Pool judiciaire financier : un soutien de taille pour Farba Ngom
Farba Ngom will appear before the judge of the first investigating chamber of the Financial Judicial Pool (PJS) this Monday. He will be questioned on the merits of the case that led to his detention on February 27th. This concerns the 125 billion CFA franc case involving allegedly suspicious transactions identified in a CENTIF report. The mayor of Agnams is accused, among other things, of money laundering. He has so far denied the accusations.
Farba Ngom will not be alone for his substantive hearing. Les Échos reports that his supporters have decided to rally around him: they have called for a massive demonstration in front of the PJF headquarters in Sacré Cœur 3 Pyrotechnie. "Some have already arranged to meet there at 8:00 a.m. sharp," the newspaper specifies.
Commentaires (15)
Sonko a trop confiance en lui et joue avec le feu. Il n’est pas question d’accueillir un traître qui a préféré boycotter la journée des martyrs pour aller célébrer un “hold-up” électoral en Côte d’Ivoire. Sonko doit savoir raison garder : ses militants ne sont pas ses moutons. Il ne faut pas leur demander l’impossible. Nit nak, kenn doula may yeep, nga djeul yeep.
Un traître ne mérite pas notre accueil.
Aujourd’hui, Diomaye, qui, en dix ans, n’a jamais réussi à gagner son propre bureau de vote, alors que Sonko a fait gagner tout le Sénégal en dix jours de campagne, ose nous parler de mérite ? On comprend maintenant pourquoi les habitants de Ndiagagnao n’ont jamais voté pour lui : ils savaient que Diomaye est un descendant de traîtres, ce que Sonko ignorait.
Comment défendre quelqu'un qui a avoué devant la télé qu'il s'est servi dans les caisses de l'Etat et possède de nombreux terrains?
Pauvres de nous ...
Farba NGOM est un voleur et il doit être traité comme tel
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
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