Accident mortel à Bafoundou : un jeune élève de 18 ans perd la vie dans une collision avec un camion
National Highway 7 has claimed another victim. A fatal accident occurred yesterday, Friday, October 31, at approximately 7:25 p.m., about one kilometer from the village of Bafoundou, in the commune of Mako (Kédougou department). The tragedy involved a TVS motorcycle and a semi-trailer truck.
According to initial information gathered on site, the motorcycle, which had no registration, was driven by Woulaba Tounkara, an 18-year-old student from the village of Tambanoumouya.
Travelling in the direction of Mako–Kédougou, it reportedly collided with the right rear of a SALGA brand semi-trailer, registered AA 923 CM, driven by its owner Mamadou Diarra, residing in Yirimadio (Mali).
After the collision, the truck driver reportedly fled the scene, abandoning the vehicle and its administrative documents, according to initial findings.
The young motorcyclist succumbed instantly to his injuries.
According to one source, failure to respect driving rules and a lack of control of the two-wheeler were the cause of the tragedy.
Alerted, members of the local gendarmerie brigade in Mako immediately went to the scene to carry out the usual procedures and open an investigation to determine the exact circumstances of the accident.
The firefighters, for their part, evacuated the lifeless body of the victim to the morgue of the Amath Dansokho regional hospital in Kédougou.
This accident adds to the list of tragedies recorded on the RN7, a road particularly frequented by trucks and motorcycles in this southeastern region of the country.
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ANASER : une agence prise en otage par son DG
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Ton disque est raillé, passe à autre chose, tu nous saoûle !
A quoi ser ANASER ?
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