« Le cancer tue plus qu’on ne l’imagine » : Le MOJIP organise une marche collective pour le dépistage et la solidarité
The National Movement Jigueeni Pastef (MOJIP) organized a major hiking event on Sunday, October 19, 2025. This initiative aimed to promote health, raise awareness about the fight against cancer, and strengthen social cohesion through sports and group walking.
Women from different regions of Senegal joined forces to demonstrate their determination to face this disease.
In her speech, MOJIP President Maïmouna Dièye emphasized that this march symbolizes solidarity with the community, prevention, and awareness against cancer. She said she was honoring this second edition, this time under the hat of Minister of Family and Solidarity. "For more than ten years, we have been celebrating Pink October because we all feel concerned by the calamity of cancer. Cancer, which is a difficult problem to manage, kills more than we imagine," said Maïmouna Dièye.
According to the former secretary general of the Senegalese League Against Cancer (LISCA), every opportunity will be seized to achieve systematic early detection among women. She cited voluntary early screening, postpartum screening, and screening of the elderly (from the age of 50), emphasizing that "all women are affected by this measure."
Maïmouna Dièye stressed the urgency of the situation, indicating that more than 2,000 cases of breast cancer and more than 2,000 cases of cervical cancer have been detected this year.
She emphasized collective commitment: "Cancer can only be fought through combined action and the commitment of all. All women in Senegal must unite to fight cancer," pleaded the president of MOJIP.
She concluded by promising that this "pink community" will continue to celebrate Pink October every year and will carry out other actions in the dynamic of fighting cancer in general.
Commentaires (4)
Contaabo
Trouver nous des solutrions au lieu de nous fatiguer avec des marches, conferences et je ne sais quoi.
Voilà une horrible, triste et choquante situation qui vaut mille célébrations de " Octobre rose". Des milliers de femmes ou leurs nouveaux nés dans les zones reculées du Pays et du continent continuent de mourir faute de structures de santé à proximités, moyens de transport absents, même souvent charrettes disponibles... sans oublier le Paludisme qui continue de tuer au quotidien en Afrique des milliers de gens.
Cette nouvelle realité de santé publique le cancer chez les femmes- pas que des seins mais surtout celui du col de l'uterus dont on a parle moins du fait d'une hypocrite pudeur de la societé senegalaise - est aussi liée à un phénomène societal : le patriarcat, la polygamie et une obsession bien senegalaise pour le sexe . Cette concurrence et pression honteuses sur les femmes font que certaines sont pretes à tout - pratiques sexuelles et de seduction nefastes, acceptation de la polygamie et ses MST, etc. Mais notre chere ministre n'en parlera jamais, ses dirigeants ne sont pas des exemples en la matiere , ce qui fait qu'aucune de leurs promesses de campagne sur le sujet n'avance au contraire c'est de regression en regresion . Aprés on se plait à faire des marches folkloriques ...
Les lésions précancéreuses n'apparaissent pas au hasard comme ça, elles sont résultantes de comportements à risques , prenons par exemple deux choses le VAGABONDAGE sexuel et la DÉPIGMENTATION. Pour le Cancer de l'utérus, le VIRUS du PAPILLOME HUMAIN (VPH) qui est une infection sexuellement transmissible très courante qui peut infecter la peau et les muqueuses de diverses parties du corps. Bien que la majorité des infections soient bénignes et disparaissent d'elles-mêmes, certaines souches à haut risque peuvent entraîner des verrues génitales ou évoluer en cancers tels que le cancer du col de l'utérus. Et sur la proliferation des cancers du sein de la peau et pas seulement sur le continent noir où traditionnellement ces pathologies n'étaient pas connues malgré les ardeurs du Soleil à cause de la protection de la mélanine de notre peau noire, une des causes principales qui a perturbée cette harmonie de notre nature que beaucoup de femmes et veulent pas aborder. est le Xessal la dépigmentation avec l’usage abusif de produits pharmaceutiques en dehors des prescriptions dont ils sont destinés et des produits chimiques toxiques éclaircissant recyclés, conditionnés et mis en boîte sous forme de produits de beauté avec des noms attractifs pour être utilisés pour la DÉPIGMENTATION. Après des recherches approfondies il a été démontré que ces produits affectent directement en interférence sur le cycle du métabolisme de la peau et sur la mutation de l’évolution des cellules mammaires. Mais puisse que le phénomène de l’éclaircissement de la peau est devenu un phénomène TABOO incontournable dans l’apparence de la femme africaine qui a même conquis les milieux intellectuels et parmi les pratiquants et spécialistes de la médecine, il faut regarder la photo d'illustration de ce texte pour le constater. Cet aspect de la réponse à donner aux malades pour prévenir le cancer est volontairement ignoré et on ferme les yeux là dessus. On peut maintenant constater dans le milieu hospitalier dans les centres dédiés pour le cancer du sein allant des autorités féminines qui ont la décision des politiques à mener, soignantes, aux malades en consultation quasiment tout le monde est XESSALISÉ toutes des adeptes cette phénomène néfaste qui est une des causes de la maladie, qu'elles ont décidé un mois symbolique OCTOBRE et qui les réunissent là-bas dans ces centres de traitement.
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