Conteneurs bloqués au Port : 200 millions F CFA sauvés de justesse, la ministre de la Justice saisit pour...
The legal dispute between the multinational Maersk Line and businessman Mor Dieng, which began in 2023, has taken a new turn at the Dakar Commercial Court. The case, heard on December 12, has been adjourned again until March 6 for deliberation.
At the heart of the dispute: two containers (estimated at more than 200 million CFA francs) which almost went to auction, before being withdrawn at the last minute from sale by the Customs administration, explains L'Observateur.
As reported by the newspaper of the Future Media Group, Mor Dieng maintains that these shipments, which arrived in Senegal in June 2022, are being illegally blocked by Maersk Line following a disagreement over additional charges.
Unable to recover its goods, which are now badly deteriorated after three years of storage, the economic operator is now claiming several hundred million in damages from the shipping company.
Faced with the slowness of the procedure and fearing a further postponement in 2026, Mor Dieng has written to the Minister of Justice to request an acceleration of the judgment, the same source reports.
Commentaires (17)
I doit y avoir des procedures d’urgence pour ce genre de contentieux.
La douane peut mettre en place un dispositif qui permette à l’importateur d’acceder à la mafchanduse, de l’ecouler afin qu’il y ait aucune perte et se substituer à la justice si l’importateur est condamnè, en debloquanr le montant du à la clmpagnie prealablement prelevée .
Il faut s’adapter aux interets des senegalais avant tout.
J' ai compris que pour le moment la justice accélère la procédure mais rien de décidé ?
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Participer à la Discussion
Règles de la communauté :
💡 Astuce : Utilisez des emojis depuis votre téléphone ou le module emoji ci-dessous. Cliquez sur GIF pour ajouter un GIF animé. Collez un lien X/Twitter ou TikTok pour l'afficher automatiquement.