Darkpenguin c'est pourquoi dans une affaire de ce genre, le juge puisse que l'accusé s'est proposé de recevoir des enfants de la société devait demander à la police une enquête de personnalité de celui-ci à travers son entourage et parmi les enfants qu'il a ou avait en charge sous sa responsabilité, tout dans la discrétion etc
C'est comme le cas du marabout suicidé ou assassiné cela dépend, mais le fait que plusieurs enfants sans aucune coordination dont il avait en charge de plusieurs générations l'accusent des mêmes faits avec une longue dénonciation à travers ses supérieurs dans la confrérie etc, font et présentent de fortes présomption de culpabilité par des preuves circonstancielles indirectes qui ne prouvent pas directement un fait, mais qui permettent d'en déduire l'existence par inférence logique.
Au delà d'une doute raisonnable est ce qui est demandé au juré américain qui exclusivement composé de civile qui ensemble détermine la culpabilité ou l'innocence de quelqu'un et pas le juge qui ne fait que superviser le procès. Et dans un procès les preuves matérielles et les preuves de circonstance permettront aux jurés d'aboutir à une conclusion.au delà du doute raisonnable pour la culpabilité ou l'innocence de l'accusé.
abuseurs sportiffs il y en a dans tous les clubs , au début ils sont irréprochables mais quand ils ont chosi leur proie ça se complique, ils la couvrent de compliments, lui accordent des "entraînemens spéciaux individuels/ suivez ma pensée".
par contre je ne comprends pas que le joueur se soit laisser abuser plusieurs fois avant de dénoncer les faits ; la somme exhorbitante demandée par le prédateur sexuel en ait sûrement la cause.
De toute façon les Camara aiment l'argent
Allahou akhlam
Est-ce que vous savez combien il est difficile de dire qu’on a été violé par un homme.
Si un garçon le dit à son père c’est que c’est avéré.
Malheureusement le juge ne peut que se baser sur des preuves palpables.
Je sois du courage au gosse. Qu’il prenne cet épisode comme une leçon et ouvre ses yeux pour protéger son futur.
C’est dommage.
faisant attention à ce genre d'accusation. Car beaucoup de personnes se sont retrouvées en prison pendant plusieurs année à tort simplement par esprit de règlement de compte. Certaines personnes n'ont plus la crainte de Dieu.
Yalla rek Ka ham. Difficile de se faire une vérité dans cette affaire.
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