Affaire du nouveau-né décédé à l’hôpital de Diourbel : La première sanction tombe
There has been an update in the case of alleged medical negligence that led to the death of a newborn at the Heinrich Lübke Regional Hospital in Diourbel. The first disciplinary measure has been taken, with the temporary suspension of the midwife who was on duty the night of the tragedy. This decision was taken by medical authorities, pending the outcome of the internal investigation ordered by the Ministry of Health, according to Seneweb sources. Meanwhile, the judicial investigation is continuing at the Diourbel central police station, under the supervision of the prosecutor.
It should be recalled that on the evening of Friday, October 17, 2025, between 9 p.m. and 10:30 p.m., a pregnant woman presented herself at the regional hospital to give birth. Despite the urgency of the situation, the maternity staff reportedly refused to admit her, citing a lack of available beds. The woman was then forced to leave the room. As a result, she reportedly gave birth in front of the entrance to the health facility.
Contacted by telephone, Ndiague Ndiaye, known as "Astou," a 44-year-old housewife living in Ngohé and the patient's older sister, confirmed the facts to investigators. According to her, it was only after she gave birth that hospital staff took care of her sister and the newborn, who unfortunately died.
Commentaires (15)
Amougniou khôl dé, ils n'ont pas de cœur, il y a certains boulots si tu n'es pas assez humain tu ne dois pas les faire parce qu'il faut pouvoir ressentir de la compassion pour sauver des vies mais lisse eupeu si personnel de santé bii ayy domékharaame naagniou, les gens meurent entre leurs mains comme des mouches ndankh sokhoor akk gniakk yeurmandé
Tout à fait d'accord avec vous!!!! Il est temps d'extirper la méchanceté humaine dans plusieurs corps de métiers notamment la Santé, les Forces de Sécurité, la Justice, etc... Pourquoi sommes nous souvent si méchants? gratuitement! Où se situe le problème? Peut être l'absence de justice?
C'est vrai quand cette mechancheté humaine touche la santé et la vie c'est plus sensible mais la mechancheté et l'indifference est partout. Imaginez ce matin c'est une chargée de clientèle qui m'a " chassé de la banque BOA de la place de l'independance". Alors que j'etais juste de passage pour des infos sur l'ouverture d'un compte, la petite n'a meme pas daigné me regarder une seule fois et elle mimait d'etre occupée dans ces dossiers. Et bien sûr j'ai dit adieu a cette banque BOA, je ne la recommande a personne
Cette dame SARR va faire fuir tous les clients de cette banque, elle m'a fait la même chose, réponse avec dédain et total mépris C'est bien dommage
Ok d'accord mais on a oublié de suspendre provisoirement le directeur C'est lui qui a 4*4 bon salaire logement de fonction carburant etc. Ça se mérite
Le travail doit être sérieux. Ce n est pas là sage femme, qui est responsable de la maternité de l hôpital.
Quelle est la part de responsabilité du chef de service ? Quelle est la responsabilité du ou des gynécologues du service?
Est ce que c est la sage femme seule qui devait prendre cette décision.
Est ce que la sage femme n a pas reçu des instructions de ses supérieurs.
Il faut bien analyser avant de juger.
Même le chef de service doit effectivement rendre compte. Des bébés ont cramé à Louga, Tivaouane et Dakar. Les punitions ont été légères voire inexistantes. Sans culte de la sanction (positive ou négative), ce sera un éternel recommencement. Des souffrances, des pertes de vie évitables.
Mais il on dit provisoirement et que l'enquête continue espérons que d'autres têtes tomberons
J’ai été victime de la même situation, une sage femme méchante ma demandée de rentrer chez moi car c’était pas l’heure de mon accouchement, moins d’une heure j’ai accouché sur mon lit seule , avec Dieu tout puissant comme assistant , mon bb a failli mourir et moi aussi cette connasse, elle me haïssait sans raison , l’Afrique est malade de sa population haineuse jalouse .
En phase avec vous.
La sage femme n'est pas responsable. C'est plutôt au chef de service qu'il faut imputer la faute.
La sage femme agi sous ses ordres.
Le gynécologue doit être sanctionné, il est coutumier des faits, il travaille comme il veut. Meme pour operer il est tres paresseux. Les sages femmes quand elles l'appellent pour exposer un cas urgent, il demande à ce que celles ci surveillent. Alors que l'urgence obstétrique se présente. Il joue avec la vie des gens.
Liberez la pauvre sage-femme, et sanctionner le médecin chef de service. On a marre de ses habitudes criminelles.
Pour moi, même le gardien à l'entrée de l'hôpital est coupable car on n'accouche pas en moins de 5 mn, en voyant la dame perdre les eaux, il aurait dû avertir les concernés qu'il doit très bien connaitre par fréquentation quotidienne, et s'il ne l'a pas vue accoucher, le chauffeur du taxi qui accompagnait la dame les a sûrement averti. Accoucher devant un hôpital ne peut pas avoir de circonstances atténuantes ou de responsabilité sélective.
Il faut une campagne nationale contre la méchanceté gratuite.
vous ne verrez jamais une telle situation chez les blancs, quelque soit d'ailleurs l'origine du nouveau né. on peut les taxer de raciste de necreants, de tout mais pour leur amour à l'être humain, ca ne sa discute pas.
Était elle la seule sage femme de garde dans cette hôpital ?
Quelle mesurette
Le chef responsable du service devait démissionné mais les africains n ont la dignité ,on sanctionné la sage femme et le responsable hiérarchie connaisse le problème si on approfondie l enquête c est pas la 1 fois
C'est pareils dans presque toutes les maternités. C'est vraiment triste
Les européens ont plus de cœur que ns les nègres
Pourquoi à priori sanctionner le chef de service ou le gynécologue ? Êtes vous sûrs qu' ils ont été informés par cette sage femme .Je ne pense pas du tout.La sage femme a dû décider toute seule de la congédier..... Dommage pour cette parturiente ...
Elles ont bien reçu l'ordre de la part du chef de service, en l'occurrence le gynécologue, de ne prendre aucune malade sous pretexte que la maternité est en chantier. Ce qui est anormal dans un pays sérieux
à test : Diana Sanchez, aujourd’hui âgée de 27 ans, avait été placée en détention le 14 juillet 2018 à la prison du comté de Denver, dans l’ouest des États-Unis, en attente de jugement dans une affaire de chèque falsifié. Elle était alors enceinte de plus de huit mois et présentait des risques d’accouchement avant terme. Une infirmière viendra bien l’examiner après la perte des eaux mais elle se contentera de lui faire glisser sous la porte de sa cellule un matelas absorbant jetable, en attendant qu’un véhicule appelé « sans caractère d’urgence » n’arrive à la prison pour la transporter à l’hôpital, accuse la jeune femme. Diana Sanchez finira par donner naissance à un garçon, seule et sans aide, près de six heures après la première alerte, « sur une couchette dure et froide, à côté des toilettes » de sa cellule, selon les termes de la plainte. La mère et le bébé ne seront transportés à l’hôpital que trente minutes après la naissance
Tout le système doit faire l’objet d’une révision approfondie. Dans les pays civilisés, les femmes enceintes sont admises à l’hôpital quelques jours, voire quelques heures avant l’accouchement. Le suivi rigoureux de la grossesse jusqu’à son terme permet de déterminer avec une précision quasi exacte la date prévue de l’accouchement, ce qui facilite la réservation du lit ainsi que la mobilisation du médecin responsable. Des réunions de coordination sont organisées pour chaque cas, afin d’assurer le bon déroulement de l’ensemble du processus, sans la moindre entrave.
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