Maimouna Ndour Faye-Babacar Fall arrêtés : la CAP sonne la mobilisation et dénonce le silence du CNRA
“Freedom of the press is non-negotiable. It is the foundation of Senegalese democracy and a common good that we must defend collectively. We will not back down. We will not be silenced. We will continue to inform, despite the pressure, threats, and arrests.” Thus, the Coordination of Press Associations (CAP) expressed its support for Maimouna Ndour Faye and Babacar Fall.
The organization strongly condemns the arrests of journalists Maimouna Ndour Faye, Director General of 7TV, and Babacar Fall, Editor-in-Chief of RFM, as well as those of their technicians. "These extremely serious acts constitute unspeakable attacks on press freedom," the organization stated in a press release.
The CAP also condemns, "with the same firmness, the cutting off of the signals of 7TV and TFM on DTT, which took place today without valid reason and in flagrant violation of legal procedures.
These arbitrary suspensions, combined with the arrests, she said, represent a coordinated and unprecedented attack on freedom of information in our country. She then demanded the immediate release of the journalists and the restoration of the disrupted broadcasts.
Regarding the signal cut-off, the CAP directly appeals to the National Audiovisual Regulatory Council (CNRA), the only body authorized, according to Law 2006-04 of January 4, 2006, to suspend an audiovisual media.
“Any suspension must respect the rights of the defense, legal procedures and specifications. The silence of the CNRA in the face of these violations is deafening and raises questions about its real independence,” she noted.
Commentaires (6)
Quand vos confrères insultent ou diffament d’honnête citoyens vous êtes muets comme des carpes et quand la justice agit vous vous levez pour exiger leur libération.
Vous n’êtes pas les seuls citoyens du pays et on en a marre d’être tenu en otages par vos comportements.
Vous prenez le pays pour un marché où au nom de la liberté, toutes les règles peuvent être bafouées. Ou alors dites nous si les journalistes sont une classe à part, ou s'ils bénéficient d'une immunité quelconque. Le régime en place est pour partie responsable de ce désordre ambiant car à force de retarder les mesures courageuses, de faire du layam-layam, tous les repères se perdent. Vous avez été élus de façon claire et limpide, votre légitimité ne souffre d'aucune contestation, alors GOUVERNEZ. On ne vous demande pas des miracles, on sait que vos prédécesseurs ont saccagé le pays. En conséquence, on sait que la tâche ne sera pas facile. Toutefois on est en droit d'exiger de vous, que notre Etat, notre République soient tenus. Il y en a assez de ce désordre. La démocratie, ce n'est pas la chienlit.
Que ces médias soient enterrés
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